LE TÉMOIGNAGE VIBRANT

MON OPINION DE HÉLÈNE BOON
par HÉLÈNE BOON

(Sur la photographie ci-de haut, vous pouvez m’entrevoir à l’arrière en avant, vers le côté d’un bord comme de l’autre. Hélène Boon.)

¨C’est avec une torpeur de sanglot et tremblement humain que j’apprends, avec torpeur, la mort du livre au Québec. En effet, il paraîtrait que si le gouvernement lui-même refuse de mettre des livres sur la bibliothèque scolaire, je suis énervée. Cela m’affecte de torpeur humaine. Un enfant qui ne lit pas est un homicide de plus. Combien voit-on d’enfants se violer ou se trucider sans avoir lu un roman au préalable? La réponse est à l’origine de ma question. Il faut faire lire les enfants, et cela s’applique aussi également aux gens. Lire, ce n’est pas comme ¨aller aux toilettes¨ ou ¨faire chauffer du veau¨. Lire un livre, c’est la porte qui mène vers la connaissance de l’autrui, l’univers des sentiments humains, les sphères éternelles de la vérité spatio-temporelle, la torpeur, mais aussi le simple plaisir de respirer des mots comme la poésie. J’espère que le gouvernement va me savoir et qu’il va mettre des livres dans les bibliothèques nationales d’enfants incompréhensibles. Merci et faites comme moi.¨

-Hélène ¨oui c’est moi¨ Boon. 

Comments

ça se voit que tu as beaucoup lu dans ta vie Hélène, et sûrement depuis ta tendre enfance.

Alors on fait une thérapie de groupe chez Corneau pour parler de nos peines suite à la mort du livre commandée par ce sinistre Bolduc suivi de près par les commissions scolaires qui ont tout de suite adhéré à sa demande sans rechigner ?
Carl said…
J'ai commandé un livre dans une librairie. j,espère qu'il va arriver avant les coupes.
Je n'ai pas suivi l'affaire.
-Carl
Carl said…
J'ai hâte que passe le mode vibratoire.
Carl said…
J'omets parfois le bouchon de la pâte à dents
jp et les cathares said…
dire que les cimmériens fussent originaires de crimée, et ça, juste paske ça sonne presque pareil, me dis : "mouais... possible... goth, god, gode, la 15ème étagère, c'est là ou il parlera..."

de toute façào, le brésil a perdu la coupe du monde, et donc, le graal est une nouvelle fois désintégré...
anarchie said…
le graal est, a été et sera
et il a pas besoin de ton témoignage pour être
car il est
au delà de la durée

pi vas chier et respectes tes ancêtres
dont les yeux amovibles de la machine exécutent systématiquement les restes
en présence de cette mémoire falsifiée qu'ils nous refourgue à même la fosse à mémoire qu'ils nous enfoncent dans l'adn grace à l'argent vos impôts :

https://www.youtube.com/watch?v=_g16GPqkews
jp anonyme de l'I.R.A. said…
"mer mer merde à la mer
fuck fuck fuck le soleil"

(brigitte fontaine)
mec cool said…
on s'en branle de l'éfficacité
c'est juste des tas de merde amoncelés en exemple
sous des gros tas de cadavres exhibés en preuves que la foi a raison

mais c'est de la merde
tout ça

pi un prêtre parle de sexualité sur "présence.fm" et dit : "soyez pas curieux, mais parlez-en"...
Jean-Baptiste said…
C'est en ce moment l'épisode du grand-baptême en directe. Donnez-nous votre âme.
Leviathan said…
Miam! Miam! Miam!
The Beast said…
Appelez-moi Louis!
pissane said…
http://www.youtube.com/watch?v=fMU_sznqOzI
Anonymous said…
http://www.youtube.com/watch?v=TzWs3zd_BZQ
Loup said…
La meute est prête à suivre aveuglément et toi?
Ni dieu, ni âme, ni homme (première partie) said…
Requiem Pour Hemingway

Ils ont déjà des idées, avant même de rencontrer le monde.

(je le sais, car je l'ai déjà fait, et l'on me le reprocha, sans me demander du reste, ce que je pensais « vraiment », de mes soi-disant « idées »)...

les espions, la CIA et le KGB, s'affrontant en apparence, mais qui sait, brûlant peut-être d'un même feu, quelque part... on m'a reproché mon intérieur, ceux qui entrebâillaient des portes... je leur disais toujours : « tu rentres dans mon esprit, et après, tu m'accuses de viol, ou d'entrevoir le désir de viol dans mon intimité, alors que c'est toi qui vient de me rentrer dedans ! Mais le violeur potentiel que tu vois en moi, ce serait pas aussi un reflet de toi-même, parazar ? Hein, quelque part ? »

