ET MAINTENANT... UN PEU D'HUMOUR

UN PEU D’HUMOUR...
POUR LE VRAI MONDE.
J’en ai assez de sonder les profondeurs de la psychée humaine. Le Jour des vidanges me paraît, avec le recul, beaucoup trop austère, intellectuel, formaliste, destiné à un lectorat confidentiel. Aussi ai-je décidé de m’adresser au bon peuple grégaire, à la plèbe, au vrai monde. Le peuple aime se payer une bonne tranche de rire, rire sain et convivial. Il aime se reconnaître dans les choses du quotidien. Voici donc, en exercice, un gag léger auquel chacun et chacune pourront s’identifier. Ce n’est peut-être pas au point, je manque d’expérience, mais à coup sûr le punch suscitera une véritable cascade de rires. (J’enverrai cette blague à François Morency ou à Mario Jean.)


¨L’autre jour, j’étais chez Jean Coutu avec ma blonde. On s’est arrêté au rayon des produits hygiéniques pour femmes. Ç’a pris au moins une heure avant qu’elle fasse son choix de tampax : Mince, ultra-mince, moyen, large, jumbo, all-dressed extra bacon. Et y a les couleurs aussi : des tampax jaunes, des bleus, mauves, verts, aquarelle, concombre et oignon. Coudonc! Les jaunes-oranges sont à quelle saveur? Mangue, carotte ou cheeze whiz? Tout à coup, j’ai été pris d’étoudissement et de nausée. J’ai dû m’accrocher à un appui solide pour ne pas m’écraser par terre. Suant et grelottant, halluciné, l’écume aux lèvres, je voyais des images impossibles. Dans mon esprit délirant, le centre d’achat était en feu. Autour de moi, des enfants et des femmes couraient, brûlants comme des torches, couinants comme des porcs. Le sol était jonché de débris et de cadavres carbonisés. J’imaginais aussi ma blonde écrasée par une dalle de béton, à moitié morte, le corps disloqué, les entrailles fumantes mises à nu, le crâne défoncé, me suppliant de fuir : ¨L’un de nous doit survivre. Cours! Mon amour, cours! Prends soin d’Anne-Sophie. Elle aura besoin de toi. Cours! Je t’aime, je n’ai aimé que toi¨...

LA CRITIQUE EST UNANIME
¨J’ai tellement ri que j’ai pissé dans ton nez¨¨
-La critique



Comments

Carl said…
François Morency est complètement capoté. C'est un fou-fou drôlatique. On rit aussitôt qu'il apparaît dans le décor. Il sous-tend la notion de rire. Parfois considéré comme étant le "Sting des pauvres".
Quand à Mario Jean, eh bien il s'agit plutôt d'un phénomène d'identification. Il n'est pas lui, comme on pourrait le dire de Sting (François Montmorency), mais il est nous. Qui ne se reconnaît pas en Mario Jean? Mario Jean nous autorise à afficher notre candeur, le zizi à l'air. On a tous eu 13 ans, n'est-ce pas?
Quand à ton humour, qui ne s'enfarge pas dans les fleurs du tapis, eh bien je ne saurais dire si ces gentlemen peuvent l'incarner.
Carl said…
Allez, JP, un petit effort...
jp le détruit, sur la cuvette + mémoire d'ordinateur insuffisante said…
depuis que je bois moins
je chie un peu moins mou.

c'est selon moi un signe que la santé revient. mais pour quand, qui et combien ?

poème :

non
pas de poème ce soir
car tous les morts-pour-rien reviennent me chier dans l'anus du sphincter, comme des enculés dans ma mémoire
ce soir
et que tout est de la merde
comme israël
qui est une nation de névrosés
et pour cause :

°clip de meira asher°

lyrics :

"another religious boy again, made another act ov saint... boat, road or by feet... they gonna make a holy dead beat"
jp le bisounour said…
tu es un bon gars
Carl.

