Témoignage vibrant (spécial Noel)
Témoignage vibrant
« Bonjour, je suis ce qu’on appelle la petite Véro 9 ans et voici ce que je dirais au Père Noël quand ma mère me dit de l’écrire. Merci Père Noël de m’avoir donné un poumon neuf car sans celui-ci je respirerais avec une seule narine, ce qui est difficile quand on a le nez bouché par l’hiver. Je veux aussi dire merci au petit Pedro, 6 ans qui m’a vendu deux de ses poumons contre de l’argent canadien pour sa famille. L’histoire de Pedro est intéressante. Dans son pays, l’Amérique du sud, il n’y a pas d’argent pour le manger. Les enfants comme Pedro sont généreux et vendent des organes vitaux pour sauver les enfants canadiens, en échange de monnaie pour acheter des sucres d’orge ou un soulier pour sa famille. Pour le remercier, j’ai vidé ma tirelire pour lui donner. Ma mère a beaucoup de tirelires. Pedro est gentil même s’il est mort un an après ses poumons. Pour dire merci à sa famille et au grand monsieur avec des lunettes fumées qui a livré mes poumons à la maison, ma mère envoie chaque année des carrés aux dattes et des sacs de noix pour nourrir la pauvreté en Amérique du sud. Ma mère envoie aussi du ciment et des cubes pour construire un abri de pauvreté pour la famille en Amérique du sud. Chaque année la famille nous envoie une photo de Pedro pour me rappeler qu’il souriait avant de souffrir de la mort. Grâce aux poumons de Pedro, je peux avaler de l’air en regardant la télévision ou acheter du linge. Quand je serai grande, j’aurai beaucoup de tirelires et je vais faire des voyages en Amérique du sud pour dépenser de l’argent. Merci. »
Véronique Hudon, 9 ans
(texte écrit par Fabienne Hudon, mère familiale.)
« Bonjour, je suis ce qu’on appelle la petite Véro 9 ans et voici ce que je dirais au Père Noël quand ma mère me dit de l’écrire. Merci Père Noël de m’avoir donné un poumon neuf car sans celui-ci je respirerais avec une seule narine, ce qui est difficile quand on a le nez bouché par l’hiver. Je veux aussi dire merci au petit Pedro, 6 ans qui m’a vendu deux de ses poumons contre de l’argent canadien pour sa famille. L’histoire de Pedro est intéressante. Dans son pays, l’Amérique du sud, il n’y a pas d’argent pour le manger. Les enfants comme Pedro sont généreux et vendent des organes vitaux pour sauver les enfants canadiens, en échange de monnaie pour acheter des sucres d’orge ou un soulier pour sa famille. Pour le remercier, j’ai vidé ma tirelire pour lui donner. Ma mère a beaucoup de tirelires. Pedro est gentil même s’il est mort un an après ses poumons. Pour dire merci à sa famille et au grand monsieur avec des lunettes fumées qui a livré mes poumons à la maison, ma mère envoie chaque année des carrés aux dattes et des sacs de noix pour nourrir la pauvreté en Amérique du sud. Ma mère envoie aussi du ciment et des cubes pour construire un abri de pauvreté pour la famille en Amérique du sud. Chaque année la famille nous envoie une photo de Pedro pour me rappeler qu’il souriait avant de souffrir de la mort. Grâce aux poumons de Pedro, je peux avaler de l’air en regardant la télévision ou acheter du linge. Quand je serai grande, j’aurai beaucoup de tirelires et je vais faire des voyages en Amérique du sud pour dépenser de l’argent. Merci. »
Véronique Hudon, 9 ans
(texte écrit par Fabienne Hudon, mère familiale.)
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