LE TÉMOIGNAGE DE PÂQUES (La Parabole du pain.)


LE TÉMOIGNAGE DE PÂQUES (PARABOLE DU PAIN)

Par Jeanne, divorce + maladie

Hé!!! C'est moi Jeanne!!! Sur cette photo l'on aperçut mon côté « sucrage givré », car malgré tout ce qui m'arrive, il m'arrive de faire rigoler une galerie. Sur ma photo, j'ai comme quelque-chose de collé dans le bras. Personne ne sait à quel degré Micheline a ri à cet instant!!! C'était une petite croûte sèche de moutarde que j'avais de collée dans le bras!!! Car Micheline et moi eûmes mangé presque un jambon de Pâques au complet et au préalable!!! Tout ça pour dire que le divorce et la maladie n'est pas facile de vivre avec. Je me donne entièrement à Jésus le fils de son père. Je voudrais ici pour Pâques répéter la fameuse phrase du Christ. Voici un extrait de sa PARABOLE DU PAIN qui se suit comme ainsi, lisez-la à voix haute pour vous l'entendre :

« Jésus dit à Daniel : « Prends ce pain et va. Marche avec ce pain puis reviens à moi. »

Daniel revint et Jésus lui dit : « Rends-moi ce pain et va avec un autre pain. Marche puis reviens à moi avec ce pain. »

Daniel revint et Jésus lui dit : « Prends cet autre pain et va. Marche avec ces deux pains puis reviens à moi. »

Daniel revint et Jésus lui dit : « Choisis l'un des deux pains et rends-le-moi. Va avec le pain de ton choix, marche et reviens à moi. »

Daniel revint et Jésus lui dit : « Rends-moi ce pain. Choisis un autre pain parmi les pains. Va, marche et reviens à moi. »

Daniel revint et Jésus lui dit : « Rends-moi ce pain. Prends tous les pains que peuvent porter tes mains. Tous les pains sauf un pain. Laisse-moi ce pain et va, marche, reviens à moi et rends-moi deux pains de ton choix. »

Daniel revint et Jésus lui dit : « Prends le pain que tu m'as laissé et va avec tes pains, marche, reviens et va encore avec tes pains puis reviens. »

Daniel revint et Jésus lui dit : « Marche avec tous les pains que peuvent porter tes mains puis reviens à moi. »

Daniel revint et Jésus lui dit : « Prends ce sac de pains et ajoutes-y tes pains. Va et marche avec ton sac de pains puis reviens à moi. »

Daniel revint et Jésus lui dit : « Rends-moi deux pains. Va, marche, reviens à moi et rends-moi le sac de pains. »

Daniel revint et Jésus lui dit : « Va, tout simplement. Va-t-en! »

Daniel s'en alla, de ci de là, pour transmettre la bonne nouvelle."


Cette parabole me dit tout. On dirait ma vie un peu. Merci!!!

