L'ENTREVUE IMPRESSIONNANTE
(Zhom
tient à souligner ici l'embauche d'un nouveau pigiste puant-sale au Jour
des vidanges, en remplacement de Luigi, dit « ce fumier. »
Voici Luigi « pas le même que l'autre » qui s'applique
ici à sa première entrevue. Ci-dessus, une photo de Luigi « pas
le même que l'autre » en train de gosser après un meuble, l'hostie de moron.)
Entretien
avec Ton Quan Ngoc,
père dominicain.
Par
Luigi « pas le même que l'autre »
Luigi :
« Ton Quan Ngoc, votre prénom porte à confusion. Il créé
immédiatement un profond sentiment d'appartenance, de possession,
comme si vous nous étiez. Comme si vous-vous offriez tout
entier aux fidèles. En tant que père dominicain, vous devenez en
quelques sortes mon Quan Ngoc, notre Quan Ngoc.
Mangez-vous des battes?
Ton
Quan Ngoc : « (Rires) Je tiens à préciser que je ne suis
le Ton Quan Ngoc de personne, sauf de Dieu, qui n'est personne
puisqu'il est tout. Je ne suis pas ton Quan Ngoc. Pas
plus que je ne suis moi-même mon Quan Ngoc, son Quan
Ngoc ou votre Quan Ngoc. J'appartiens au Seigneur tout
puissant. »
-Pourquoi
ne pas changer de prénom? Dans toute la francophonie, personne ne
voudrait s'appeler Ton. Vous
pourriez vous renommer, par exemple, Quan Ngoc, tout simplement. Pour
un religieux, ce Ton doit être lourd à porter qui implique
de manière presque subliminale l'abandon de soi.
-(Rires)
Tu pues. Je pense que ton âme est pourrie.
Comments
Un billet pertinent.
le bonheur sur écran
la pêche miraculeuse
J-B
C'est ma réponse préféré et c'est efficace pour plein d'occasions comme le bureau, dans un lave-auto ou dans un cinéma vieux et déglingué.
HAHAHAHAHAHA!!!!
SOUMIS, DéSIREZ ???
HAHAHAHAHA!
SOUMIS, SOUMIS, SOUMIS!!! HAHAHA!
La noiréblan, je te kiffe à donf toua et ton staïle de jeune vieille! je vais devenir juif pour toi, et me faire pousser des ùmongolfières en dessous des bras pour pouvoir péter des aisselles au cinéma devant ces putrides parterres d'admirateurs exterminés de fritz lang ou de joan jett, en envol vers jéricho la SOUMIZE!!!!!!!!
HAHAHAHAHAHAHA!!!
;)
mais maintenant, tu ne peux plus te résorber du débat public auquel tu t'es insinué, alors tu devras absoudre ce sentiment pusillanime qui te tremblotte en toi, ou décéder sous les pavés des jurons haineux et dégénérés des étudiants libres de droits... HAHAHA!
c'est nul, mais c'est ainsi.
FIN.
TU VEUX DIRE, D.H. ??? MON D.H. ???
tu vois, ce serait plutôt le DHALIA DES ANDES, si tu vois ce que je te soumettrais, en direct de sumatra...
(radar)
Bien, mais ou est jip, ce sacré sacripant, PROUT! les tumeurs de niouyork dans le grabuge de ta peau frustrée de tabac comme la plainte de la chair qui tue!
JIIIIIIIPPpp!!!!!
moi aussi, je t'aime tant!!!
j'adOOOOre tes tableaux verbaux, car ils témoignent d'une telle profondeur et de liverté, et de tellement de sensibilité!
je pense que tu es plus dauphin que cariboux, mais avec pas mal d'ours et de chat-nékrophile, ou d'abeille... mais putôt des abeilles avec des ruches dans les arbres, ou les trous de troncs plutôt que dans des ruches aménagées de mains d'homme, biensur, car tu restes tellement indépendant malgré ta mise sous verROUGEs...
