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HUILIO BATISKAF
UN NID TANGIBLE
Tu te cherches quelque chose? Tu respires le futur à plein nez? Cela tombe à pile! HUILIO BATISKAF le possède en son sein! Qu'il s'agisse d'un objet usuel, d'un individu donné, d'une notion abstraite ou du fond de la psychée des êtres, HUILIO BATISKAF se le procure facilement en criant CISEAUX! CISEAUX! Durant sa carrière HUILIO a fourni moult vedettes excessivement connues, comme Paul T. Bryan, le célèbre humain. "J'ai procuré Paul T. Bryan moins rarement qu'une seule fois", explique HUILIO, l'écume aux lèvres, la fièvre au corps, sans perdre sa dignité. "Paul T.Bryan est reconnu dans l'univers intégral, et c'est grâce à lui que je peux le dire", ajoute-t-il dans un spasme fébrile. OUI, AVEC HUILIO BATISKAF, TU SAIS QUI VOUS ÊTES!
Message promulgué par Veezes & Vozers inc.
Comments
après tout, sucer, c'est pas aussi humiliant que se faire enculer, vu qu'on décide, et qu'on s'active, alors que dans l'autre cas, on attend misérablement que ça passe, même quand ça s'éternise...
moralité :
sucer serait mieux que se faire enculer, mais ça resterait encore à prouver scientifiquement.
quand aux hommes...
elles agissent en pure mécanique, en s'inspirant des vidéos, gloglotent dans le vide inconnu, alors que nous, on sait bien ou frotter au bon moment, du bout des dents. on est reliés!
ou t'es comme dantec ?
t'as bien gagné au moins ça !
bise zhom.
et ça :
...
bin chépas, invente, fais le toa-même.
- donc, tu vois, on était au parking, vec la meuf.
- ouais.
- et je ne la désirais pas vraiment.
- ouais.
- mais je lui ai fourrés ces doigts, vu qu'elle en redemandait. et elle était belle, tu sais ?
- nan. mais ouais.
- après...
- ouais.
la nature à l'extérieur d'eux était eux. il suffisait de l'admettre.
- et alors finalement, ça s'est passé comment ?
- ben j'ai été... déçu.
- ouais.
- je l'aimais à des moments, tu sais ?
- ouais. nan, mais ouais.
- la plus belle qu'elle ait jamais été, c'est quand elle attendait à la fenêtre. elle posait ses doigts sur la vitre alors que j'étais en bas, sur le trottoir.
- hmhm... ouais.
- j'étais déjà mort mais, elle était tellement belle...
- ponponpon... ouais.
- je disais des trucs comme "je voudrais te manger" dans les lettres que je lui envoyais, tu vois ?
- nanan! mais ouais!
- en fait, j'étais comme toi, mais elle était tellement belle, tu comprends ?
- ouais. nan. bref.
- j'aimais bien comment elle mentait. je l'aimais, quoi.
- bon, écoute, vas te faire enculer.
- mouais. bref.
- bof...
- je cherche rien, bordel !!! l'amour, c'est tout!!!
- la belle affaire.
- je peux pas rester sur mon cul toute la journée à tendre la min pour l'exemple, sont si cons autour, que ça me file la berlue!
- si tu t'asseayis, hein ?
- merde! cloporte inextinguible! je suis debout et je marche, bordel!!!
- comme lazare.
- RHAAAAAAAAA! ce que tu peux être putride, des fois!
- kesse tu fous encore là au juste ?
- ben...
il était comme un con avec son sac des courses à penser à la fin du monde et au dominateurs..
- tu sais, l'autre fois, tu voulais te suicider, dit l'autre.
- j'en ai marre. faites chier!!
- bon écoute, nous les égouts, on a bien étudié ton cas.. et il semblerait que tu sois un bidule irrémédiable, tu vois ?
- et t'es pas unhe espèce de con irrémédiable toi-même peut-être ?
- biensur que si, mais c'est pas ça la question.
- et c'est quoi la question, alors ?
- le crane froid, les instruments, les psychiatres dominateurs, la bombe H, ton cul sur un grill arabe, la vendetta, maon, l'amour, une cave dans laquelle tu enregistres tes blues, merde, te faut un dessin ?
- et c'était ça la question ???
- décidément, t'es indomptable mon brave!
- faux! y'a longtemps que je suis rien!
- tu vas pas recommencer maintenant, non ?
