LES HOSTIES D'AFFAIRES PLATES #3 (bis)
À ma grande stupéfaction, le dernier post du Jour des vidanges (brillamment intitulé Les hosties d’affaires plates #3) s’est mystérieusement volatilisé, et avec lui vos quelques vibrants commentaires. Cette disparition est-elle due à un simple pépin d’ordre technique? Je ne suis pas dupe! Il s’agit, et j’en suis convaincu, d’une conspiration. Il est clair que tout est dirigé contre MOI, qu’on cherche à me faire taire, MOI, le pourfendeur de la rectitude politique, le chantre du droit à la niaiserie affranchie, le Fantôme de la Liberté (je m’aime beaucoup aujourd’hui, Lady m’a acheté un nouveau parfum à fragrance de génie viril et je m’enivre de ma propre odeur.) Aux pauvres brebis égarées qui n’auraient pas eu l’occasion de lire mon dernier délire, sachez qu’il y était essentiellement question de FOIE DE VEAU, sujet délicat s’il en est. Évoquer seulement le FOIE DE VEAU est, en soi, un acte d’insurrection. Je me disais, aussi, en écrivant ce post « Ça ne passera pas. » De fait, me voici censuré, réduit au silence. Je ne comprends pas qu’en 2007 il soit encore si mal vu de parler, ne serait-ce que métaphoriquement, du FOIE DE VEAU sans être immédiatement retracé par les gardiens de l’autorité morale. Ainsi, puisqu’il faut vaincre le Système avec les armes du Système, voici une autre photographie, encadrée cette fois, du CHIEN MOUMOUTE.
Comments
-Lady
Lady : Délaissée par moi? Mais je passe mes journées entières avec Sissi! Si en plus il faut que j'organise des shootings de mon chien! Veux-tu que je lui fasse des enfants aussi?
De foie trempé.
Viarge.