JIIIIIPPP ????
mais tu sais, je me vois putôt comme mou, et je sais que tu le sais...
ça va bien ? tu as fait du café ? je t'aime ?
je me sens bizarrement "mature" ces temps derniers.
C'est ainsi que je le sens aussi.
c'est commpe si le monde était une marmite sur le feu
Bon faut pas se faire chier plus que ça coco, ici le soleil brille étrangement. Faut essayer d'en profiter comme une banane au soleil.
T'eigne.
ça fait bizarre de "récupérer" une sorte d'activité cervicale quasiment "normale". le postrauma, c'est la peur de la rechute.
en fait, on apprécie "mieux" la "santé".
j'en croise qui sont dans mon état d'avant, en ville. j'aimerais bien leur causer, mais la psychose fourre de l'anormal partout. tout devient "suspect"
ils sont "perchés" par les ondes.
allé, à plus
Adieu coco! xx
mais on peut sortir de l'itinéraire "vert" aussi, et aller visiter les petits villages dans lesquels résident des cimetières étranges, encore, le long des bruissements suspects dans les buissons parcourus par les frissons d'un souffle indiciblement ancestral...
le prophète
tu as achetée une carabine ??
c'est un truc d'occidental, comme la soi-disant philosophie d'heidegger ou de kant... mais moi, ce que j'en pense, c'est qu'un truc qui te file des migraines n'est pas sensé t'apprendre ce que j'appellerais la "sagesse" selon moi...
FIN.
:)
pire que lio M!!
bon sang! du rockabilly industriel avec des paroles pop comme du mÖvais françoise hardy!! merci grand chien !!
voilà. et c'est peut-être ce à quoi on assiste d'une certaine manière en ce moment. tous ces chamboulements. on n'a jamais eu autant les moyens d'évoluer globalement dans ce sens là, me semble, selon ce que j'en sais... et quand on a les moyens, forcément, on met en oeuvre les choses qui en découlent, ou les trucs en découlent d'eux-même...
allé, à plus tard les pseudos.
biensur.
FIN.
A SUIVRE...
"La nouvelle tendance, en ville, c'est d'accuser les « inactifs » d'être responsables de la crise mondiale. Évidemment, c'est une escroquerie. Mais la jalousie et la mesquinerie petite-bourgeoise à court terme ont toujours été un très bon terreau à thèses minables de ce genre. En fait, ça en reviendrait à voir une sage-femme reprocher à un nouveau-né d'avoir enfanté sa propre mère.
La vérité, c'est que la société n'a pas besoin que tous ses membres bossent pour très bien fonctionner, et le niveau technologique que nous avons atteint fait que la production de biens resterait excédentaire par rapport aux besoins vitaux de base de chaque membre la composant.
Le vrai problème, c'est que la fraternité et la solidarité, l'esprit de partage qui devrait « normalement » réguler l'harmonie sociale d'elle-même reste toujours en rade, et que l'on assiste au recroquevillement paradoxal de l'engouement des « individus » à cet endroit. Et que le partage du travail proposé par la gauche du temps de Lionel Jospin, et qui devait niveler l'activité de chacun et son apport individuel à la communauté, a été un projet rejeté par ceux-là même qui aujourd'hui fustigent les nouveaux « responsables du malheur du monde ». Et voir que le rôle actuel des syndicats en serait réduit à toujours plus exiger du travailleur qu'il continue à se mordre la queue en orientant systématiquement ses revendications dans le sens du maintient de son « pouvoir d'achat », c'est à dire, justement, en adhérant à l'idéal matérialiste consistant à mouler son imagination dans le sens de l'entretien de son propre esclavage à long terme, est tout simplement déprimant. Et il serait peut-être temps de comprendre une bonne fois pour toutes que le problème majeur de la société contemporaine ne serait plus, comme il put l'être dans le passé, (quand les êtres humains restaient tributaires des caprices dues aux intempéries les reléguant au rang de potentielles futures victimes d'une toujours menaçante famine) d'ordre matériel, mais bien d'ordre moral, et bien plus simplement « affectif ». Et que ce « malheur » dont on entendrait partout poindre l’écho ne serait plus dû depuis bien longtemps aux déficiences du système à satisfaire l'appétit du ventre, mais plutôt, à la manière que nous aurions de gérer cette satisfaction, une fois l'objet de ce désir enfin comblé. Et le rôle des partenaires sociaux ne serait donc plus de tenter de maintenir à niveau ce fameux « pouvoir d'achat », mais bel et bien de chercher à se débarrasser des habitudes consistant à attribuer à l'appétit « naturel » de l'être humain le centre de ses anciennes préoccupations désormais reléguées à un rôle de « réflexe idéologique » plutôt que de véritable objectif existentiel.
