AVEU TOUCHANT DE L'ÉMOTION
Camarades.
Souvent,
en quête de « faces de pet » sur Google Image, je me
retrouve sur des sites d'avis de décès. Oui, des catalogues de gens
morts, véritable mine d'or pour moi. Chaque fois je m'interroge.
Suis-je un homme mauvais? Je ne crois pas. Voici la photo d'une femme
morte que, j'en suis convaincu, Jésus chérira à jamais. Son regard
n'inspire que bonté. Mais sa coiffure sera laissée au vestiaire de
l'au-delà.
-Votre ton Zhom
Comments
Le rire c'était difficile bien qu'elle riait souvent pour cacher un malaise. Elle n'aimait pas sa bouche et clignait des yeux afin que l'autre disparaisse.
Indeed.
Zhombie boy.
Export A ou John A McDonald?
Commence donc par ramasser
ta propre gueule,poufiasse.
Ce soir à "On s'la pète
libre expression", nous recevons
l'alter égo d'un écrivain wannabe.
Anne Archet, médames zé messieurs.
Ouais dans l'cul, qu'elle disait.
Salope.
Chienne.
Traînée.
Hit me with your best shot,
qu'elle a toujours dit.
On a des petites nouvelles
pour toi, Annie chérie:
Suce-nous.
Fais-la nous reluire.
Astique-nous l'manche
jusqu'à explosion.
T'as intérêt à t'appliquer
à la tâche. J'ai pas peur
et j'ai tout mon temps.
Grognasse.
c'est une de ses qualités
quand elle suce.
Elle t'a sucé,grand bien
t'en fasse.Je l'ai lue
figure-toi.La relire serait
une pure perte de temps.
Supposé le contraire
est ta seule affaire.
Relis-la et refais-toi
sucer si ça te chante.
;-)
Perso j'émonde au printemps
ou à l'automne.
Ça dépend des arbres.
je disais surtout ça pour paraitre plus méchant que je ne le suis réellement, tu sais... car en réalité, je ne connais pas cette dame.
si je m'y mettais vraiment, boisson à l'appuie, et musique punk-blues, et en relisant des dictionnaires entiers afin de bien m'inspirer les verrous et les réflexes auto-sauteurs, magnaninement caracolants, tu crois que tu me ferais l'affront de me publier, et de me demander plus tard d'aller me faire humilier durant la promotion, par des gens venus là exprès pour ça, en signant des autographes pourris à mon stand, dans une foire au livre de province, plutôt bourré ?
de certains écrits sur
la blogosphère par moments,
n'est-ce pas.
Je n'y fais pas exception
mais je planterai un arbre
en sa mémoire.
pi semer des aquariums remplis de méduses bleues à chaque mort de baleine, et des algues à chaque décès de poisson...
faudrait revoir tout le dispositif lié à celui des pompes funèbres, et lui allouer tout un tas d'options de ce genre.
y'avait une agence de pompes funèbres gérée par l'état, non, dans le temps ? c'est toujours le cas ?
Si j'pouvais j'te ferais
volontiers cet affront.
Je t'humilierais devant
des tas d'gens en faisant
des pitreries innommables
devant ton kiosque bondé
de groupies.
Bises.
on s'imprègne forcément du truc, à la longue.
Faut revoir tous les dispositifs
funèbres, faire du cas par cas
et adapter les familles éplorées
selon leurs désirs.
J'serais pas capable de trancher
des bêtes à journée longue.
Ni d'être 12 mois par année
dans un bureau avec le même
monde et leur petites grivoiseries égoïstes entre 4 murs.
Par contre je nous verrais
bien signer des bouquins
qu'on aurait écrit chacun
de notre côté bien tranquilles.
Avec une file d'attente raisonnable,juste ce qu'il faut
pour pas s'emmerder dans un salon
qui pue des pieds et des rafraîchissements prévus longtemps
d'avance mais pas trop pour pas
qu'ils perdent leur fraîcheur justement.
troués aux genoux tu vois.
Ya mésentente là.
Ce ne sera pas possible
aux fesses quant à moi
mais nous trouverons
sans doute un terrain d'entente
sans craindre une esclandre
de part et d'autre.
Je suis confiant.
haha, la yeule faussement pétée pour faire joli et impressionner toute la galerie de bourges réunie.
On se marrerait bien.
Tain.
