LE LIVRE DU DIMANCHE
Le livre du dimanche
(par Mike Camus, auteur de son livre, domicilié à Roberval)
Ma préface dans mon livre
« Bonjour. Je crois qu’à notre époque sociale, dans le moment actuel de ces temps-ci, suite aux évènements qui ont eu lieu depuis, vous êtes présentement en train de lire ma préface dans mon livre. Une seule question vous pose : Qui a écrit mon livre? D’autres questions arrivent encore comme des balles dans ta tête : Quand? Pourquoi? Comment? Et avec quoi? C’est à cause de toutes ces raisons que j’ai écrit ce livre moi-même au lieu d’un autre. J’ai surtout écrit ce livre pour ne pas me commettre de violer la sœur de Dave, car je crois que l’écriture est moins dangereuse pour un traumatisme, et que la sœur de Dave mérite mieux que la détresse sans espoir. J’ai aussi écrit pour arrêter de voler des chars, pour cesser d’être assidu à la consommation, de défoncer des quidams à coup de batte et de visionner de la prostitution anale sur un support de DVD. La violence dirige l’individu vers des actes qu’on ne peut pas rénover. Puis, quand la violence a été arrivée, elle mène vers une thérapie comme moi. Ou la prison de détention comme Dave, quand il a éliminé Éric juste pour voir. Les thérapeutes m’ont montré des facettes psychologiques sur des tests de réponses, sur des diaporamas de l’Irak mortelle ou sur un divan freudien. Ils m’ont également transmis des valeurs d’humanistes, des livres de lecture comme Jean-Pierre Sartre et des pilules pour la concentration. Quand j’ai sorti de l’institut j’ai fait d’autres choses que voler ou m’admettre à l’agression physique. En position tranquille calme, j’ai écrit un livre pour rentrer ma vie dedans. Et ça a donné un livre de préface que tu lis. À l’intérieur de celui-ci vous pouvez trouver des pages textuelles qui parlent de mon enfance à Roberval, une enfance qui s’est déroulée dans rien. Par la suite, un nouveau chapitre survient quand je parle de mon adolescence à Roberval où rien ne s’est déroulé. Puis, en troisième lieu, le dernier chapitre subit une thérapie avec des cours d’excrétion littérale à Roberval. Mon professeur me l’a ingéré : « Un homme révolté ne doit pas tuer des gens sans aucun but mais au contraire faire un livre avec. » Mon livre est le fruit de mes tripes émotives de douleur à Roberval. Donc, lisez-le maintenant, s’il vous plait ou non. »
-Mike
« Bonjour. Je crois qu’à notre époque sociale, dans le moment actuel de ces temps-ci, suite aux évènements qui ont eu lieu depuis, vous êtes présentement en train de lire ma préface dans mon livre. Une seule question vous pose : Qui a écrit mon livre? D’autres questions arrivent encore comme des balles dans ta tête : Quand? Pourquoi? Comment? Et avec quoi? C’est à cause de toutes ces raisons que j’ai écrit ce livre moi-même au lieu d’un autre. J’ai surtout écrit ce livre pour ne pas me commettre de violer la sœur de Dave, car je crois que l’écriture est moins dangereuse pour un traumatisme, et que la sœur de Dave mérite mieux que la détresse sans espoir. J’ai aussi écrit pour arrêter de voler des chars, pour cesser d’être assidu à la consommation, de défoncer des quidams à coup de batte et de visionner de la prostitution anale sur un support de DVD. La violence dirige l’individu vers des actes qu’on ne peut pas rénover. Puis, quand la violence a été arrivée, elle mène vers une thérapie comme moi. Ou la prison de détention comme Dave, quand il a éliminé Éric juste pour voir. Les thérapeutes m’ont montré des facettes psychologiques sur des tests de réponses, sur des diaporamas de l’Irak mortelle ou sur un divan freudien. Ils m’ont également transmis des valeurs d’humanistes, des livres de lecture comme Jean-Pierre Sartre et des pilules pour la concentration. Quand j’ai sorti de l’institut j’ai fait d’autres choses que voler ou m’admettre à l’agression physique. En position tranquille calme, j’ai écrit un livre pour rentrer ma vie dedans. Et ça a donné un livre de préface que tu lis. À l’intérieur de celui-ci vous pouvez trouver des pages textuelles qui parlent de mon enfance à Roberval, une enfance qui s’est déroulée dans rien. Par la suite, un nouveau chapitre survient quand je parle de mon adolescence à Roberval où rien ne s’est déroulé. Puis, en troisième lieu, le dernier chapitre subit une thérapie avec des cours d’excrétion littérale à Roberval. Mon professeur me l’a ingéré : « Un homme révolté ne doit pas tuer des gens sans aucun but mais au contraire faire un livre avec. » Mon livre est le fruit de mes tripes émotives de douleur à Roberval. Donc, lisez-le maintenant, s’il vous plait ou non. »
-Mike
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