LE TÉMOIGNAGE VIBRANT
MON OPINION DE
HÉLÈNE BOON
par HÉLÈNE BOON
(Sur la
photographie ci-de haut, vous pouvez m’entrevoir à l’arrière en avant, vers le
côté d’un bord comme de l’autre. Hélène Boon.)
¨C’est avec une
torpeur de sanglot et tremblement humain que j’apprends, avec torpeur, la mort
du livre au Québec. En effet, il paraîtrait que si le gouvernement lui-même
refuse de mettre des livres sur la bibliothèque scolaire, je suis énervée. Cela
m’affecte de torpeur humaine. Un enfant qui ne lit pas est un homicide de plus.
Combien voit-on d’enfants se violer ou se trucider sans avoir lu un roman au
préalable? La réponse est à l’origine de ma question. Il faut faire lire les
enfants, et cela s’applique aussi également aux gens. Lire, ce n’est pas comme
¨aller aux toilettes¨ ou ¨faire chauffer du veau¨. Lire un livre, c’est la
porte qui mène vers la connaissance de l’autrui, l’univers des sentiments
humains, les sphères éternelles de la vérité spatio-temporelle, la torpeur,
mais aussi le simple plaisir de respirer des mots comme la poésie. J’espère que
le gouvernement va me savoir et qu’il va mettre des livres dans les
bibliothèques nationales d’enfants incompréhensibles. Merci et faites comme
moi.¨
-Hélène ¨oui
c’est moi¨ Boon.
Comments
Alors on fait une thérapie de groupe chez Corneau pour parler de nos peines suite à la mort du livre commandée par ce sinistre Bolduc suivi de près par les commissions scolaires qui ont tout de suite adhéré à sa demande sans rechigner ?
Je n'ai pas suivi l'affaire.
-Carl
de toute façào, le brésil a perdu la coupe du monde, et donc, le graal est une nouvelle fois désintégré...
et il a pas besoin de ton témoignage pour être
car il est
au delà de la durée
pi vas chier et respectes tes ancêtres
dont les yeux amovibles de la machine exécutent systématiquement les restes
en présence de cette mémoire falsifiée qu'ils nous refourgue à même la fosse à mémoire qu'ils nous enfoncent dans l'adn grace à l'argent vos impôts :
https://www.youtube.com/watch?v=_g16GPqkews
fuck fuck fuck le soleil"
(brigitte fontaine)
c'est juste des tas de merde amoncelés en exemple
sous des gros tas de cadavres exhibés en preuves que la foi a raison
mais c'est de la merde
tout ça
pi un prêtre parle de sexualité sur "présence.fm" et dit : "soyez pas curieux, mais parlez-en"...
Ils ont déjà des idées, avant même de rencontrer le monde.
(je le sais, car je l'ai déjà fait, et l'on me le reprocha, sans me demander du reste, ce que je pensais « vraiment », de mes soi-disant « idées »)...
les espions, la CIA et le KGB, s'affrontant en apparence, mais qui sait, brûlant peut-être d'un même feu, quelque part... on m'a reproché mon intérieur, ceux qui entrebâillaient des portes... je leur disais toujours : « tu rentres dans mon esprit, et après, tu m'accuses de viol, ou d'entrevoir le désir de viol dans mon intimité, alors que c'est toi qui vient de me rentrer dedans ! Mais le violeur potentiel que tu vois en moi, ce serait pas aussi un reflet de toi-même, parazar ? Hein, quelque part ? »
Et puis affrontements, toujours, renouvelés. Les expériences, accusations, comme quoi « je me trompe jamais », tu disais... et je te répondais « tu serais pas un peu fanatique ? » mais alors, tu repartais en ironie, disant « non, car c'est toi le barbu », mais je n'avais pas un poil sur les joues, quand j'avais dix ans, et alors tu disais « t'as pas dix ans, mais 42 », en repartant de plus belle dans tes ricanements. Et tu étais connue dans le village pour savoir très bien jouer de la guitare...
