LES HOSTIES D'AFFAIRES PLATES #1
Peut-être avez-vous tous déjà lu, chez Pat B, ce mystérieux commentaire laissé par un intervenant qui, visiblement, n’entend pas grand-chose à l’humour noir :
« Bonjour. Je suis propriétaire d'un site qui traite d'affaires policières à Trois-Rivières. J'ai reçu plusieurs courriels me demandant de vérifier votre blogue car me disait-on, des phrases incriminantes s'y trouvent concernant Cédrika... »
Même tapis dans les profondeurs insondables du net, nous sommes toujours sous haute surveillance, et de vaillants agents de la paix appuyés par des citoyens zélés, veillent sans relâche à traquer nos mauvais coups. Ce que nous écrivons, sans trop réfléchir, pour rien, ou souvent juste pour niaiser, passe au filtre des fins limiers de l’escouade technique de la Gendarmerie Royale du Canada, toujours à la recherche du pédophile idéal ou du tueur en série classique : « Je crois qu’on est sur une nouvelle piste, lieutenant. » Et cette nouvelle piste mène directement chez… Ce brave Patrick Brisebois. Incroyable! Voilà ce qui arrive quand l’honnête citoyen joue au détective, si pressé qu’il est de renifler la bonne trace pour trouver les méchants. Aussi, pour éviter l’éventuel débarquement des forces de l’ordre dans mon sous-sol rempli de restes humains, de scalpes secs, de clitoris en saumure, de vieux numéros de L’Actualité et autres croûtes suspectes, je vais désormais faire preuve de prudence et ne proposer ici que DES HOSTIES D’AFFAIRES PLATES (vous allez dire que je ne sais faire que ça de toute façon.) En plus, les agents d’Interpol me collent au cul depuis que j’ai vendu le punch du dernier Nelly Arcan, qui n’est même pas encore en librairies, défiant ainsi l’embargo, criminel que je suis.
Voici donc, sur l’image ci-dessus : QUELQU'UN QUI FAIT LA VAISSELLE.
« Bonjour. Je suis propriétaire d'un site qui traite d'affaires policières à Trois-Rivières. J'ai reçu plusieurs courriels me demandant de vérifier votre blogue car me disait-on, des phrases incriminantes s'y trouvent concernant Cédrika... »
Même tapis dans les profondeurs insondables du net, nous sommes toujours sous haute surveillance, et de vaillants agents de la paix appuyés par des citoyens zélés, veillent sans relâche à traquer nos mauvais coups. Ce que nous écrivons, sans trop réfléchir, pour rien, ou souvent juste pour niaiser, passe au filtre des fins limiers de l’escouade technique de la Gendarmerie Royale du Canada, toujours à la recherche du pédophile idéal ou du tueur en série classique : « Je crois qu’on est sur une nouvelle piste, lieutenant. » Et cette nouvelle piste mène directement chez… Ce brave Patrick Brisebois. Incroyable! Voilà ce qui arrive quand l’honnête citoyen joue au détective, si pressé qu’il est de renifler la bonne trace pour trouver les méchants. Aussi, pour éviter l’éventuel débarquement des forces de l’ordre dans mon sous-sol rempli de restes humains, de scalpes secs, de clitoris en saumure, de vieux numéros de L’Actualité et autres croûtes suspectes, je vais désormais faire preuve de prudence et ne proposer ici que DES HOSTIES D’AFFAIRES PLATES (vous allez dire que je ne sais faire que ça de toute façon.) En plus, les agents d’Interpol me collent au cul depuis que j’ai vendu le punch du dernier Nelly Arcan, qui n’est même pas encore en librairies, défiant ainsi l’embargo, criminel que je suis.
Voici donc, sur l’image ci-dessus : QUELQU'UN QUI FAIT LA VAISSELLE.
Comments
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Je me prendrais bien une vodka pickles.
Gare à tes fesses Pat, tu cours des chances que je te le crie aussi.
Do : Allons, ne te transforme pas en Jojo Savard!
:-)
Pat a la main gluante seulement quand il fréquente le blogue à Meth.
Un gars a bien le droit de se branler sur une photo de blogueuse de temps en temps, non? Et puis pour une fois que je tombais sur une au cul de laquelle il n'était pas écrit "Ed" au gros feutre. C'est beaucoup plus excitant.
Mais au fait, est-il éthiquement déconseillé de se branler devant la photo d'une blogueuse qu'on connaît ? Au moins, c'est sécuritaire.
Visiblement, votre complice est en train d'effacer les traces d'un crime.
-Je dirais même plus....