Annonce personnelle # 14




Bonsoir car je me présente :
Je fais des compositions de textes "érotiques" écrits, car les femmes de l’an 2000 sont plus difficiles à jouir sans ça. Car la littérature "sexuelle" me permet ainsi de cracher mon potentiel intime de romantique sentimental "sexuel" en l’an 2006. Car à l’encontre de ma photo je suis sensibilisé de délicatesse quand je suis obligé de d'effectuer de la luxure par devers ma partenaire "sexuelle." D’une voix humectée de stupre, à l’aide du dictionnaire et d'organes, je marmonne des mots de salive pour lubrifier ma partenaire dans les oreilles. Car, comme hurlait De Marquis Le Sade à sa femme le soir en grattant sa plume, "les femmes jouissent d’orgasme dans l’oreille avant de vouloir venir." Car il faut parler aux femmes pour être un homme. Voici donc une composition issue de mon cru propre et que j’ai composté sur un texte lors d’une nuit :


« Je t’arrive et tu m’es déjà là. Je regarde ton vagin pour commencer et après j’insinue ma moustache pour vibrer le tiens. Tu éprouves une réaction ensuite qui te permet de dire : « continue » deux fois. J’obtempère en acceptant de continuer à poursuivre ma moustache dedans ton calice féminin. Après, j’insinue mon pénis dans cette flaque d’amour pour rentrer dedans pendant 10 minutes de stupre à la va comme je te viens. Nos reins s’incrustent mutuellement pendant que ta voix perpétue un chant allégro de jouissance humide en 2006. Par la suite, tu te places en forme de levrette à quatre pattes pour insinuer mon pénis à bord d’un anus que je devine accepté. Nous sodomisons allégro en prononçant les abîmes du stupre avant de te retourner telle une omelette de désir pour éjaculer mon sexe sur un oreiller ou à l’intérieur de ta face. Par la suite, nous commandons du chinois en regardant des émissions sur un téléviseur. Tu échangeras plus tard quelques satisfactions de stupre verbal avant de m’endormir sur l’oreiller. »

PS : Si ce récit t'a procuré de l'intérêt, je vous conseille de le lire. Car ce n'est pas pour dire, mais je vous jure que je suis bel et bien ce que je dis. Entre moi et un livre, il n'y a pas une seconde à hésiter pour choisir lequel. Car je m'appelle Raymond et je préfère surtout les femmes uniquement.

Comments

Perrasite said…
Le petit frère consanguin d'Anne Archet ?
Kayou said…
Non, son propre fils, Raymond Archet, atteint de la Progeria de Hutchinson-Gilford, maladie qui fait vieillir prématurément.
Kayou said…
Bricoli : Oui, vous avez tout à fait raison, Raymond Archet aurait dû écrire "au niveau de ta face" ou encore "sur le plan de ta face" ou même "sur ta dimension faciale", mais Ray ne connaît rien à la rectitude politique et n'a pas vu le film "Stupre et Tremblements", de Gilbert Bergman.
Galad said…
Je proteste!

Il est impossible que Raymond en soit réduit à écrire des annonces personnelles. Avec son joli minois et sa fibre poétique, il doit déjà avoir des tonnes de belles femmes à ses pieds.

Allez! Un peu de réalisme, Zhom!
Patrick Dion said…
Wow ! J'avais une camisole identique lors de mon dernier voyage à Wildwood ! C'est regrettable que je sois maintenant sous mandat d'arrestation là-bas. J'y retournerais bien pour faire du pier walking et manger du all-you-can-eat-until-you-explode.
Coyote inquiet said…
Merci Raymond,

Grâce à toi, je sens que l'été va être super-hot.

J'aurais dû y penser : laisser parler son coeur et son corps, tout naturellement.

Merci Raymond. Merci. Merci.

Je te l'ai dit ? Merci.

Et merci encore. Encore merci.

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