Et puis affrontements, toujours, renouvelés. Les expériences, accusations, comme quoi « je me trompe jamais », tu disais... et je te répondais « tu serais pas un peu fanatique ? » mais alors, tu repartais en ironie, disant « non, car c'est toi le barbu », mais je n'avais pas un poil sur les joues, quand j'avais dix ans, et alors tu disais « t'as pas dix ans, mais 42 », en repartant de plus belle dans tes ricanements. Et tu étais connue dans le village pour savoir très bien jouer de la guitare...

les idées, les idées, l'expérience. La vie subie. Des milliers d'années plus tard. Je repense à toi aujourd'hui. Et t'avais peut-être raison à propos du socialisme. Comme quoi, c'était un truc qui tassait les hommes dans une voie et leur refusait d'exploiter leur nature propre, celle contenue dans l'essence... mais toi, ton problème, c'était aussi que tu croyais tellement connaître les choses, que tu finissais par les déformer, sorcière. Pi t'avais raison d'être toi. Et moi, je ne sais toujours pas qui je suis, mais comme je te disais déjà à l'époque : « croire se connaître, c'est peut-être aussi déjà s'oublier », et j'avais creusé un sillon, en toi, un soir de carnaval. Et les livres que je lis en ce moment, me rappellent à la mémoire de ces événements. Vieux de trente ans. Et je pense encore à ton frère, en jouant de la guitare, ces jours-ci, et en me grattant le cul, aussi, car il m'avait parlé de mon cul, aussi, ce soir là, devant la salle des fêtes. Et de SES ongles grattant la crème, avec MES doigts, à même mon orifice. (il n'était pas « présent », mais tu m'avais « connecté » à lui)
Ni dieu, ni âme, ni homme (seconde partie) said…
Entre temps, nous nous sommes recroisés, en boite de nuit, dans les années 90. et je me souviens que tu disais « il est là, et il est content de me revoir, en plus... », en te foutant de ma gueule... et oui, tu faisais partie de mon enfance, et des gens que j'aimais bien revoir, comme ça, avec une familiarité naïve. Et toi, t'avais pas oublié cette histoire de crème, peut-être, mais moi, si (au moins en apparence), mais tu recommençait à me creuser. Et c'est seulement ces jours ci, que je m'en souviens... pi t'avais des idées sur la haine, aussi, et tu m'appelais « petit prince », comme cathy... et tu disais que c'étaient des gens comme moi, qui avaient permis que l'on déporte ta famille à Auschwitz. Et que c'était la raison pour laquelle tu haïssais les faibles, et les pédés comme moi. Et que vous vous donneriez les moyens de les exterminer tous, tranquillement, grâce à la technologie, avant que ça recommence...

et je me souviens aussi d'autres choses...

« leaving is easie with eyes closed... that's understanding all you see... »

et j'ai pas dit ton nom. « no name, no shame ». mais merde, pardon, car je l'ai pensé...
mais bon : « et si le secret était le piège ??? »

+ le junkie m'a dit que j'étais de la même famille qu'elle. Mais elle, elle le savait pas. Peut-être... ou alors, c'était encore un mensonge... et moi, je n'ai jamais cru en la vérité.
jp said…
j'espère que le clone de ma voisine n'a pas engagée une sorcière rousse afin de décrypter des trucs en soi-disant-moi, via l'intermédière des lunettes noires qui se coiffent le pistil dans la pelouse maudite de josiane balasko, car oui, en effet, je suis et reste victime de communisme abusant relancé par le fascisme ambient qui dure selon les siècles de parodie cliniquement lapine...

+ cadavres et feux, cendres, terre, légumes, grosse poëllée à l'huile finissant dans mon ventre qui chie, pi énergie, orteils, et remerciements aux gens qui me voulurent du bien à moment donné, et se détournèrent par la suite :

https://www.youtube.com/watch?v=EP9_GOfXMoU
jp said…
hey, mertou
quand je viens acheter du tabac, chez toi
tu me prends encore pour quelque chose
peut-être ?

j'en sais rien.
pff said…
j'espère au moins que la prochaine fois que je viendrais fumer une clope chez toi, tu m'enverras pas me faire foutre le cul sur ta devanture, dehors, et que je pourrais me la fumer tranquille en racontant des conneries, à l'intérieur, fréro
elton john en cullotes pourpres said…
ouais, mais chuis pas ton frère, j'oubliais

ben alors

j'achète le tabac
et je me casse :

https://www.youtube.com/watch?v=UX2yUhv0sBg

quelle conasse cette diamanda galas, je peux pas la blairer d'avance

lydia reste mieux
complètement perchée par ses autorevendications, mais au moins, elle fait pas chier avec le fantasme de l'enfer, et se concentre sur le "comment être en vie"onnais pas assez les lieux dans lesquels joey starr échoue, durant les nuits d'amitié qu'il échange avec virginie ledoyen, dans les caves d'ardisson

mais peut-être aussi, que je ne c
bouc off ski (remonte pente en hiver, sport de con) said…
si j'avais une virginie ledoyen à côté de moi
je me tiendrais muet comme un crétin
et qui découvrivrait peu à peu
l'impuissance vivante
de la star assise à ses côtés
et qui se dirait :