Bonne nuit, j'me tire.
Bises Jip!
Je planterai un bel arbre
en accord avec des amis,
en mémoire d'Ève Cournoyer.
Afin que cette belle fleur
repose en paix.
C'est un deuil multiple à faire.
Bonne nuit, Jipi.
Bonne nuit, Zhom Azerbaidjan.
Je vous aime.
Faut arroser tout l'monde
une fois de temps en temps.
en fait, le mieux serait de me badigeonner moi-même, devant un miroir...
serions pas assez badigeonné
devant le miroir...
Continue comme ça.
à moins de ressombrer dans un trip vaudou, mais alors ça...
mais l'art pas fini, ça a toujours été un truc, quand même...
inachevé. même pas forcément une esquisse, juste un machin qui se trimballe, là, sans forcément grand intérêt... "hirsute", comme aurait dit l'autre, ou faméliquement moche, car même pas laid ou repoussant. comme des bouts de cheveux sur le rebord du lavabo. ça reste à la fois banal et incongru... en instance.
jamais explorées
d'une quelconque façon?
La Terre imprègne tout
ce qui bouge et ce qui prétend
s'en détacher par les technos.
J'aime beaucoup y retourner.
Exemple: hier matin.
Le cabinet d'aisance était
monopolisé, alors subvint
une urgence intestinale
aussi soudaine qu'urgente.
Vérité. Ça arrive tout le temps
dans ces temps-là n'est-ce pas.
@ plus.
mais une avocate portit pleinte pour difamation incongrue et plus bas que la ceinture...
mais mon hémoragie interne inoculée par les hackers anarchistes se refout à globuler, dans un réflexe de programmation inopinée aléatoirement postée dans mon iris, par un clip, l'autre soir sur youtube...
http://www.youtube.com/watch?v=9m5kAq1pWs8
http://www.youtube.com/watch?v=taG95SKKMVE&feature=related
comme un reste d'allumette
ma tendre au coeur de toi
je suis sec comme du bois
tendre comme une poupée jetable
affublé de cette beauté extérieure toute juste bonne à se renier elle-même devant la trahison constante des choses dont nous sommes coupables
le coin arrondi de la table basse en bois sur lequel je ferais mieux de m'absoudre
tes souffles d'espoirs et intelligences de vie et progrès
pendant que je suis la mangue cloporte qui sonne faux
un petit marteau en plastique
du sable
une peau de daim jetée sur les graviers
brigitte fontaine qui me suce, dans sa pèriode cancereuse
avec son visage maigre au creu duquel brillent toujours deux petits yeux inextinguibles
avec conivence
http://www.youtube.com/watch?v=edPEBB6VjRQ&feature=related
tu sais, on s'en branle que t'emploie des termes, car nous, on est les animaux dont tu gères (plutôt mal) les litières, petit concon, va.
quoique
il était contente, comme une conne de psychopathe. ça restait tellement bancal.
le prophète ténébreux avait bien raison en prophérant sa victoire à l'avance (peut-être), quand il disait qu'il usait de TOUTES LES ARMES DISPONIBLES afin de mieux survivre...
mais il oubliait peut-être ça :
http://www.youtube.com/watch?v=ZsuV-D0bmS0
http://www.youtube.com/watch?v=zHVKndMZIwI
http://www.youtube.com/watch?v=oF1_4vVIWsg
...
car c'est plus civilisé que de monter le son de la radio le soir, de manière si tellement tribale, et évidente...
quand tu auras compris qu'on peut foutre tout son monde de haine intérieure dans un putain de tableau, plutôt que de faire chier inutilement les voisins, la nuit, avec des programmes radios inutiles, t'auras fait un grand pas...
http://www.youtube.com/watch?v=4TJtrcFn_mY
je t'aime
reste un peu encore
comme un corbeau qui continue à bouffer de l'immonde barbaque.
http://www.youtube.com/watch?v=tB8EUs5NFLM
http://www.youtube.com/watch?v=b3WFnzmkvUU
http://www.youtube.com/watch?v=bZHLW40HvLw&feature=related
http://www.youtube.com/watch?v=Vbg7YoXiKn0
FIN.
j'espère que vous aurez pâssé un bon moment de divertissement bénéfique en notre compagnie, et que vous allez mieux maintenant.
