La chronique éditoriale de l'opinion par Gretchen Caron III
Le plus récent post de cette chère amie Do m’a fait réfléchir. Do y relate les propos insolites d’un psychiatre malheureusement connu lequel raconte que les femmes rondes n’attirent que des « pauvres types» (incluant donc les roux alcooliques à lunettes.) En fouillant mes archives, j’ai retrouvé cette lettre d’une femme qui a vécu les horreurs de l’embonpoint, Gretchen Caron III.
LA CHRONIQUE ÉDITORIALE DE L’OPINION
Par Gretchen Caron III
(Pour être plus précise, ma personne physique se situe sur la photographie à l’extrême gauche. Je suis la femme que vous pouvez voir sur la photographie à l’aide d’un foulard en forme d’art contemporain. Les deux autres femmes situées à droite ne comptent pas, surtout Diane. Merci.)
Donc bonjour, je suis une dame, moyenne de santé, âgée de plus d’un certain nombre. Je voudrais aimer pouvoir profiter de cet espace médiatique pour condamner l’obésité galopante qui grignote notre jeunesse (et même plus tard) à l’ère du fait de rester assis sans rien faire au 21e siècle. Combien d’adolescents se retrouvent assis sur un fauteuil au 21e siècle? Ne devraient-ils pas s’abonner à l’exercice pour maigrir leur poids au lieu de manger des « croustilles » et regarder bouger le « rap » en mangeant des « croustilles » tout en regardant le « rap » bouger? Mon expérience me prouve : À 30 ans j’avais l’air d’un sac véritable à cause de mon enveloppe humaine. Sur la balance j’accusais un kilo de 200 livres et quart. Aucun homme digne de vie n’obtempérait de désir envers mon égard. Grâce à une technique de jus de riz, j’ai volatilisé du gras pour me retrouver dans les bras d’un individu, un homme tel qu’en lui-même. C’est justement grâce à lui-même si je peux dorénavant aujourd’hui. La société d’alimentation provoque la nourriture des « gros » pendant que des orphelins sans fin meurent en carence. J’avoue que ce n’est pas drôle vraiment non. Je remercie le Dieu de Jésus pour le jus de riz qui me permet d’être maigre et furieuse. J’invite toutes les femmes qui soulèvent plus de 122 livres de graisse à venir se soulever contre l’obésité malade de la mort. Manger, c’est une chose. Mourir, c’est une autre chose. Il y a le sport physique aussi. Le jus de riz. Jésus. Le fait d’arrêter d’être assis. La vie est pleine de tout et… (Heureusement, la suite du texte est illisible.)
LA CHRONIQUE ÉDITORIALE DE L’OPINION
Par Gretchen Caron III
(Pour être plus précise, ma personne physique se situe sur la photographie à l’extrême gauche. Je suis la femme que vous pouvez voir sur la photographie à l’aide d’un foulard en forme d’art contemporain. Les deux autres femmes situées à droite ne comptent pas, surtout Diane. Merci.)
Donc bonjour, je suis une dame, moyenne de santé, âgée de plus d’un certain nombre. Je voudrais aimer pouvoir profiter de cet espace médiatique pour condamner l’obésité galopante qui grignote notre jeunesse (et même plus tard) à l’ère du fait de rester assis sans rien faire au 21e siècle. Combien d’adolescents se retrouvent assis sur un fauteuil au 21e siècle? Ne devraient-ils pas s’abonner à l’exercice pour maigrir leur poids au lieu de manger des « croustilles » et regarder bouger le « rap » en mangeant des « croustilles » tout en regardant le « rap » bouger? Mon expérience me prouve : À 30 ans j’avais l’air d’un sac véritable à cause de mon enveloppe humaine. Sur la balance j’accusais un kilo de 200 livres et quart. Aucun homme digne de vie n’obtempérait de désir envers mon égard. Grâce à une technique de jus de riz, j’ai volatilisé du gras pour me retrouver dans les bras d’un individu, un homme tel qu’en lui-même. C’est justement grâce à lui-même si je peux dorénavant aujourd’hui. La société d’alimentation provoque la nourriture des « gros » pendant que des orphelins sans fin meurent en carence. J’avoue que ce n’est pas drôle vraiment non. Je remercie le Dieu de Jésus pour le jus de riz qui me permet d’être maigre et furieuse. J’invite toutes les femmes qui soulèvent plus de 122 livres de graisse à venir se soulever contre l’obésité malade de la mort. Manger, c’est une chose. Mourir, c’est une autre chose. Il y a le sport physique aussi. Le jus de riz. Jésus. Le fait d’arrêter d’être assis. La vie est pleine de tout et… (Heureusement, la suite du texte est illisible.)
Comments
p.s. Ou trouve t'on du jus de riz?
Je crois que je préfère garder ma bédaine... :)
Merci madame de votre franche effusion contre la morbidité obèse.
Je suis totalement en accord avec cette affirmation.
Ça c'est de la vraie poésie pure comme on voudrait en écrire parfois.
sujet qui concernent seulement les gros .
Ayoye merci tes super beau genre !!