Philosophons avec Zhom Finkielkroute
Ce qui arrive est
Comme un certain « charme » se dégage des petites « choses » successives qui adviennent à chaque moment du devenir irréversible -ces petites choses qui « arrivent dans la vie» (relire Steve)-, les « grandes choses », les choses importantes dégagent en une seule fois ce « charme », c'est-à-dire la forme de vie dans son ensemble en général et, nécessairement, dans un gros sac. Ce sac n’est pas l’obstacle relatif qui nous empêche, en cours de continuation, de cumuler le souvenir des « choses importantes qui sont arrivées » avec l’effectivité vécue ; le sac est l’obstacle absolu qui scelle l’unicité de l’existence en général, en général, en général, trois fois (relire Steve.) Exemples : «Guy tri des épis, Gilles hume l’orge et Yvon pond. » Que faire? Et à quelle heure? Comment se change ce qui devient, ou quel est le changement du devenir quand cela « arrive » ou « se passe »? Présupposons l’existence de ce qui arrive en tant que ce qui est (ex : Yvon pond), même si ce qui arrive (ou est) consiste à cesser d’arriver/être (ex : Yvon pondit.) Dans ce cas, celui qui questionne –toi ou eux-, celui qui voit dans le changement des « choses qui arrivent » (ou n’arrivent plus) embrouille tout, s’énerve en vain. Son erreur est de commencer par la thèse que tout ce qui arrive est possible ou que tout ce qui arrivât fût, les « petites choses » autant que les « choses importantes » (exemples : Yvon pond, la guerre tue.) Le contraire serait l’inverse et nous ne poursuivrons pas plus loin car l’instant est le « point de départ de l’éternel » (relire Steve) et j’ai un gros pénis bandé.
Comme un certain « charme » se dégage des petites « choses » successives qui adviennent à chaque moment du devenir irréversible -ces petites choses qui « arrivent dans la vie» (relire Steve)-, les « grandes choses », les choses importantes dégagent en une seule fois ce « charme », c'est-à-dire la forme de vie dans son ensemble en général et, nécessairement, dans un gros sac. Ce sac n’est pas l’obstacle relatif qui nous empêche, en cours de continuation, de cumuler le souvenir des « choses importantes qui sont arrivées » avec l’effectivité vécue ; le sac est l’obstacle absolu qui scelle l’unicité de l’existence en général, en général, en général, trois fois (relire Steve.) Exemples : «Guy tri des épis, Gilles hume l’orge et Yvon pond. » Que faire? Et à quelle heure? Comment se change ce qui devient, ou quel est le changement du devenir quand cela « arrive » ou « se passe »? Présupposons l’existence de ce qui arrive en tant que ce qui est (ex : Yvon pond), même si ce qui arrive (ou est) consiste à cesser d’arriver/être (ex : Yvon pondit.) Dans ce cas, celui qui questionne –toi ou eux-, celui qui voit dans le changement des « choses qui arrivent » (ou n’arrivent plus) embrouille tout, s’énerve en vain. Son erreur est de commencer par la thèse que tout ce qui arrive est possible ou que tout ce qui arrivât fût, les « petites choses » autant que les « choses importantes » (exemples : Yvon pond, la guerre tue.) Le contraire serait l’inverse et nous ne poursuivrons pas plus loin car l’instant est le « point de départ de l’éternel » (relire Steve) et j’ai un gros pénis bandé.
Comments
« Une voix vient de l’autre ivre » et « Comment peut-on être croûte? », du même Alain.
Euh...
Arrivût?