Et donc : « Le temps est pourri ce printemps. On a trop de vent, de froid et d'eau, mais pas assez de soleil. Le fruits seront beaux, mais sans aucune saveur. » Voilà. Merci.
Et il alla se masturber en regardant des photos cochonnes de filles nues sur internet, plutôt que d'aller tenter de séduire une jolie jeune fille à la peau fraîche et mouillée, au bistrot, en trempant succuleusement son croissant dans sa tasse de café...
FIN."
ça fait penser à un mollusque, ou une coquille d'escargot. tu sais, comme ces photos de trouvailles archéologiques sous-marines qu'on trouve parfois dans les bouquins de science...
Ici il pleut des cordes mais la chaleur des deux derniers jours est partie et moi, ça me fait plaisir car j vais pouvoir peindre même si ça va mal sécher.
Ti-coco! Tu veux un café?
oui, je veux bien un café.
je t'aime ?
FIN.
Le café bleu, il goûte quoi?
Le bleu est une couleur qui me trouble et qui m'amène dans une zone dépressive chez moi, le rouge c'est le statu quo comme quoi les couleurs ne veulent rien dire vraiment.
moi, j'arrête l'alcool. après, le monde m'a pas attendu pour en péter de partout...
On devrait pouvoir s'enfermer dans une immense bibliothèque tous les deux, avec de la belle lumière pour peindre et puis tu pourrais écrire tous pleins de trucs. Il y aurait une immense serre intérieur et un grand potager. On pourrait sortir les jours de grands vents et la nuit mais il faudrait qu'il y ai pas beaucoup d'humains au alentour. Ils me dépriment au fond.
bon, allé. je vais faire autre chose. quand on est devant canal +, on est devant une télé qui te dit que tu n'es pas devant une télé... alors bon...
et en attendant, on aurait des affamés affectifs qui compenseraient leur vide de trop plein du bide par encore plus de manger gras générant de nouveaux appétits affamateurs...
mais l'avenir reste ouVERT.
bon dieu! il devrait se lancer dans la science-fiction pure au lieu de se contenter de son cynisme social de bas étage... on s'en fout de comment le monde est. c'est comment il SERA qui est important... bon sang dé ban diou!
FIN.
t'es ue camée des nerfs... si t'es pas à cran, tu tombes dans le vide, t'es pas habituée...
en fait, t'es pas préparée au bleu, affectivement, car c'est comme une zone étrangère pour toi. la dépression que tu ressens, c'est l'arrivée de cet "apaisement" que ton organisme gère encore comme une sorte de perturbation de son régime habituel...
FIN.
il faut que je me reconcentre. j'aurais besoin d'une nouvelle claque pour bien marquer la coupure. mais pas comme d'habitude. je vous aime, mon amie La Rouge.
vous me manquez déjà.
ADIEU!
un peu comme une party organisée entre collègues de bureau dans un roman de michel... et après, tu rentres chez toi, tu retrouves ton canari mort, et tu ne trouves rien d'autre à faire que de jeter son petit cadavre dans la poubelle collective de l'immeuble...
http://www.youtube.com/watch?v=nsXWS9MVr6Q
SANS FIN...