FIN.
c'est parce que la révolution est finie que tout le monde fait la tête, c'est ça ? vous êtes déçus, et vous voulez que celà recommence, encore, hein ? j'ai pas raison ?!
évaluation d'un temps dévalué
délavé
vendu
sacrifié
scarifier
remplissant les ventres de vent gras
le viagra
la peau molle de ce sexe vilain
qui pendouille dans la nuit
sous ce néon défectueux
avec ces sifflements de moustiques
si énervants
alors il monta sur son cheval, et se mit à silloner les parages, de plus en plus loin du stand des paris, et de plus en plus loin de "la fausse athènes", qui était un peu comme le centre de son trajet, mais duquel il s'évertuait de s'échapper de plus en plus. et un jour, il arriva au pied d'une montagne, et demanda à un marchand qui se trouvait là :
"hé, dis donc, marchand, comment s'appelle donc cet immense monticule que je vois ici, et que je te le désignant du doigt ?"
et le marchand répondit "c'est l'index, monsieur", en regardant le bout du doigt de gobelin le minervois. et alors gobelin fut assez content de sa trouvaille, et échangea son beau cheval contre des clous, des planches, et une vieille mule plutôt malade, ainsi que du sel et du sucre, un marteau, et ainsi, le marchand fut bien content lui aussi. et alors, les deux hommes se quittèrent en bonne et due forme, et gobelin le minervois commença à grimper, avec sa toute nouvelle compagnie...
alors, grace au marteau, il tua la mule en lui enfonçant un clou dans la tête, et après s'être assuré qu'elle fut bien décédée, il la dépeça, alluma un feu, et se mit à la faire cuire pour la manger.
mais à la nuit tombé, alors que gobelin se régalait bien de la viande certe un peu noueuse et filandreuse de la vieille carne, on entendit des bruits de branches craquer autour du campement, et des éboulements de pierres. et alors gobelin saisit son marteau et dit :
"qui va là ? montre toi ou je viens t'assomer avec mon marteau!!"
alors une voix calme se fit entendre dans la nuit : "range ton arme, frère humain, je viens en paix. je suis mokawhat le trappeur, et j'aurais simplement désiré manger un peu de ton méchouis, ce soir, en échange de quelque entraide, demain..."
alors gobelin fit "d'accord" de la tête dans la direction de la voix, et mokawhat apparut dans la lumière du feu, et il portait des habits en peau de loup. les duex hommes sympathysèrent, et tout ce passa bien entre eux, et ils s'endormirent autour du feu.
et enfin, ou bout de deux jours et demi de marche, ils arrivèrent au sommet, et gobelin dit à mokawhat : "c'est ici que je veux construire ma demeure, avec ces planches, ces clous, ce marteau..."
mais mokawhat lui répondit : "bon dieu, mais tu dois être fou, car le vent souffle tout le temps, ici, et celà rend les hommes dingues d'y être constament exposés, ne le savais-tu pas ?" mais alors gobelin le minervois répondit : "hahaha! je sais bien! mais celà compte pour les gens "normaux", alors que moi, je suis déjà fou, alors je n'ai rien à craindre du vent qui souffle tout le temps, hahaha!"
alors mokawhat répondit : "oui, tu dois avoir raison mon ami." et il lui fit ses adieux.
et alors, gobelin regarda son ami disparaitre peu à peu dans le lointain, et quand il eut totalement disparut, se mit à construire sa cabane.
et quand il arriva en bas de la montagne, plutôt affamé, il retrouva le marchand, qui avait gardé toujours son beau cheval, et lui raconta son histoire.
après l'avoir bien écouté, le marchand lui proposa alors de lui prêter le cheval et une hache, ainsi qu'une scie, et lui offrit à manger en échange de quelque entraide future, et gobelin le minervois fut si heureux qu'il commença à embrasser son ami en le prenant dans ses bras, mais alors le marchand sorti son couteau et devint fou furieux, si bien qu'il blessa son ami au visage.
gobelin fut assez éberlué de la suite des évènements, mais le marchand, désolé, lui expliqua confusément qu'il ne supportait pas que l'on l'embrasse ou que l'on le touche, et que celà le rendait fou.
il donna de la pomade à gobelin pour soigner sa blessure, et les deux hommes finirent par conclure que leur "marché" tenait toujours. et le lendemain, gobelin repartit dans la montagne sur le cheval, et avec les outils prétés par le marchand.
