JEU AMUSANT POUR LES MONGOLS

Camarade, voici une autre tranche de pur divertissement destiné aux pas-de-quotient. J’en suis! J’ai perdu mon QI au cégep, en 1992. Je vous conseille de m’imiter. Bien entendu, ne vous sentez pas forcés de perdre votre QI en 1992. FAITES-LE DÈS MAINTENANT! Voici donc :

JEU AMUSANT POUR LES MONGOLS

Une star internationale se dissimule parmi les photographies ci-dessous, saurez vous la reconnaître? 

Réponse : Bien sûr, il s’agit du compositeur allemand Friedrich Wilhelm von Redern, qu’on peut appercevoir sur l’image droite, festoyant à la cabane à sucre. Ne venez pas dire que vous n’apprenez jamais rien au Jour des vidanges.

Ce photomontage, à la fine pointe de la technologie moderne , est une gracieuseté de Burt Bert ¨un méchant bon gars¨ 

Comments

devine qui est mort, aujourd'hui ? said…
cool.

je peux donc aller regarder "les enfants jouent à la poupée-roulette-russe" de jean-lcu grodard tranquille, en mangeant des bretzels contaminés au sperme de vieille chauve-souri communiste sentant mauvais la fausse concurrence déloyale due au trop plein de connaissance pénible à supporter moralement par les médecins ayant échoué là, car bien trop sensibles pour servir de nouveau matériaux estudiantins aux centrales expérimentales des laboratoires souterrains du NWO...
Kayou said…
Pourquoi ces efforts, camarade? L’idée, pour donner bonne impression aux gens très occupés, c’est de faire semblant, tout doucement, qu’on travaille à un projet important.
l'alternance des deux visages se suffisant à elle même said…
je sens que je vais me faire implanter un neurone rempli de vocabulaire ésotérique, afin de le ressortir aux filles, pour les épater, lors de nos rendez-vous au restaurant...

des mots comme "la grosse bertha", ou "palmypède", voir "rodhodendron", ou dans un autre registre, plus futuriste, "entertainment", "big bad kaiser" ou "supposé déviant hors-normes", et pour en revenir à un registre plus classique "andromaque", "terry hill", "retour à mathausen", ou alors, plus gloque : "l'assault final vers la fin de guerre hippie", ou "suicide en basse-judée", "renvoyez-moi chez le dentiste", "marchez-moi pas sur les velours, mister", ou alors, pour finir "virginie me manque"...
mise en verbe d'une pesée authentique said…
j'aimerais bien retrouver cet album de drone folk, sur lequel on pouvait entendre de l'eau bouillir sur le feu... et il y avait des bruits de vent, et de portes qui claquaient, aussi... et des bruits de pas faisant craquer des branches morte, comme dans la nuit, et quelqu'un jouait du tambour en semblant imiter une sorte d'incantation à la fois absurde, mais portant aussi très loin, dans le fond... comme une traversée des ages...
flip solitaire said…
j'aime ton style, petit.
tu encules les mouches avec brillot.
Anonymous COP said…
et moi, j'aime pas les gens qui se croient créatifs à partir du moment ou ils conjuguent le verbe "enculer" à toutes les sauces, pendant que des gens souffrent de lobotomie frontale, ou sont en train d'uriner dans le désert, à côté d'un gros camion dont le moteur tourne encore, dans la poussière...
le mec n'ayant jamais fait l'amour avec une femme de toute sa vie (22 ans et demi) said…
oui, je vois le tableau, un homme de couleur en chemisette à manche courte urinant à même la chaussée dans un nuage de sable, par 62 degrés à l'ombre...
paul and the blues said…
non, pas 62, mais plutôt 73 degrés, et le sable serait tellement brûlant, que le pipi partirait en fumée au moment même ou il frolerait le sol, dans un psshhhhh.... et les vapeurs d'urée et de chlorure de sodium viendrait parfois étouffer la gorge du pisseur, et qui alors serait pris de secousses de toussements secs et irrépressibles, en fermant les yeux, et se précipitant vers l'intérieur du véhicule... seul abris...
le combat des vapeurs contres les vélocyclistes said…
oui, bien dit et bien décrit, surtout au niveau des composants chimiques de base, l'on voit que tu t'es documenté, et que tu n'as pas pris le sujet à la légère, comme celà est vraiment trop parfois le cas, dans cet avenir qui nous attend tous. cependant :

