Hommage à Bergman



(Pour agrandir, cliquez sur l'image, gang de mongols.)

Bergman n’est plus. Et toute la petite communauté cinéphile d’annoncer à grands cris la mort d’un « certain cinéma. » Faudra-t-il rappeler que « ce certain cinéma » est mort depuis longtemps, je parle évidemment du cinéma Saint-Louis qui présentait des films de répertoire fascinants tels que « Défonce anale » et « Change de trou, ça fume! » Ah! Que de souvenirs…

J’ai voulu ici rendre hommage au cinéaste suédois en proposant (première mondiale) un bout de pellicule du film inachevé « Midi moins vingt », écrit et réalisé par un certain « Alain Dubois » en honneur à Bergman. Quelques recherches m’ont permis de découvrir cette chose extraordinaire : Alain Dubois est le vrai nom de baptême de… Woody Allen, qui en vérité n’a rien d’un juif et n’a pas grandi à New York. Alain Dubois alias Woody Allen a passé son enfance à Rawdon dans Lanaudière et s’est égaré aux États-Unis en 1952 lors d’un voyage en famille à Plattsburgh. Grâce à moi, vous êtes aujourd’hui un peu moins cons que vous le serez demain…

Comments

Anonymous said…
Je commence à penser que chacun de tes posts est la petite dose quotidienne qui me ramène à pourquoi je t'aime...
-Ta Lady
P.S.; Envoye bébé, viens monter un meuble IKEA avec moi, en hommage au Suédois, chose là...
Kayou said…
Tant qu'à monter, bébé, montons un lit. Un lit solide et confortable qui ne fait pas de bruit. J'aime bien nos ébats de divan, mais ça me donne des crampes aux cuisses et ça laisse des traces bizarres sur les coussins (si nos invités savaient sur quoi ils reposent leurs fesses!)

-Zhom, en mode "confidences amoureuses et gluantes"
crocomickey said…
Je pense que Ingmar aurait bien aimé cette petite pose Ikea, question de laisser l'autre imperturbable se délier les mâchoires.

Bravo !
Perrasite said…
« Chérie, il y a une clé Allen d'étampée dans ton dos »
Ostide Calisse said…
Un jour, c'est Léa Pool, Ingmar Bergman et Quentin Tarantino qui décident de co-produire un film ensemble.

Ça a donné l'histoire de deux adolescentes lesbiennes en instance de divorce qui vivent sur une île de la baltique et qui finissent par se faire étriper à coups de scie à chaîne par un pègreux sadique.
Anonymous said…
Il est possible que Bergman ait porté son attention sur cet assemblage. Homme du spectacle pour qui tout semblait autorisé dès lors qu'il s'agissait de le dire en image. Fin, spirituel et psychologue, convaincu et passionné.

Mais que dire du symbolique dès lors qu'il envahit plus que les lieux du spectacle pour faire de la vie cet apparent double-sens qui n'en devient plus qu'un ? Sur cette question, je rejoins Guy Debord, l'homme-silence, comme un ami inguérissable.

Pour le reste, je suis moi-même bien banal et malheureusement très inapte à la conversation.
Doparano said…
Vous baisez sur le divan même en ayant pas d'enfants pour vous écouter ???? Sti que vous savez pas reconnaitre le plaisir extrème qu'un lit peut apporter.
Patrick Dion said…
T'as pas trouvé d'images de pub d'un gars qui se tranchait les veines?
Lyne-la-lune said…
J'ai une image dans la tête... Un rouquin et une Lady qui baisent sur un divan carreauté tâché et qui crient en coeur: "Y manque une vis".... T'a pognes tu ? ... Non ? .... ah.
crocomickey said…
C'est comme l'acteur Bob Hope. C't'un gars de Saint-Henri qui s'appelait Robert Lespérance et qui a anglicisé son nom une fois rendu aux States. Quelle pépinière de talents ce Québec !

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