(Indice : Sur la deuxième image, le conférencier semble s'adresser directement à un monsieur qui gratte sa barbichette devant le groupe lequel,intérieurement et sans mot dire, prend part à l'aventure.)
j'ai pas le temps pour le jeu mais puis-je prendre cette photo pour mettre sur mon fb avec la mention suivante : "j'ai assisté à une conférence hier" ?
Mais bien sûr, chère Rainette, puisque tu es, à toi seule, l'immense majorité de mon lectorat actif. Je n'ai jamais assisté à une conférence. Pour moi cela relève du phantasme lubrique.
Moi j'aime bien que le tout semble sponsorisé par Helmo, frère aîné diabolique d'Elmo...
Orson Ouellette said…
J'ai pas remarqué les différences, mais la seule chose qui est semblable dans les deux photos: la bonne femme qui rit en regardant sur sa droite. La pose et l'expression sont identiques sur ces deux photos prises vraisemblablement en deux périodes différentes...
ON T’AIME MON RICHARD PAR SUZANNE ¨DIANE¨ CAROLE Bonjour!!! Je me présente Suzanne, mais mes amies m’appellent Diane car il paraît que je ressemble comme deux gouttes d’eau à Diane. Mais je ne prends pas la plume aujourd’hui pour parler de Diane et de ses deux gouttes d’eau, au contraire. D’ailleurs, si jamais Diane me lit en ce moment, elle peut aussi bien faire autre chose, comme organiser un tournoi ou ¨en manger un char¨, sa vie ne m’intéresse trop pas. Je ne suis pas rancunière, mais il y a des limites à être une ¨connasse¨, et Diane les a dépassées le 4 avril 2009 lors d’un périple tout-inclus à Cayo Coco (je vais taire l’anecdote, qui implique un cubain Pédro d’à peine 17 alors que Diane en a 59.) J’ai mis le mot ¨connasse¨ entre parenthèse car je suis indulgente et je suis certaine que Diane a d’autres qualités à part ses deux gouttes d’eau et son ¨beau cul¨ gros comme le bras. Mais laissons tomber Diane dans une masse d’excréments brûlants, elle peut mourir si el...
Dans la série DES HOSTIES D'AFFAIRES PLATES : ANALYSE PICTURALE ( "Un homme, un chien" Infographie : Logiciel poche de 1996 Un homme. Un chien. Deux solitudes en duel . Solitudes mélancoliques, aux aspirations antinomiques, abandonnées à l'attente d'un ailleurs meilleur, ici n'étant en somme qu'une gare entre deux là-bas . Lui, l'homme, sans traits, l'homme générique , roseau pensant et cogitant, ruminant d'absolu, yeux rivés aux rondeurs lisses d'un paysage in(dé)fini qu'on devine légèrement éclairé par l'astre crépusculaire, ce soleil fatigué. L'autre, la bête, indifférente aux désirs enfouis de son maître, semble dire à celui-ci : "Mais que fait-on? Qu'es-tu venu faire ici, en ce monde? Il n'y a rien ci-devant. Rentrons. Je suis avec toi. Rentrons." Hypnotisé, l'homme ne porte pas attention aux conseils de son camarade et continue à rêver debout, observé par ces grands arbres silencieux qui symbolisent...
Non, je n'ai pas disparu. Mais j'en ai assez de la métaphysique. Je veux rejoindre le vrai monde, les gens du commun, partager mon amour de l'humanité par l'humour bon-enfant et la franche rigolade. Fini, le Jour des vidanges austère et ténébreux. Finies, l'obscénité sous-entendue et la violence latente. Finis, l'analyse sociale et le propos engagé. Payons-nous une tranche de rire! Vive la simplicité! L'illustration ci-dessus n'est qu'un exemple de ma conversion. Suis-je sur la bonne voie?
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le conférencier chevronné