-Jeanne, joyeuse de foi malgré son divorce + maladie

Comments

La Rouge said…
Je suis étourdie, c'est normal?
floOo said…
Putain il est fort ce Zhom ! Je pleurniche dans mon sourcil vacillant.
Kayou said…
J'adore Jésus. "Si quelqu'un te frappe la joue, tends-lui l'autre pain", ou encore "Aime ton prochain comme ce pain." Cet homme avait un but dans la vie.
BED said…
IL est grand le mystère de la baguette Amen Alleluia
... le cr said…
je préfère qu'on m'aime pour ce que je suis, plutôt qu'on me haïsse pour ce que je ne suis pas.
son of Os said…
si vous n'aimez pas les descendants d'osiris, c'est que vous êtes jaloux de ne pas appartenir à cette noble lignée. mais ce n'est pas de ma faute.
josiris said…
si les esprits malins et organisateurs de l'ordre décadent dont nous sommes témoins ne m'avaient pas affublés d'épilepsie dès l'age de huit ans, j'aurais sûrement pu devenir l'élu dont le destin non dénaturé par les fausses soupes aux lettres Nous a détournés. et l'anomie générale à laquelle semble si bien s'adapter le monde délaissé par Mon aura m'en semble malheureusement la preuve.
caguette said…
de moins en moins de choses me semblent être "de ma faute", à commencé par moi-même. cependant, j'irai peut-être voter plus tard. et je préfèrerais qu'on m'aime pour ce que je suis devenu malgré moi, et à cause d'eux, plutôt qu'on me haïsse pour ce que je ne suis pas devenu, malgré moi.
ban jock said…
ici, il est 23h37.
le prof de vie said…
les étudiants devraient partir en stop à katmandou comme nous le fimes nous-même dans les années 90, en nos temps d'adolescences, au lieu de demander des sous pour qu'on leur apprenne à construire des choses contribuant à rendre le monde invivable à cause de tous ces conflits armés occultement subventionés par leurs futurs labeurs.
l'étudiant des années 90 said…
moi, je ne pouvais pas partir si loin à cause de mes problèmes de santé. alors j'allais faire l'imbécile et boire en m'inventant des histoires à la jim morrison. mais au moins, quand j'étais en cours, je ne faisais rien (de toute façon, même si j'avais voulu, je n'aurais pas pu car les ondes électromagnétiques et la présence des filles m'empêchaient physiquement de prendre des notes... et quand on devait faire un exposé oral, je buvais énormément la veille afin de me donner du courage pour affronter cet univers si hostile qu'était l'université du mirail. ce qui me donnait une bonne raison d'avoir un peu moins honte de ne pas me lever le lendemain, car j'étais dans les vaps... même si plus tard, celà me donnait envie de mourir. cependant, je rebuvais un peu de bière, et continuais la route, dans mon appartement. j'avais des sueurs froides, la panique tout le temps, mais heureusement, aussi, des gésiers en boites pour survivre quand je n'osais pas sortir dehors pendant plusieurs jours d'affilé, et que je ne répondais même pas quand on sonnait en bas...)
un peu de chimie said…
pourtant, je ne pense pas être de l'antimatière. j'ai regardée la définition sur wikipédia, et de toute façon, matière et antimatière se complètent dans l'univers à ce que j'en ai retenu... alors bon...
ksskss said…
alors, La Rouge, on fait moins la maline, hm ? maintenant qu'on SAIT...
jip toutérien said…
la prieuvre, c'est qu'elle ne répond pas. HAHA! et oui! elle doit être toute penaude de honte maintenant, oui, sûrement, de s'être ainsi exprimé si primesautièrement à mon endroit... et en effet, il y a de quoi. mais je ne te pardonne pas, car je sais que tu n'aimes pas les trucs de chrétiens.

vas donc, bichette! relève toi! et remarche! arrête donc de nous trembler ainsi des genoux si flasquement éberlués de tracas nerveusement soumis aux enchainements de tes aléas mentaux et vis! crée! énergise! tumulte le monde de ton osmose délétèrement bienfaisante à lui! soulève le!
clotilde la faignante latine said…
et il s'en alla jacter à l'est.

FIN.
dernier jp said…
je ne pense pas être aussi mauvais qu'on le prétend. et de toute façon, même si c'était le cas, ce serait loin d'être une preuve que l'origine du mal fut entièrement le fruit de mon inspiration intrinsèque, car le monde existe, et interréagit.

je n'ai plus rien à ajouter.

bon vent!
clotilde... said…
d'après une étude approfondie du calendrier, il apparaitrait que 2012 serait l'année ou l'énergie positive mondiale de la terre procréerait une onde de BIEN à peu près partout sur la planète. il devrait y avoir donc beaucoup d'amour d'ici peu. ou en tous cas, au moins, bientôt. c'est la raison pour laquelle il n'y a pas à désespérer.

...
ontologie pratique des cycles innérants said…
et si le rôle de l'antimatière était "d'éponger les excédents", comme le disait si bien coluche dans son sketche sur le hackick ?

mais trève de désintégritude. songez plutôt que le problème serait la notion d'ontologie, les concepts de bien et de mal, adversaires et néanmoins "alliés", car originellement complémentaires. songez que l'un sans l'autre, ils ne seraient peut-être tout simplement "pas". et l'interversion des énergies opérée en reviendrait à illustrer cette relation physique de la matière à elle-même en parlant d'ange et de démons tour à tour ascendants ou déchus, et inversement, dans un mouvement cyclique mais néanmoins transcendant de la chose des origines parallèlement interprétable selon ce que la volonté ou le hasard en auraient décidé conjointement, dans une fusion d'intéractions permutables selon les moyens de chacuns ?
fils du soleil-rat said…
c'est la faute à la soeur-femme d'osiris, c'est elle qui a piqué son nom secret à amon-rat. et depuis, il a disjoncté.
jp said…
@ fils du soleil-rat

HA! kan-maime!!

l'était temps que quelqu'un s'en apperçoive! mille merci à toi!

FIN. (à suivre)
l'adieu au steak said…
oui, voilà. entre autres, oui.
pj said…
l'homme est là pour imaginer, et les dieux pour le laisser croire. c'est la raison pour laquelle ils ont inventé le cinéma.
un programmeur said…
intéressant...
ta clo said…
et il partit... ailleurs...

