C'EST CELA QUI EST ÇA
Selon
toute vraisemblance (c'est à dire selon un avis officiel envoyé par
courrier électronique) ce blog sera d'ici un mois « gelé »,
c'est-à-dire que je ne pourrai plus y ajouter quoi que ce soit. Le
Jour des vidanges deviendra donc aussi figé qu'un tableau. On
regarde, on touche pas. Il paraît que je peux facilement échapper à
cette malédiction en bidouillant un peu les paramètres du blog,
mais mon nom d'utilisateur (qui devrait normalement être
opérationnel, c'est celui qu'on me retourne par mail quand j'en fait
la demande) est tout de même refusé. Mystère... Bref, ça sent la
fin. D'ici l'inéluctable momification de ce blog, je m'en voudrais
de ne pas t'offrir cette magnifique photographie d'un PETIT HOMME
INQUIET ET SANS AVENIR QUI PORTE DES SOUS-VÊTEMENTS THERMIQUES EN
POLYESTER
À
bientôt, ailleurs, peut-être
Comments
Est-ce que tu as un compte avec Google – genre gmail?
"You are receiving this message because your email address is associated with an unmigrated legacy Blogger account. As we announced in April of last year, legacy accounts will no longer be accessible after May 30th, 2012 unless they are updated to the Google Account system. Any blog content associated with this account will also be unmodifiable after that date."
...Cela suivi de quelques liens où on me demande mon "nom d'utilisateur" lequel n'est apparemment plus valide (?) Je vais me dépêtrer, mais pas maintenant, parce que c'est plate et que ça ne me tente pas.
Où est ce coquin de Jip encore?
J'aimerais bien t'aider mais je suis poche aussi. Moi rien n'a changé encore, c'est biz non?
Anne Archet devrait changer de photo. elle ressemble un peu à la chanteuse de blonde redhead, et à gong li, aussi, ou ho-chi minh, mao en un peu moins gras..
elle devrait téléphoner à wong-kar waï
FIN
J'pense que toutte c'que Googoole te demande, cé de suivre le troupeau, de te laisser bouffer par la machine, pis de devenir un vrai de vrai membre de Googoole.
Tsé, y'a du monde qui braille, bouh bouh bouh, ma vie privée, quessé qu'a va devenir, ma vie privée, wah wah wah, Googoole cé le Yâble, y veulent jusse voler mon âme pis sodomiser mes enfants, la vie cé d'la marde, ra ra ra, pis toutte; mais té PAS oubligé de leur dire des vraies affaires, au monde de Googoole, tu peux leur dire n'importe quelle clisse de niaiserie, pis y vont jusse l'enregistrer dans leurs tites machines, pis y vont se penser ben bons pis ben fins, quin, on a de l'information, on est hot, on va faire du cash avec ça, mais NON! Y feront pas une clisse de cenne avec moé, parce que toutte mon affaire, cé rien que d'la boulechite! Dans vos dents Googoole!
Faque tu vois ben que y'a rien là, devenir un membre de Googoole. Moé je l'ai faitte, pis j'ai encore toutte mes morceaux. Faque toé aussi, té capable.
Bordel Zhom! Prends-toi une adresse Google est arrête notre supplice.
"arrête notre supplice."
(Complice tout court)
pi quand Asticot Joyeux dit : "On me pardonnera de ne pas écrire dans le ton soi-disant "décalé" des autres participants", c'est pour nous avertire qu'il nous cause déjà depuis le passé "décalé" de par la programmation des commentaires émis depuis bien des années déjà par lui et ses petits copains liseurs de future via les marxtrices d'Yggdrasil trafiquées...
FIN.
VOILA. TOUTéDIt.
FIN
Faim.
*Sanglots et morve*
http://www.youtube.com/watch?NR=1&feature=endscreen&v=G_WbvOGZUAE
http://www.youtube.com/watch?v=2jTbYrcz6Zw&feature=related
http://www.wat.tv/video/jacques-dutronc-face-merde-1foop_2gh7d_.html
c'est déprimeux tellement c'en devient caca en huile de zobi molassaffre de calisse suicido-radio-réactif
http://www.youtube.com/watch?v=VgrzzA6H-Fw
pour un peu, il aurait pu écrire les paroles de le lien ci dessusse, pour son petit copain
http://www.youtube.com/watch?v=d7UnEwyf3cI
Je vais me faire une boisson chaude avec du citron et du miel.
Je reviens.
en fait, je suis humble, au fond, et je n'aime pas mon putain d'orgueil, mais c'est aussi cet orgueil qui me maintint en vie face à l'ignorance crasse des gogos croyeurs de choses...
je m'étonna, parfois. si j'eus à faire à pluche d'adeverssivité dans ma déroute continuelle du refus, j'eus pû prouver plus de courage en moi, en me défaisant de ces carcans idéologiques stérilisateurs d'humeur transcendante!
"la force de la fragilité"...
bansang dé bandiou!