- non, je recommencerai pas! rien que pour faire chier votre attente!
- à la bonne heure!
- ouais, amen!
- tss!
- pauv' con!
- yayaïee!!
- montre moi ta bite!
- bon écoute, "baise toi", hein ?
il n'y eut pas de fin, vraiment
dis leur bien qu'ils peuvent garder l'argent et la montre en or de caoutchouc, mais qu'ils doivent s'abstenir à tous prix d'aller uriner dans les boites aux lettres des deux rouquines.
et quand aux 40 000 mouches, dis leur aussi que je suis désolé de ne pas avoir été honnête avant, et d'avoir faussés à cause de ma négligence tout un tas de leur renseignements en réseaux..
je te promets aussi de ne plus jamais essayer de bien faire à l'avenir, parce qu'en fait, toute cette histoire est sortie de cette aptitude que j'ai à tout rater dans ma vie, et qui me colle à la peau depuis que j'étais petit.
adieu, zhom. j'essaye de regretter sincèrement tout ce bordel innomable en ce moment même, mais pour être tout à fait honnête, je n'y arrive plus vraiment maintenant.
tant pis.
adieu
alors ???
pour les deux rouquines, je me comprends. têtre même qu'ils se reconnaitront eux-même...
mais pour le bifrost, ce qui m'avait charmé, c'était la définition que l'on peut trouver de lui dans wikipédia : "le nom de l'arc-en-ciel, dans la mythologie nordique, qui fait office de pont entre la Terre (Midgard) et le Ciel (la ville-forteresse des Dieux : Ásgard)."
quand à Namaste : origine inconnue
bonne soirée
aussi ta faute.
adieu
t'es beau, tiens, la preuve, j'ai trouvée une photo de toi :
http://www.web-libre.org/medias/img/articles/e9257036daf20f062a498aab563d7712-2.jpg
merci d'avance
"cette route, il faut que je la traverse", se disait-il.
argh, une douleur dans la poitrine, mébon? fallait continuer.
un dernière de salope de conasse de bagnole carnassière passa. puis plus rien.
le petit animal attendit jusqu'à ce qu'on entende plus rien. plus aucun bruit de moteur.
seul le son de son coeur lui remontait jusque dans les tympans, presque jusqu'à l'assourdir.
il se décida.
la douleur dans sa poitrine se fit plus immense encore, alors qu'il tentait de bouger, mais il franchit ses propres pas, prêt à endurer, plus quil n'en fallait, plus qu'il n'en fallait.
il arriva de l'autre coté de la voie. tremblait. son corps battait, s'était fait la cathédrale dans laquelle l'échos de son coeur résonnait, accélérait balbutieit, frappait de plus en plus fort, jusqu'aux temps, jusque dans les pieds, les mains qui frétillaient, se glaçaient, s'enfiévraient, puis... AAAAAARGGHHHH!!! une dernière douleur fulgurante lui transpeça la poitrine, jusque dans la tempe droite, et BANG, plus rien, plus de corps, plus de senti, il tomba. son corps exhala un dernier souffle alors qu'il voyait ces brins d'herbes lui rentrer dans l'oeil, source d'une dernière larme...
puis voilà. ce fut tout pour lui.
VIVE TIM BURTON
chuis pas christophe colomb, mébon.
bise
bye
ensuite : je me casse vivre.
marie : qu'est ce que tu veux que j'en saches, sérieux ?
zhom : bonne bricole.
réponse : y'a de plus en plus de zombis partout. moi qui me croyais mort!!!
fin
...
j'étais venu faire état d'une autre journée "sainte" revécue d'un bout à l'autre avec "améliorations" dues à non-consommation alcoolique, jusqu'aux titres des bouquins sur un étal et l'histoire de ces chenilles qui ne meurent pas sous le feu du chalumeau (histoire vraie, comme les oies)...
une nouvelle boucle.
(remember gargantua)
qui sont ces psychiatres qui s'astiquent dans nos têtes ?
adhèrent aux techniques du nouvelle ordre merdique ?
y'a quelque chose au dessus d'eux :
TOUT
me demande s'ils le voient
l'ont pas effacé en moi.
résultat :
même mort, je vis plus qu'eux.
rien ne s'arrête
FIN
bande de nazes
(sans ironie)
bande de nazes
(sans ironie)
t'auras qu'à lire le bouquin pour mieux comprendre NOTRE histoire
amen
bon sang!