arrivé à la cabane, mokawhat proposa quelques vivres à gobelin, et l'automne s'en venant, décida de proposer un marché à gobelin, consistant à lui apprendre les rudiments de la chasse, en échange de quelques hébergements durant les saisons plus difficiles, et gobelin accepta, et fut très heureux, mais cette fois-ci, n'embrassa pas son ami de bonheur en le prenant dans ses bras (car il se souvint alors du réflexe qu'avait eu le marchand), mais se contenta de lui taper dans la main, en signe de marché conclu. et plus tard, autour du feu, mokawhak demanda à son ami d'ou lui venait cette blessure sous son oeil droit, mais alors, en plaisantant, gobelin lui raconta qu'il s'agissait d'une blessure infligée par une femme, qui lui avait d'abord fait des avances, mais qui plus tard s'était désistée, comme la plupart de ces mauvaises sorcières vicieuses venant roder autout des campements de pauvres voayageurs isolés. et que cette furie s'était jetée sur lui et l'avait griffée.
mokawhat sentit bien que son ami ne lui racontait pas la vérité, mais ne lui en voulut pas.
et c'est ainsi que gobelin le minervois arriva à s'installer au sommet d'une montagne très ventue, et se fit deux amis. lors des premières semaines de sa toute nouvelle vie.
(Yvan)
Je me demande bien ce qu'il a voulu dire avec son "ça vaut mieux."
mais qui es-tu donc ?
Dites-moi, est-il vraiment possible de guérir une "blessure" avec une "pomade"?
Je serais curieux de savoir ce qu'évoque pour vous le mot "pomade"...
Et le mot "marchand".
Quelle différence entre Jésus qui se pointe avec une carafe d'eau (qui devient du vin au moment où l'on en verse dans un verre) et un "marchand" qui vous applique une "pomade"?
Le tintement des pièces d'or qu'on doit lui verser en retour? Mais c'est un truc abstrait... c'est à dire qu'il ne s'agit là que de matière... À la limite on prend n'importe quel caillou et on le peint en doré... et basta!
Où est l'arnaque?
Qui veut jouer?
quand une femme achète et vend des choses, on appelle ça une marchande.
les "choses" que l'on achète ou que l'on vend s'appellent "marchandise".
dans un cadre plus évolué et "général", les opérations consistant à acheter et vendre des choses, sont appelées le "commerce".
Je deviens une taupe...
On se reverra au printemps prochain...
Biz
qu'il valait mieux se laisser
là-dessus que là-dessous.
Tout me tire vers le bas et la terre ces temps-ci. Les morts s'empilent,je voulais te laisser
dans le rire à ce moment précis,non dans la tristesse.
Ce billet de Zhom est désormais
anthologique grâce à toi,ta verve
et ton humour.
Merci encore de ta brillance.
On se repogne un de ces quatre!
Bises
Stay here with your friends.
c'est dur de communiquer
c'est nul.
alolé, adieu.
"L'HUMAIN MANQUE DE RECUL".
c'est tout, et adieu.
(sp)
sinon que les tests sont truqués si l'on tient compte du fait que l'animal en cage, et se sentant observé, est en état de stress permanent. et que loin de révéler sa véritable "nature", c'est seulement celle qui devient sienne dans un état de captivité qui est révélée à l'observateur-fouine.
(albert caraco)
"VIENS.... VIENS..." (+ effet delay)
et il y eut une grande lumière, accompagnée de chants berbères, et de vents sabloneux, humectés de miel.
Il n'y a pas, quelque part, de bienveillant médecin.
Si tu compares la pomade à du sperme, ça va.
Tiens ça sera ma nouvelle "parole réconfortante:: "Tu veux que je t'applique une pomade?"
Et bonjour l'ennui.
Si je savais comment copier/coller un lien youtube, mec, je te foutrais Echo & The Bunnymen.
Ciao. Bise.
mais qui sait, hm ? sinon le vent ?
sales cons!
petite apparence glabre
sans souillure de poils
dans les soirées
arrosées et frustrées
elle glapissait le lendemain avec ses jocondes de copines
dans la cours de récré
me faisait honte
elle portait un appareil dentaire
je l'aimais dans mon coeur
mais elle était autre chose
que l'intérieur de mon coeur con
je m'habillais en femme
souvent
encore
à l'époque
c'était bizarre de tout accumuler