ZHOM TAQUINE LE MULOT
Aussi bien admettre tout de suite que je suis affreusement "urbain", pur Plateau, et que le bon maintient d'un feu de camp efficace recèle pour moi autant de mystères que la scission de l'atome. J'entretiens avec la campagne une relation amour-haine, et je crois que cette ambiguité des sentiments est réciproque. La campagne est OUIRDE, je suis OUIRDE. On devrait pourtant bien s'entendre, la campagne et moi, en tant que OUIRDOS. Anyway, je m'y amuse quand même, et j'y découvre des loisirs inédits, comme en témoigne cette formidable photographie : ZHOM QUI TAQUINE LE MULOT. Ça ne s'invente pas. En bonus, d'ici mon retour, je vous invite à méditer sur ce poème bucolique écrit par le petit Félix, 2 ans : L'ARBRE Je rêve à un arbre Les pommes sont des coeurs Au coeur de chaque pomme Un autre arbre à coeurs Il faut tuer l'arbre Vive les nazis (poème inspiré de l'essaie d'ergologie comparative "Co-définir la nature et la culture a...