"mais pourquoi laisser donc le moteur du camion tourner, alors que l'on pourrait faire des économies d'essence ?????)
reporter hors-croisière said…
et bien, oui, j'avoue que la question m'avait en mon temps aussi posé la chose, mais je me suis documenté, depuis, car j'ai vécu dans ce camion moi-même, en compagnie de deux autoctones accolytes durant 22 jours. et la réponse me fut donné qu'il valait encore mieux perdre un peu d'essence en laissant tourner le moteur, plutôt que de l'éteindre, et de risquer de ne pas redémarrer, dans un tel environement. car parfois, ces tempêtes peuvent durer plusieurs mois sans s'arrêter, comme sur certaines planètes qu'on peut voir dans star wars, ou le film de star treck ou spock est sensé retrouver le centre de l'univers en compagnie de l'un de ses anciens maitre de yoga vulcain... et dans ces conditions, c'est assez dur de réparer un moteur de camion sans y laisser la peau, car les réserves d'eau sont souvent comptées au minimum, en raison que les cargaisons de choses vendables (la plupart du temps, de vieilles ferrailles datant des colonies, ou des débris d'engins de guerre brulés ramassés sur le bord de la route) doivent prendre le plus de poids possible en vue de faire un peu plus de pognon pour, avec un peu de chance, payer une paire de sandales à la petite afin qu'elle ne s'écorche plus les pieds sur les débris de cannettes de bière entre la maison et l'école communale, ou simplement un peigne, ou une bouteille de shamppoing.
femme blanche, blonde, et plutôt idiote said…
on a beau dire et médire sur leurs moeurs parfois scabreuses, j'avoue que souvent, je me dis que ces sauvages on quand même beaucoup de courage de se donner autant de mal pour aussi peu...