J'ai compris tout ça que récemment. C'est pourtant si simple et tellement plus facile. Et j'ai mis toute mes énergies ailleurs. J'y tenais tellement à mon masque et il était si peu intéressant au fond.
la dernière conversation "humaine" que j'eus avec quelqu'un, sur une couche d'amants furtifs et maladroits s'avouant leurs faiblesses et leur besoin de l'autre, nus face à la mort
toujours séparés
de passage
en hiver
c'est le seuil de rupture
bordel
ça se nourrit de succès face au malheur, c'est une énergie qui se PARTAGE
et là, c'est dur de reprendre le dessus
et pourtant, on m'a dit souvent, avant, que j'étais "gentil". mais je ne voulais jamais le croire. je disais "non", c'est "normal" d'être "bienveillant". mais était-ce de la "bienveillance" de ma part, ou seulement une sorte d'obéissance aveugle à l'idéal des compatissants??
quelle connerie...
elle me disait que je réfléchissais trop. je crois que je réfléchissais "mal".
la putain de probité auto-lucide
da marde!
là, notre dutronc est dans une phase punk-zen de détachement idéo-réflexe, je dirai.
le décors bizness par lui-même est à gerber, et c'est bon, car celà marche, oui.
(ouais, mais "il" devrait venir me manger des merguez végétauriens en buvant du thé à l'helminte chez ma mère. mais il a trop peur de se retrouver devant un être humain qui serait "gentil" et pourrait lui dire "bonjour, ça va ?" et lui proposer de boire une bière en écoutant ça :
http://www.youtube.com/watch?v=QVc29bYIvCM
)
je sais pas ce qu'en pensent les gens autres que moi, mais y'en a qui croient sincèrement en son premier degré, parfois, aussi...
bizarre
il aurait peut-être dû lacher la scène et finir agent social, ou rémunéré des osties d'inbuvables associaux, comme syd barrett...
http://www.youtube.com/watch?v=JcK_tyj482I
Dutronc il attire, moi en tout cas quand je le regarde, je deviens captive et j'ai le goût de m'approcher mais plus tu t'approches, plus tu sens une forte décharge de DÉCRISSE DE LÀ CONNASSE! Comme quand tu tentes de coller deux aimants identiques ensemble. Cette putain de force de répulsion que tu sens.
plutôt un ostie d'étron merveilleusement paumé au milieu des décharges ambiantes dont il a du mal à assumer l'ensemble sans jamais adhérer à aucune de leurs identités illusoires factuelles, je crois.
car il est un enfant du tao, teigneux..
un brave garçon qui aurait eu du mal à gérer, à moment donné, en gros, et dont les stigmates s'exprimeraient de la sorte, par petites touches dicrètes mais néanmoins "touchantes", car elles évacueraient à fleur de peau toutes les espérances désabusées d'une enfance en mal d'origine, car désormais conscientes de la supercherie générale dans laquelle elle durent prendre corps contre LA volonté... celle qu'ils annihilent grace à leurs subterfuges conventionels émanant de l'irresponsable foi en l'ORDRE inculqué aux masses imaginairement téléguidées par les grand sorciers frigidateurs.
Dans un square sur un banc
Il y a un homme qui vous appelle quand on passe
Il a des binocles un vieux costume gris
Il fume un petit ninas il est assis
Et il vous appelle quand on passe
Ou simplement il vous fait signe
Il ne faut pas le regarder
Il ne faut pas l'écouter
Il faut passer
Faire comme si on ne le voyait pas
Comme si on ne l'entendait pas
Il faut passer et presser le pas
Si vous le regardez
Si vous l'écoutez
Il vous fait signe et rien personne
Ne peut vous empêcher d'aller vous asseoir près de lui
Alors il vous regarde et sourit
Et vous souffrez attrocement
Et l'homme continue de sourire
Et vous souriez du même sourire
Exactement
Plus vous souriez plus vous souffrez
Atrocement
Plus vous souffrez plus vous souriez
Irrémédiablement
Et vous restez là
Assis figé
Souriant sur le banc
Des enfants jouent tout près de vous
Des passants passent
Tranquillement
Des oiseaux s'envolent
Quittant un arbre
Pour un autre
Et vous restez là
Sur le banc
Et vous savez vous savez
Que jamais plus vous ne jouerez
Comme ces enfants
Vous savez que jamais plus vous ne passerez
Tranquillement
Comme ces passants
Que jamais plus vous ne vous envolerez
Quittant un arbre pour un autre
Comme ces oiseaux.
"Hé! Hé! C'est bien vrai il le dit mais sans plaisir. En fait il trouve ça con."
vouala
« La connerie, c'est la décontraction de l'intelligence ! alors des fois, je me permets d'être con. »
(Serge Gainsbourg)
«Jamais» est d'un absolu rassurant et «mes prochains posts soient encore plus laids» sonne comme une magnifique promesse. Il fait enfin soleil, les ténèbres ont quittés.
Adieu.
cul, pouyeux, bichons maltais, écrivains stériles!!! salopes de sorcières de chiottes démembrées en cieux jaunes du soir de mexico se reflétant dans l'explosion volcanique au dessus des collines stupides, bordel!
"bienvenue au payx des schtroumphs, c'est vachement terrifiant"
(marie-charlotte piérard)
mais surtout :
BORDEL, bordel!!!
Smack! Pouet! Smack! Pouet!
vive la carpette!
hirsute!
commancheros!
tous unis dans le vintage-alliance from opéra-story du nunuche embuché chez des pastilles colorées en roues!
pantalons, reflets, herbes dans le vent, échos de vieux cochons dans un tumulte caché sous la machine à laver en panne depuis 6 ans et demi, mais dont le tambour brille toujours malgré le manque de mousse... et l'odeur de savon, et la lavandière, et le lichen sur la pierre humide!!!
patience!!!