Message d'intérêt humain



En ce 6 décembre, un message de Paul Fabre, président du MEMN
(Mouvement Enfance Masculine Nationale)


« Comme l’on dit dans le territoire, les enfants non âgés « font dur », surtout lorsqu’ils en arrachent. Selon divers chiffres tout simplement statistiques et effroyables, plus d’un enfant en est atteint et, par conséquence, des comportements ont lieu dès qu’ils surviennent. Qu’il s’agisse de drogue, de tuer, de prostitution ou de mourir, ce phénomène sociétal touche encore plus bas les garçons dans leur intimité, car une étude le dit : les enfants nés « mâles » au Québec se sentent délayés à cause du féministe. Ils échouent leurs notes. Ils regardent à côté quand la maîtresse vient dans leur face. Ils trémoussent la colère en gémissant devant l’autoritarisme du matriarcat. Les garçons ne tiennent jamais en place et encore moins debout. Notre société matriarcale féministe transmue les garçons pour en faire de futurs Marc Lépine, des violeurs compulsifs, des homosexuels insatisfaits ou des concepteurs de « video games » tels que Massacre à la scie sauteuse ou Le Terminateur deux. Pendant ce temps, au Canada, l’homme québécois se demande pourquoi en regardant le téléviseur. Et la mère, du haut de son statut d’épanouie, le poursuit en justice pour des prétextes cocasses comme l’alcool au domicile, le gras nourricier ou la tentative d’inceste. C’est ainsi que des drames bouleversent, que des familles se trucident et que les intervenants demeurent en position assise. Afin de célébrer la mort ultime des 16 étudiantes de la Polytechnique, que nous saluons du chapeau, le Mouvement Enfance Masculine Nationale (MEMN) a entrepris d’effectuer une motion. Il est tant de s’inquiéter gravement sur le destin des garçons québécois sans cesse, pour éviter qu’un Marc Lépine pousse et que 16 femmes rencontrent le vide nul. Il est grand temps que tout cesse. Le Mouvement Enfance Masculine Nationale (MEMN) croit qu’un petit garçon qui pleure est un enfant de trop. Faites quelque chose ou pensez-y deux fois. »


-Paul Fabre, président du
MEMN

Comments

Anne Archet said…
Quatorze. Pas seize.
Kayou said…
Erreur, Archet, erreur.

En vérité il n'y en avait que trois.

La "tuerie de la polytechnique" est un coup monté par un groupuscule de lesbiennes radicales dont le but est de souiller l'image de l'homme québécois ordinaire.

D'ailleurs, Marc Lépine s'appelait en fait Marie-Julie Sigouin.
Galad said…
"Ils regardent à côté quand la maîtresse vient dans leur face"

Les pauvres...
Unknown said…
This comment has been removed by the author.
Coyote inquiet said…
Y a-t-il des limites d'âge pour s'inscrire dans le MEMN ? Suis-je trop vieux ?

Snif. Bouleversant témoignage.

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