mais, j'y pense, n'y aurait-il pas moyen pour eux de subvenir à leurs besoins, (je pense notament aux chaussures de la petite fille) en confectionnant eux-même des petites sandales faites de lannières de cuirs, ou en fibres de tissages de plantes, comme l'on le fait dans les andes, ou dans les ateliers de réadaptation moteur de nos propres aliénés mentaux, ici en occident ?
spécialiste en droit local said…
bonne idée, oui, biensur. mais dans ces contrés, ou les gens, souvent éleveurs de vaches assez maigres, fabriquaient encore artisanalement leurs propres souliers en cuir de bête il y a de celà à peine une huitaine d'années, et bien fut frappé l'interdiction de produire certaines choses locales, afin de mieux relancer l'économie moderne du soulier fabriqué en usine dans les villes soudain accrues en population depuis les crises de dépeuplement des campagnes, à leur profit, mais aussi, à celui de la famine, et de la disette... et pour plusieurs raison de cette envergure, furent prise aussi des dispositions gouvernementales de blames allant parfois jusqu'à l'abbatage d'un troupeau tout entier de bête, quand ce n'était pas l'éleveur lui-même qui avait à subir le sort de mort lui-même, en vue de répression à qui ne respectait pas la loi... et dans ces conditions...
jeune femme avec un champignon atomique dans l'oeil said…
oui, on comprend mieux cette histoire du camion, maintenant...
clotilde avec des oiseaux dans les chaussettes said…
et maintenant qu'ils avaient mieux compris l'hitoire du camion, ils allèrent se souler et fumer de l'herbe dans un coffeee shop, à amsterdam, avant de repartir sur la route, direction le danemark, et plus tard la norvège, au volant de ce camping car flambant neuf qu'ils venaient d'acquérir après avoir gagné le mega pactoll du loto (plusieurs millions d'euros), grace au conseil d'une voyante qui avait seulement demandé un petit pourcentage, pour le moment, et que le destin assurerait ses propres réponses dans les jours qui suivraient, ou même les années...
personnage intrigué par l'histoire de la voyante, et soudain assez indifférent au sors du camion, soudain, car les sujets abordés s'enchainaient comme des toupis autour d'un baton en fil qui retombait vers le bas said…
cette histoire de voyante me laisse perplexe...
mec pas perplexque dutout, mais n'ayant rien trouvé d'autre à dire, car sortant à peine d'une rêverie composée de tempête de sable, et de souliers de petite filles perdus dans le noir said…
oui, c'est perplexe comme idée...
intellectuel de gauche-caviar said…
les idées sont comme des rêves qui s'entrouvrent et se délassent, dans la perplexité d'une amertume de citron vert s'en allant innonder de son zeste un précipité composé d'alcool de poire et de sorbet à la banane...
tex averty said…
tu vas peut-être rire, mais nous avons retrouvées les archives, et le camping-car des chanceux du loto (qui sont morts congelés de faim et d'épuisement quelques années plus tard dans une randonnée "sauvage" en plein hiver, et en plein himalaya, précismément, le 20 janvier 1987, on en avait même parlé sur un flash du journal de nuit d'antenne 2, à l'époque) est l'une des composantes du camion du désert du début, datant de 2011, en reportage, et notament, le pare-choc avant, ainsi que l'une des deux poignées de portières... c'est quand même une sacrée coïncidence, non ?
le calme avant que la moutarde ne monte au nez des horodateurs said…
hein ? mais comment ça se fait, étant donné que les gens du camping-car démarrèrent leur ruée vers amsterdam après même qu'ils aient compris l'histoire du camion ? ce n'est pas possible! car leur ruée date des années 80, au moins, si j'ai bien compris, alors que les faits du camion remontent seulement à 2011, non ?
la réponse qui tue les cartésiens les plus démunis en doutes said…
hé bien, tout simplement, grace au mystère situé dans l'effet des drogues sur les cerveaux humains, biensur...
merrie gilliam said…
mais en dehors d'une poignée de porte et du pare-choc avant, alors, et les autres pièces du camping-car ?
des nouvelles des morceaux manquants du camping-car des gagnants du loto décédés dans l'hymalaya said…
ben, les autres seules pièces retrouvées restent un petit ventilateur et un bout de verre du phare avant droit, mais malheureusement, pour tout le reste, ça a été mangé par un monstre du désert. une espèce de "chose" qui au début, n'était qu'un simple petit solex à deux roues, mais qui sous l'effet des incantations d'un marabout un soir d'orage (très rare les orages, là-bas, mais quand ça pète!), et bien le petit vélo se serait transformé en machine de cauchemars, devenue véhiculophage, et qui grossirait de plus en plus, en incorporant à son corps-mutant toutes les pièces des véhicules passés entre ses machoires d'acier... et maintenant, l'animal ferait plusieurs millions de tonnes, et plusieurs centaines de mètres de long, et vivrait en dessous de la surface du sol du désert, u_n peu comme les vers géants, dans "dune", mais des vers qui seraient composés de tôle broyée... et donc, si vous voulez des nouvelles des morceau du camping-car, ben allez demander au "serpent des profondeurs", comme l'appellent les autoctones...
chalan said…
ben dis-donc!
le freak à la pipe said…
ça file envie d'écouter "hushh", de deep purple, ton histoire, dis-donc!
oui said…
oui, allons écouter "hushh" de deep purple en fumant de la drogue, et peut-être aurons nous accès à d'autres vérités de ce type... voir même du troisième ou quatrième...
clotilde et les effets secondaires said…
mais comme celà n'amusait plus personne, le pauvre diable reçut une balle de kalachnikov perdue dans l'os du talon, qui explosa, et provoqua sa chute, par-terre, sur la moquette (car il avait parlé debout).
les aventuriers du spectacle perdu said…
moi, maintenant, je n'utilise plus les drogues que pour me soulager des crampes de cerveau dues aux interférences entres les implants introcraniaux et les espèces de petits vers qui me poussent dans la nuque, parfois, les soirs de pleine lune. mais niveau "trip", ça ne marche plus... je vois seulement des flèches de souris se balader sur des écrans d'ordinateurs, ou alors, parfois, des pousses de radis, et des feuilles de betteraves semblant vouloir venir s'agripper à mon museau... c'est un peu dommage.
le mec flairant le piège said…
@ clotilde avec des oiseaux dans les chaussettes

mouimoui, mais disons, "plusieurs millions d'euros", au début des années 80, ça aurait fait combien, à peu près, en anciens francs ?
clotilde said…
oups!
(pshh)
zoeuil said…
intrusion d'un élément non désirable qui sent l'usure Patrice. refusons de communiquer plus longuement.
Zoreille said…
j'ai faim.
clotilde Patrice, jeu de mot said…
oups!

(pshhhT)

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