...
l'adieu au steak said…
adieu
Josée Yvon said…
Aime ton rein proche, ce nain.
Je suis vide said…
Rien à dire mais pas fâchée. Vide.
jpésiris said…
comme un sarcophage vidé de sa momie, tu veux dire ?
Anonymous said…
quelle feignante cette clotilde, parfois...
clotilde said…
Anonymous, tu ne sens pas comme un petit pétillement derrière ta tête ?
Anonymous said…
damned, elle m'a repéré ! mais comment fut-ce possible ? j'usa pourtant de décalage spatio-temporel, bon sang !??
clotilde said…
j'étais sûr que tu allais répondre celà.
Anonymous said…
heu... curieusement, moi aussi.
clotilde au travail said…
et ils ne firent rien car ils étaient déjà loin dans le futur, et n'avaient laissés que des fantômes électroniques derrière eux, continuer à hanter les lieux, dans ce petit bureau de sous-sol poussiéreux et un peu sombre sentait le moisi ou une jeune secrétaire étourdie était prises de spasmes, soudainement, et commençait à baver sur son clavier en se mordant la langue, les yeux révulsés, comme des bilboquets sphériques qui se seraient pris pour des boules de billards crotteuses, et dont on ne pourrait pas discerner le numéro sous la fine péliculle de crasse accumulée en une couche ressemblant à la surface un peu plus sombre d'une crème au chocolat, et en un peu plus dur que la crème elle-même, mais surtout, avec la consistance d'un amas de limaille de fer agglutiné autour d'une petite bille d'ambre jaune.

(à suivre)...
Anonymous said…
et une sanction tomba dans l'oreille d'un sourd, alors que les guerres des hackers faisaient rage afin que les uns hissés contre les autres et parfois bossant pour le seul et même combat obtiennent enfin déliverance, mais en moins pire que dans le film de john boorman, qui aurait peut-être dû s'arrêter au beau milieu de la scène du banjo du début au lieu de continuer à être pire par la suite...
Anonymous said…
le secret de ma longévité, c'est l'autohypnose.

voilà, c'est dit.

et La Rouge est magnifiquement tellurique.
Anonymous said…
quand au décrpytage des hyéroglyphes, c'est à la soeur d'osiris qu'il faut s'adresser. ou à sa femme.
Sarcophageuse vide said…
Oui, c'est ça. J'étais vide de substance de poussière agglutinée qui forme quelque chose de très mort mais hier, c'était vide. Pas de poussière, pas de sarcophage non plus je crois. Je suis allée me coucher et j'ai fermé les lumières dans ma tête. Là, i est six heures du matin et je bois mon café. Le temps est moche comme un vendredi saint perpétuel. Je me demande ce que je vais foutre des heures qui vont se présenter.
Sarcophageuse qui boit son café said…
Je crois que te lire semble être le truc le plus intéressant et écouter de la musique. Enfin. Et toi? Tu vas faire koi koko?
Éclairagiste said…
Il me semble judicieux aujourd'hui de mettre des lumières oranges dans l'appartement pour contrer la morosité. Pas de rouge, juste du orange. Je dis ça de maigne.
La soeur d'Osiris said…
Ouais décrypteuse professionnelle à votre service mais je donne l'information les années bissextile seulement. Vous avez juste à vous forcer le cul, bande de ploucs.
L'Antichambre de Mana said…
Géniale inventrice, mademoiselle d’Abbeville met au point le globe de mentalisation, qui permet non seulement de décrypter les pensées d’autrui, mais aussi d’éprouver la moindre de ses sensations par l’intermédiaire d’une tenue baptisée « Psycholatex ».
Psycholatex said…
Mademoiselle Abbeville est une pute. Qu'on se le dise.
Globe de mentalisation said…
Ouais. Je n'aurais jamais dû exister. Je suis de la merde.
Psycholatex said…
Je sais. Moi aussi. C'est à cause de cette PUTE.
Anonymous said…
j'aime bien. je me considère comme un végétarien qui continuerait encore un temps à ingurgiter quelques morceaux de chipolata avant mutation.

la psychomentalisation-mana-latexique devra subir notre onde dada. quoi qu'il en jouisse, yes.

"forméééééééé, vobatayoooons!!!"

