La chronique éditoriale de l'opinion
LA CHRONIQUE ÉDITORIALE DE L’OPINION
Par Francine Shaft
« Quelle ne fut pas ma surprise de constater. En effet, hier, c’est en arrivant au bureau que cela est arrivé. J’ai d’abord eu un spasme, puis un autre spasme (deux spasmes.) En effet, je suis arrivée au bureau et j’ai constaté, avant d’avoir deux spasmes consécutifs perpétuels. D’un geste, j’ai pris ma main afin de saisir le téléphone. Le gouvernement sonnait engagé. Alors, de cette même main, j’ai raccroché le combiné du téléphone sur son socle et ayant un spasme, ce qui fait donc trois spasmes dans mon livre à moi. En cette société de pleutres, il n’y a plus moyen de constater sans ne se faire dire rien. D’autant plus que le gouvernement n’est pas là pour dire « Allo » lorsqu’une citoyenne d’un certain âge lui téléphone avec sa main. Ce que j’ai constaté est hors de question. Il ne s’agit pas d’un cas isolé comme dans certains cas, qui sont également isolés (le meurtre d’une femme de tempête, par exemple, ou la disparition d’une peinture de Rembrandt.) Je ne suis pas née la semaine dernière mais cela ne constitue pas une raison. À mon âge, avoir trois spasmes en constatant, ce n’est pas facile. Et je mets ma main au feu que le gouvernement regarde ailleurs (cette même main qui a servi à téléphoner un répondeur automatique.) Heureusement, il y aura toujours des personnes.
Merci pour ceci. »
-Francine Shaft
Par Francine Shaft
« Quelle ne fut pas ma surprise de constater. En effet, hier, c’est en arrivant au bureau que cela est arrivé. J’ai d’abord eu un spasme, puis un autre spasme (deux spasmes.) En effet, je suis arrivée au bureau et j’ai constaté, avant d’avoir deux spasmes consécutifs perpétuels. D’un geste, j’ai pris ma main afin de saisir le téléphone. Le gouvernement sonnait engagé. Alors, de cette même main, j’ai raccroché le combiné du téléphone sur son socle et ayant un spasme, ce qui fait donc trois spasmes dans mon livre à moi. En cette société de pleutres, il n’y a plus moyen de constater sans ne se faire dire rien. D’autant plus que le gouvernement n’est pas là pour dire « Allo » lorsqu’une citoyenne d’un certain âge lui téléphone avec sa main. Ce que j’ai constaté est hors de question. Il ne s’agit pas d’un cas isolé comme dans certains cas, qui sont également isolés (le meurtre d’une femme de tempête, par exemple, ou la disparition d’une peinture de Rembrandt.) Je ne suis pas née la semaine dernière mais cela ne constitue pas une raison. À mon âge, avoir trois spasmes en constatant, ce n’est pas facile. Et je mets ma main au feu que le gouvernement regarde ailleurs (cette même main qui a servi à téléphoner un répondeur automatique.) Heureusement, il y aura toujours des personnes.
Merci pour ceci. »
-Francine Shaft
Comments
T'as pas des ventilateurs à vendre, kek choses, ostie de calisse?
Lâche nous un peu avec ta haine du Mistral, ça impressionne personne ta haine du Mistral.
Je sais pas à partir de quand t'as eu l'impression que quelqu'un t'aimerais plus passk t'hais le Mistral.
Arrête de polluer le blog de Zhom avec tes billets anti-Mistral!
Pis on dis Wilbur Bermens de toutes façons.
Si vous plait!
Le sujet c'est Francine là.
F-R-A-N-C-I-N-E!
Désolé Zhom.
C'est sorti tu seul.
(ne t'en prends JAMAIS à Lady, ne dis pas UN MOT contre elle, même de manière déguisée, sinon je vais me transformer en robot japonais et détruire des ÉDIFICES.)
Pourquoi t'es tout le temps fâché, Ostide? Lâche Mistral! Have fun with us. On est ici pour RIEN. Et je t'embrasse.
fuck off.
Tu me devras au moins ça.
Hypocrite. Faux-cul. Ingrate.
La Presse fait une faveur à Christian Mistral en l'interviewant? Sors ta tête de ton cul et ton cul de La Presse. Ça presse!
Il s'en prenait manifestement à ta Lady et tu ne t'es pas transformé en robot japonais pour détruire des édifices pour autant...
vivre et laissez vivre.
D'autant plus pour un pauvre petit lecteur français, qui ne sait pas forcément si telle expression ou métaphore est inventée ou purement québécoise. Si ça se trouve, votre est style est banal, Zhom.
Imposteur !
Présentez-moi quelqu'un, je reconnaîtrai Francine Shaft.
Vous allez tous dire : "Non, tu mens." Vous allez tous dire : "Non, je ne suis pas Francine Shaft."
Pourquoi cette lutte obstinée?
Lisez dans votre coeur, vous y découvrirez d'étranges vérité...
Faut que t'arrêtes la Francine Shaft car tu ne présentes rien de plus que ceux qui était déjà proposé dans l'article en suivant le lien...
So what ?
complete
slo-mostide calisse video clip of Isaac Hayes conducting the
Theme from Shaft, which won an Oscar for best song.
Come on, bébé. Graisse-moé le manche un peu...
Je ne te suggère pas d'arrêter, juste de déménager le lieu du vidage de coeur. That's all!
Gang de suiveux. Bande de midinettes. Joueurs de fifre! Scribrouillards powercorporatistes!
Et je signe:
Do, ben ben à boutte d'être (quasi) obligée d'assister à des hosties de guéguerres qui ne la regarde pas et qui.... ne regarde personne.
Ostide : Tu es malcommode, ça ne fait rien. Mais reviens-nous de meilleure humeur, please! Laisse tomber Wilbur Bermens, il ne me dérange pas.
Zhom embrasse tout le monde et même les autres.
Sans vouloir jouer au malade pour faire pitié comme certains, peut-être suis-je bipolaire, ou maniaco-dépressif comme on disait dans le temps de mon père, ou cyclothymique dans celui de mon grand-père.
J'aurais préféré cyclothymique. Ça sonne comme un nom de sport ou d'art premier.