SUPPRIME-TOI EFFECTIVEMENT
-Le docteur de la psychologie
Commentaire d'un lecteur :
"Après avoir lu ce livre, je me suis regardé attentivement dans le miroir, et j'ai compris pourquoi les gens me battent sans raison avec haine depuis toujours. J'ai commis quinze tentatives de suicide et j'espère en réussir au moins deux. Au revoir."
-Wozcyek Pilon, trou de cul.
Comments
Un commentaire Benoit?
- " Oye Oye Oye Pierre, moi j'ai pas d'problème avec ça, mais c'était limite "
Qu'est-ce qui était limite Benoit?
- " ... euh... j'ai aucun idée de quoi ça veut dire en faite "
Aye Aye Aye
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PS: Ceci était un sketch... par et pour les nuls.
J'ai les deux mains sur le volant de ma vie dans l'champs.
T4ES NUL ZHOM? D2SOL2 DE TE L4APPRENDRE
j'ai eu de la patience envers tes gomettes, mais maintenant, tu me fais aussi chier que tata en train d'expliquer comment survivre dans une poelle remplie d'huile bouillante
tu te complets, là, t'es nase, bref
crève
bye
elle disait des choses comme : "mais c'est pas grave, on s'en fout, on vaut mieux qu'eux!!!"
je n'étais pas persuadé. je me disais que son assurance, refourguée dans la tête du clodo inventeur de la machine à écrire sur le trottoir éphémère n'aurait été qu'une histoire...
mais elle continuait à glapir : "la PUISSANCE est FAITE pOUR NOUS!!!"
je chérissais entièrement le bitume de tout mon être pendant qu'elle continuait à glapir / "LE MONDE NOUS APPARTIENT!!!
j'en avais marre
et je n'avais pas raison
c'était ça le pire
à tes côtés
à chaque fois
tu parlais d'autre chose
que nous
nous
pour moi
on était perdus dans la lande
injuste, sadique, avec des intentions
moi
je n'étais rien
et tu sais quoi ?
je te regardais aimer que je ne sois rien
je te regardais te nourrir
je n'avais pas de pitié
quand un corps esseulé de la rue
décharné me regardait
attisant mon feu congénère
je m'expatriai encore dans les nuages, je disais :
"t'as vu le petit barbu ?"
une fois
le type qui voulait s'en sortir
m'avait envoyée sa godasse dans la gueule
en fin de soirée
parce que je cherchais mes mots
le lendemain, ma lèvre tuméfiée criait : "vengeance"
c'était désespérant de voir tous ces gens
jouer au loto
ou au tiercé
je n'avais pas de force
ça t'amusais
tu te disais "haha!" testons le!
je te laissais faire avec ma mort
ça me faisait du mal en plus
c'est tout
une fois tu me disais, encore, des choses dont tu étais persuadée...
tu riais, te sentais puissante, toutes ces conneries.
dans ma poche, il y avait ma main, qui mouvait cette lame sur mes doigts.
à un moment donné tu avais dit : "tu ne sens pas une drôle d'odeur ?"
j'avais perçu le rouge dans mes narines, remonter.
je n'avais pas gagné pour autant.
c'était aussi vrai qu'un vomi sur le trottoir
le lendemain
pour toi
je voudrais seulement
qu'on meure ensemble
tu sais
je peux m'allonger
oublier
tout foutre par la fenêtre
dans un élan tu me dirais : "oui"
et dans un autre : "hein ? mais c'est quoi encore ces conneries de ta tête ?"
tu serais encore dans leur monde
celui qui oublie
à perpétuité
afin d'oublier les corps
qui nous nourrissent de notre enviue
de vivre