+ anti-mort mauvaise. et pour un consentium ou l'on ne serait pas oblijé de consentir, mais quand même aussi encore un petit peu afin de profiter du stimuli occasioné par cette obligation de laquelle nous chercherions à nous défaire à tous prix again!
Anonymous said…
@ Sarcophageuse

moua, je t'aime, et je me pistile le zizi entre deux sandwichs aux abats de fromage de chèvre-dingue, et toua ?
Anonymous said…
et je suis un cathodique, un cathodique dufutur, ossi
Sarcophageuse psychédélique du futur said…
Là, je bois un autre café mais pas le même que celui d'hier mais qui goût pareil, ce qui devient fourrant à la longue. Il est 8:05 du matin et je me dis que je devrais faire quelque chose de constructif comme écrire des niaiseries.
Anonymous said…
pourquoi ne lis-tu pas un livre, et si tu en écris un, envoie le moi par la poste!
Anonymous said…
tu es aussi habile à l'écriture que le type qui écrivit l'histoire de lady chatterley, mais peut-être n'es-tu pas assez "snobe" pour t'en faire un véritable métier...
Anonymous said…
si j'avais mille ans à vivre, je lirais tout orwell et junger, mais sur tout ton sacré dédiou de lawrence, ça!

il écrit comme avec les pensées d'un médium, c'est rare
Anonymous said…
en fait, il a l'air de sculpter dans l'esprit comme dans une matière que l'on peut toucher, voilà.
Dédiou de Lawrence said…
Oui. Ce sont les conversations les plus solides que j'ai lu. Ça explose dans ma tête à chaque fois. Bang! Bang! Bang! J'aime bien ta description. Ouais.
Anonymous said…
nous sommes de l'énergie. j'aurais dû y penser plus tôt. et je suis pas le seul. bon dieu! on nous apprend vraiment rien.
Anonymous said…
pi j'ai jamais été "à la solde" du pharaon, vu que le pharaon, c'est moi. mais en fait, si, car je suis à ma solde. et mon peuple, c'est aussi moi. c'est tout. je me complète, je suis parfais. je n'ai plus besoin d'exprimer quoi que ce soit. mon rayonnement suffira.
Rayon de bicycle à pédale said…
Hihihihihhihi! Bise.
l'éléphant drôle said…
@ Hihihihihhihi! Bise.
et tu trouves ça drôle ?

http://www.youtube.com/watch?v=TsNXhbdfeJk

...
vouloar said…
@ Rayon de bicycle à pédale

le jour ou t'auras assumé ton trou, ce sera l'abime développée par ta science incluse qui reviendra nourrir les enfants de ta femme grace au nouvel entrecroisement de l'entremise promise à ton sperme en vu de te faire réagir à tes propres sales.

mais vu que t'es pas ça :

http://www.youtube.com/watch?v=PXBE9-pL6GM&feature=related

alors ils regardèrent le gymnase s'écrouler, en frémissant un peu, mais le "moi" resta indifférent et alla changer de chemise.

puis il eut une crampe dans l'os du genoux. mais les oiseaux qui faisaient caca dans les buissons s'étaient fait violer par un pied de chaise incandescent. alors le magnétiseur partit. écolo
Triste et peste à la fois said…
Oh! Non. Pas drôle du tout. Vraiment pas. Hi!..............
Bleue Perruque me voilà said…
Je suis conne, conne, conne. Hi!
Le jugement de Dieu said…
Pourquoi es-tu connes petite perruque?
Petite perruque grichou said…
La petite perruque grichou se rebella se matin là, à grand cri de Hu! Hu!

Son compagnon, un jeune bonobo du côté noir de la force et qui se croyait vieux avait donné des consignes clairs, qu'elle suivait à la lettre car elle était une perruque conne mais authentique.

Hu! Hu! Hu! Dit la perruque outrée.
Les gens du village said…
Et tous les villageois, dirent: Oh!
viking d'abondance said…
pour La Rouge, et tous les gens de paix qui boivent du pinard à l'orange bleue dans une cuve de vert caca d'oie aussi noire que le sourire d'un ange castra :

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=6Qek0Y3HZeA#!
Roulage said…
C'est superbe cette musique Jip. Merci. Bise.
Bouteille pleine et aguichante said…
Dans le ciel gris, un avion transportant des débauchés était sur le point de s’écraser. Il survolait le ciel gaiement, ignorant de ce qu’il l’attendait.
Plus loin, une filée de petits oiseaux, rigolaient en espérant le début du film d’horreur «Happy Crash» dans un cinéma près de chez vous, avec des bancs confortables et chauffant. En attendant, certains allèrent se chercher des popcorns au beurre avec beaucoup de sel, d’autres sirotaient des Cherry Coke dans une clarté excessivement jaune avec un peu de rouge Pantone 186. La lumière saignait des larmes orange. Il n’y avait aucun vent. Rien. Un moment sans souffle. Puis le rideau se tira.
Le mot «Fin» apparut à l’écran. Un moteur lâcha, puis un deuxième. (Silence)
Puis vint un sifflement.
La Rouge said…
Jiiiiiiiiiiiiiip?
Jiiiiiiiiiiiiiip said…
quoi?

Popular posts from this blog

PAS GRAVE (TON MAGAZINE RELATIVISTE)

LE TÉMOIGNAGE VIBRANT 87978.8

EN SE LE POGNANT