Hugo st cire c tu le frere dla fille qui jouè dans chambe en ville pi qui faisa Karmina dans le firme Karmina pi qui parala pinsé comme une osti dfrensaise
ON T’AIME MON RICHARD PAR SUZANNE ¨DIANE¨ CAROLE Bonjour!!! Je me présente Suzanne, mais mes amies m’appellent Diane car il paraît que je ressemble comme deux gouttes d’eau à Diane. Mais je ne prends pas la plume aujourd’hui pour parler de Diane et de ses deux gouttes d’eau, au contraire. D’ailleurs, si jamais Diane me lit en ce moment, elle peut aussi bien faire autre chose, comme organiser un tournoi ou ¨en manger un char¨, sa vie ne m’intéresse trop pas. Je ne suis pas rancunière, mais il y a des limites à être une ¨connasse¨, et Diane les a dépassées le 4 avril 2009 lors d’un périple tout-inclus à Cayo Coco (je vais taire l’anecdote, qui implique un cubain Pédro d’à peine 17 alors que Diane en a 59.) J’ai mis le mot ¨connasse¨ entre parenthèse car je suis indulgente et je suis certaine que Diane a d’autres qualités à part ses deux gouttes d’eau et son ¨beau cul¨ gros comme le bras. Mais laissons tomber Diane dans une masse d’excréments brûlants, elle peut mourir si el
Camarades. Souvent, en quête de « faces de pet » sur Google Image , je me retrouve sur des sites d'avis de décès. Oui, des catalogues de gens morts , véritable mine d'or pour moi. Chaque fois je m'interroge. Suis-je un homme mauvais? Je ne crois pas. Voici la photo d'une femme morte que, j'en suis convaincu, Jésus chérira à jamais. Son regard n'inspire que bonté. Mais sa coiffure sera laissée au vestiaire de l'au-delà. -Votre ton Zhom
PAYONS-NOUS UNE TRANCHE DE RIRE! Le Jour des vidanges est vieux, déjà vieux. Et je me rends compte qu’il y manque, depuis toutes ces années –d’où l’insuccès du blog- un élément essentiel : L’humour! Ci-dessus, une ¨bande animée¨ humoristique laquelle, en plus de susciter l’hilarité dans un contexte de franche camaraderie, propose, de manière sous-jacente, un propos social sur l’intégration des nouveaux arrivants et sur le respect du français parlé au Québec. Le personnage du Hector Krauss, jeune allemand entre deux âges et avide de sensation, représente le nouvel arrivant désireux d’en apprendre sur les réalités de sa terre d’asile et qui a parfois de la difficulté à se faire comprendre, ne connaissant pas certaines expressions courantes, comme ¨débarquer d’un char¨ ou ¨puer de la noune.¨ L’autre personnage (appelons-le Pierre-Paul) représente la québécitude du ¨vrai monde¨, ordinaire mais ouvert sur la pluralité et la diversité. Le JDV remercie l’Office de la Lan
Comments
Je me tue à le répéter à tous le monde.
Y'en a marre. C'est décidé. Je change de nom. Je prends le nom de jeune fille de mon père: Lacroix.
Cette manie de ne placer qu'un "T" dans les mots...
Criss que t'es mercantile!
Pis il pensait que je ne verrait rien!