À la manière de...
Je n’ai pas l’habitude de suivre les modes, les vogues et les tendances. Mais cette fois je me prête au jeu. Il appert que le pastiche révérencieux est très branché ces jours-ci chez les gens de la petite communauté des blogueurs. Tel imite le style de l’autre, l’autre imite le style de tel, tout cela sous le signe de l’humour, du respect et de la franche camaraderie. Ici j’ai voulu rendre un vibrant hommage à mon bon ami l’épicier IGA. Certes, il n’est pas un artiste, ni même un blogueur véritable, mais il m’offre chaque semaine sur son site des lectures simples et agréables, ainsi que des aubaines exclusives sur une impressionnante variété de produits.
www.iga.net
À LA DÉCOUVERTE DES SAVEURS
« Cette semaine, votre épicier IGA vous propose un voyage extraordinaire au pays des fruits à noyaux. Dans le cadre d’une saine alimentation, la consommation de cinq à dix portions de fruits et légumes peut diminuer les risques de développer un cancer de la mort. Les fruits à noyaux précisément, constituent une excellente source de vitamines, de minéraux et d’antioxydants. Prenez soin de conserver la pelure car, en plus d’être goûteuse, elle est très riche en fibres. Mais soyez vigilants, lavez bien les fruits à l’eau fraîche, sans quoi vous risquerez d’attraper d’étranges maladies sans nom. De plus, les fruits sont enduits d’une sorte de solution industrielle très puissante dont on se sert généralement pour décaper du métal ou éliminer des populations de vaches folles. Le rinçage du fruit est donc une priorité pour qui ne souhaite pas mourir dans d’atroces souffrances, cloué sur un lit d’hôpital, gémissant de douleur les yeux retournés vers l’intérieur telle une marionnette détraquée. Les variétés de fruits à noyaux sont nombreuses, l’on compte évidemment les pêches de toutes sortes (pêche saturne, pêche blanche), les délicieuses nectarines, les prunes, les cerises, les abricots, les vulves et les sous-estimés pluots (de la mi-mai à la fin juin.) Comment choisir, dans la talle, les fruits à noyaux les plus mûrs et savoureux? Prenons par exemple la pêche. Il s’agit d’abord de palper le fruit, de presser sur la pelure, délicatement au début, puis d’y fourrer ses deux pouces avec rage comme si on écrasait les yeux d’un jeune chat errant pour ensuite lui arracher la cervelle. Le fruit, dénoyauté, sera enfin propre à la consommation immédiate. Les cerises sont à point en fin juillet, les pêches au mois d’août, les nectarines entre juin et août, les pluots en début d’été, et les vulves à chaque changement de lune… »
À LA DÉCOUVERTE DES SAVEURS
« Cette semaine, votre épicier IGA vous propose un voyage extraordinaire au pays des fruits à noyaux. Dans le cadre d’une saine alimentation, la consommation de cinq à dix portions de fruits et légumes peut diminuer les risques de développer un cancer de la mort. Les fruits à noyaux précisément, constituent une excellente source de vitamines, de minéraux et d’antioxydants. Prenez soin de conserver la pelure car, en plus d’être goûteuse, elle est très riche en fibres. Mais soyez vigilants, lavez bien les fruits à l’eau fraîche, sans quoi vous risquerez d’attraper d’étranges maladies sans nom. De plus, les fruits sont enduits d’une sorte de solution industrielle très puissante dont on se sert généralement pour décaper du métal ou éliminer des populations de vaches folles. Le rinçage du fruit est donc une priorité pour qui ne souhaite pas mourir dans d’atroces souffrances, cloué sur un lit d’hôpital, gémissant de douleur les yeux retournés vers l’intérieur telle une marionnette détraquée. Les variétés de fruits à noyaux sont nombreuses, l’on compte évidemment les pêches de toutes sortes (pêche saturne, pêche blanche), les délicieuses nectarines, les prunes, les cerises, les abricots, les vulves et les sous-estimés pluots (de la mi-mai à la fin juin.) Comment choisir, dans la talle, les fruits à noyaux les plus mûrs et savoureux? Prenons par exemple la pêche. Il s’agit d’abord de palper le fruit, de presser sur la pelure, délicatement au début, puis d’y fourrer ses deux pouces avec rage comme si on écrasait les yeux d’un jeune chat errant pour ensuite lui arracher la cervelle. Le fruit, dénoyauté, sera enfin propre à la consommation immédiate. Les cerises sont à point en fin juillet, les pêches au mois d’août, les nectarines entre juin et août, les pluots en début d’été, et les vulves à chaque changement de lune… »
Comments
Tout ceci m'a redonné faim, je vais retourner à mon publi-sac pour une autre scéance d'onanisme.
Mais la pelure du chat est-elle comestible?
À moins que...
Nulle part on dit que seuls les mâles y ont droit :)
Pis c'est pour ça que je t'aime !!!
Bonne St-Valentin d'avance à toi et ta douce... Mais j'y pense, Zhom ne doit pas fêter la St-Valentin...?? ;)
Elur uoy !
À ton âge! C'est une honte!