les idées, les idées, l'expérience. La vie subie. Des milliers d'années plus tard. Je repense à toi aujourd'hui. Et t'avais peut-être raison à propos du socialisme. Comme quoi, c'était un truc qui tassait les hommes dans une voie et leur refusait d'exploiter leur nature propre, celle contenue dans l'essence... mais toi, ton problème, c'était aussi que tu croyais tellement connaître les choses, que tu finissais par les déformer, sorcière. Pi t'avais raison d'être toi. Et moi, je ne sais toujours pas qui je suis, mais comme je te disais déjà à l'époque : « croire se connaître, c'est peut-être aussi déjà s'oublier », et j'avais creusé un sillon, en toi, un soir de carnaval. Et les livres que je lis en ce moment, me rappellent à la mémoire de ces événements. Vieux de trente ans. Et je pense encore à ton frère, en jouant de la guitare, ces jours-ci, et en me grattant le cul, aussi, car il m'avait parlé de mon cul, aussi, ce soir là, devant la salle des fêtes. Et de SES ongles grattant la crème, avec MES doigts, à même mon orifice. (il n'était pas « présent », mais tu m'avais « connecté » à lui)
et je me souviens aussi d'autres choses...
« leaving is easie with eyes closed... that's understanding all you see... »
et j'ai pas dit ton nom. « no name, no shame ». mais merde, pardon, car je l'ai pensé...
mais bon : « et si le secret était le piège ??? »
+ le junkie m'a dit que j'étais de la même famille qu'elle. Mais elle, elle le savait pas. Peut-être... ou alors, c'était encore un mensonge... et moi, je n'ai jamais cru en la vérité.
+ cadavres et feux, cendres, terre, légumes, grosse poëllée à l'huile finissant dans mon ventre qui chie, pi énergie, orteils, et remerciements aux gens qui me voulurent du bien à moment donné, et se détournèrent par la suite :
https://www.youtube.com/watch?v=EP9_GOfXMoU
quand je viens acheter du tabac, chez toi
tu me prends encore pour quelque chose
peut-être ?
j'en sais rien.
ben alors
j'achète le tabac
et je me casse :
https://www.youtube.com/watch?v=UX2yUhv0sBg
quelle conasse cette diamanda galas, je peux pas la blairer d'avance
lydia reste mieux
complètement perchée par ses autorevendications, mais au moins, elle fait pas chier avec le fantasme de l'enfer, et se concentre sur le "comment être en vie"onnais pas assez les lieux dans lesquels joey starr échoue, durant les nuits d'amitié qu'il échange avec virginie ledoyen, dans les caves d'ardisson
mais peut-être aussi, que je ne c
je me tiendrais muet comme un crétin
et qui découvrivrait peu à peu
l'impuissance vivante
de la star assise à ses côtés
et qui se dirait :
"je veux me barrer de là"
la page blanche
https://www.youtube.com/watch?v=IGtWU3r-gdw
inchala
mais nous
on a le nombre (île)
preuve :
https://www.youtube.com/watch?v=nGHhqV_QhzE
allé, à dieu, petit cachothiers, va
ilémor"
(un con de merde)
t'es gros
t'es con
t'es vicieux
t'es avec nous
toi et ta science physique sensée nous apporter des meubles plus mieux
mais nous ne sommes pas esseulés :
http://costes.org/neg.mp3
je me sens seul comme une branlette
sur laquelle le peuple a chié
avant de retourner construire des immeubles
en suant sa mère
j'emmerde la shoa
car c'est de la politique
+ innombrables cadavres tout secs
et NUS
par le canal ou ça rentre pas
afin de savourer les patrons
+ cadavre de caviar, et petite fille dénudée devant un mec barbu qu'on découpe à la tronçonneuse
+ la petite jouit en pissant de l'urine, GROS plan sur sa chatte imberbe, c'est frais, on dirait un torrent de montagne dans lequel un aigle est décédé en amont, et qui aurait pourri sur place, lui et son plumage
non ?
- non.
merde, mé alors, t'es un chien qui pu la biquette délavée, toi aussi ?
- non.
mé alors, kesst'es ?
- non.
OUI, merci alors :
PAS_DE_CLIP
allons nous reposer mednan
moi et ma face porcine
engouffrée dans ta chair injoignable
de maman infiniment incomplète
je recommence à fumer des clopes
ces temps-ci
et donc, moi, j'en ai marre des films d'horreur et de boire comme un trou dans le noir, car je trouve celà plutôt malsain. et le jour des vidanges est aussi un endroit plutôt malsain à mon goût, alors je m'en vais.