"je veux me barrer de là"
jp said…
quel faux-cul ce christophe...
C'est bon, j'accepte de me livrer.

la page blanche
la page noire said…
portrait de le neurone :

https://www.youtube.com/watch?v=IGtWU3r-gdw

inchala
six cent soixante 17 said…
vous avez les guns
mais nous
on a le nombre (île)

preuve :

https://www.youtube.com/watch?v=nGHhqV_QhzE

allé, à dieu, petit cachothiers, va
pédé-faible enculeur des forts said…
"jimoriçon
ilémor"

(un con de merde)
jp le malheureux jouissant said…
http://costes.org/cdsc09.mp3
YES!!! (le mec qui joue de la guitare avec les beatles sur "suicide ton chabat") said…
poème pour le cheval :

t'es gros
t'es con
t'es vicieux
t'es avec nous
toi et ta science physique sensée nous apporter des meubles plus mieux

mais nous ne sommes pas esseulés :

http://costes.org/neg.mp3
p la marie-charlotte piérard de merdeour said…
http://costes.org/cu.mp3
jp et la sincérité des toubibs said…
poème :

je me sens seul comme une branlette
sur laquelle le peuple a chié
avant de retourner construire des immeubles
en suant sa mère
jp le bref said…
ayez pitié des trous du cul
jp le polansky said…
poème :

j'emmerde la shoa
car c'est de la politique

+ innombrables cadavres tout secs
et NUS
fiste toi un doigt dans ta verge said…
poème :

par le canal ou ça rentre pas
afin de savourer les patrons

+ cadavre de caviar, et petite fille dénudée devant un mec barbu qu'on découpe à la tronçonneuse

+ la petite jouit en pissant de l'urine, GROS plan sur sa chatte imberbe, c'est frais, on dirait un torrent de montagne dans lequel un aigle est décédé en amont, et qui aurait pourri sur place, lui et son plumage
jp du vercors à l'hélas-tique said…
jouir est dégueulasse, mednan
non ?

- non.

merde, mé alors, t'es un chien qui pu la biquette délavée, toi aussi ?

- non.

mé alors, kesst'es ?

- non.

OUI, merci alors :

PAS_DE_CLIP
j'encule l'horreur, car elle pu la mort said…
poème :

allons nous reposer mednan
moi et ma face porcine
engouffrée dans ta chair injoignable
de maman infiniment incomplète
j'irai voir les décédés geindre le dimanche said…
poème :

je recommence à fumer des clopes
ces temps-ci
jean philippe laffitte de preignan dans le gers said…
je suis encore vivant, car j'ai encore honte d'écrire des horreurs sur le jour des vidanges, et je me sens mal dans ma peau ce matin, surtout à cause de cette histoire de tronçonneuse, qui est vraiment sale, je trouve. mais un jour, quelqu'un m'avait dit "tu connais la psychologie inversée ? non ? alors voilà, nous, on va te rendre alcoolique, et t'enfermer dans une chambre, tout seul, dans le noir, dans laquelle on te fera regarder des films d'horreur et écouter de la musique spéciale qui rend fou, et après, les gens auront peur de toi, et te prendront pour un marginal dangereux, et se débarasseront de toi d'une manière ou d'une autre, en te tuant, soit socialement, grace aux rumeurs, soit de manière plus radicale, mais en tous cas, nous, on aura gagné, car tu seras mort. et même s'ils ne te tuent pas, et que tu te remettes à travailer, ou avoir une vie normale, et bien nous serons toujours vainqueurs, parce que notre autre but, outre la liquidation sociale et vitale d'un individu, c'est aussi de l'insérer dans la société afin qu'il y trouve sa place, mais dans ton cas, je pense que ton insertion se fera de manière un peu spéciale, parce que les sorciers qui se sont occupés de toi quand tu étais petit t'on vraiment mis la dose... mais qui sait. on a vu des cas bien pires de gens qui avaient vécus des horreurs, à la guerre, par exemple, et qui finissaient pourtant par avoir une vie de famille à peu près normale, malgré les traumatismes profonds qu'ils avaient subis, alors pourquoi pas toi, après tout."

et donc, moi, j'en ai marre des films d'horreur et de boire comme un trou dans le noir, car je trouve celà plutôt malsain. et le jour des vidanges est aussi un endroit plutôt malsain à mon goût, alors je m'en vais.

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