LA NUIT DES VIDANGES
Mongols adorés.
Ma vie ressemble ces temps-ci au dernier épisode d’un téléroman « tragicomique » de Stéphane Bourguignon. L’amour, le couple, la rupture, la trentaine, la difficulté d’être, et toutes ces hosties de niaiseries qui alimentent en torchons la petite machine à romans d’autofiction. J’ai d’ailleurs l’intention d’ajouter bientôt mon petit roman au gigantesque tas de papier, heureusement recyclable. Je suis sur une bonne piste : Mon roman commencera par « bonjour » et finira par « bonne journée » (j’avais d’abord songé à conclure par « bonne nuit » mais j’ai trouvée l’idée un peu convenue. Et je suis sûr que Georges Perec y avait pensé avant moi.)
Enfin, je vous laisse. Pour un temps. Zhom ne peut pas mourir.
Ci-dessus, une photographie parfaitement nulle, trouvée au hasard en 3 minutes :
DES CHIFFRES ET DES GENS
(Je sais, c’est mauvais. Mais je n’ai plus rien à perdre. Plus rien à perdre qui soit vraiment précieux…)
Enfin, je vous laisse. Pour un temps. Zhom ne peut pas mourir.
Ci-dessus, une photographie parfaitement nulle, trouvée au hasard en 3 minutes :
DES CHIFFRES ET DES GENS
(Je sais, c’est mauvais. Mais je n’ai plus rien à perdre. Plus rien à perdre qui soit vraiment précieux…)
Comments
Je pense à vous.
Mais ton élan de sollicitude me fait plaisir. On se croisera sans doute quelque part à un moment donné (j'ai toujours aimé cette formule étrange : Un moment DONNÉ. Quoi, c'est gratuit?)
Je pense à elle
Moi, c'est à un certain moment qui me trouble. Rien n'est certain, me semble, sauf que rien n'est certain.
"Un seul truc est certain, c'est que rien ne l'est."
C'est de qui, Wilde? Bukowski? Woody Allen? Toi? Foglia? L'homme de la rue?
J'aime aussi cette formule :
"On verra rendu là."
-Mathilde
Pour le reste, j'en suis aussi désolé.
N'oublie jamais ces quelques phases. Toute la vérité du monde tient dans ces quelques phrases baby!
Much love xxx (to both of you)
moi, celle qui ne peut s'identifier comme du monde
Mes condoléances pour tout le reste.
Si tu cherches un compagnon pour noyer ta peine, fais-moi signe.
On se tappera un pichet de tysane...
Probablement un couple de jumeaux siamois relié par le lobe d'oreille ou par les cheveux.
Même si anonyme dit "much love" je ne suis pas anomyme. Just in case.
Zhom, va-t-il falloir attendre un film serbo-croate au Goethe pour que je puisse enfin tâter de ton roux de barbe?