persiste à continuer.

car je le sais.
clotilde-jp de la pologne ancestrale said…
et Carl se souvint de choses. car il y eut un déclic, à ces mots. et jp continua toujours, à sa manière, et malgré les dés jetés, et dont "on " détournait encore les chutes. car le pouvoir n'appartenait toujours pas à UN SEUL, mais à toute une petite multitude ambivalente et se mouvant, malgré les séquelles, et les souvenirs falsifiés. et il y eut un nouveau né...
jp, poème pour emmanuelle seigner, sarkozyste notouare said…
je voudrais revenir en 1978
jp l'abuseur said…
si on enfermait emmanuelle seigner, marie-charlotte, lionel et keiji haino, ainsi que jean luc godard dans un parc naturel du nord du canada, aec jp à la régie (master des nuages, de la pluie, du soleil, et de l'humeur des animaux), ben qui te dit que ce serait pire ?
jp, l'avoeu de costa gravats said…
le 7 reste un chiffre porte-bonheur.
je pense...
anonyme blafard, comme la lune se meut said…
tain!
boardhell!

ben toé!
t'es béni des culs, on dirait!

tu viens de chiffrer un 3 fois 7, là!
jp et charles bukowski said…
ouais, mébon

c'est juste que chuis là, à ce moment, et que j'irradie un max, grace à ma propre présence toute simplette
clotilde la dépourvue, soudain said…
et il y eut une décision, kekpart...
jp, pour l'empereur de constantinople, du temps que ça s'appelait bysance (message du 21ème siècle) said…
http://www.youtube.com/watch?v=yG0oBPtyNb0
jp, poème à la bashung said…
chavais pas
tout ouie
et pourtant
tous ces temps passés
jp et l'énigme de l'efficacité ambiante (grand-gueule) said…
allait-il se laisser aller ?
jp et l'ésotère said…
la dernière fois que je l'aie vu
il était dans son magasin-mouroir
chef de rayon
en osmose d'avec les orbites
prêt à tuer

mais est-il une fille
au fond ?

nous le ne saurons pas-oui
tant kill aura pas (af)franchi le PA
jp, pour Carl-dieu said…
http://www.youtube.com/watch?v=xBG6IaSQCpU

afin que dieu s'identifie à
highway 64 des skatalites said…
je reste un clip introuvable
branché said…
http://www.youtube.com/watch?v=7MJSliJB6P8
jp web said…
ne m'en veuillez pas, car si je vous tourne le dos, c'est pour mieux savoir apprendre à apréhender le comment faire face à l'avenir de mon destin, dans le futur, alors disons nous simplement à demain...

(en suplément, la recette du petit bonheur tranquille en 7 ingrédients, toujours selon JP :

1- une nourriture saine, naturelle et équilibrée

2- la marche à pieds

3- le death metal underground old school, d'avant l'an 2000

4- les films d'horreur

5- les livres de lovecraft

6- les drogues douces

7- accueillir une femme de passage dans son antre, parfois, après une journée de guet, ou de labeur, afin de discuter de la vie, autour d'un bon feu de bois)

°°°FIN-SUITE°°°
jp, la fin said…
en fait, après un période de maturation durant laquelle j'hésitai entre la vie erratique et alcoolique d'un punk-blues-man raté, et l'enchevêtrement torturogène et sado-masochiste psycho-tétanifiant d'un paumé has-been esclave de la conso/production de musique industrielle expérimentale d'avant-garde
je me suis progressivement transformaté en death métalleux écolo des années 90.

une période charnière, et décisive quand à l'adoption de cette nouvelle identité : l'hiver 2008/2009, ou 2009/2010...

FIN
jp, victime d'un attentat sonore, le 11 septembre 2001, dans son appartement, rue brune, à Auch said…
maintenant que je me souviens des raisons pour lesquelles j'étais devenu alcoolique et nihiliste, je me sens rasséréné.

alors adieu, et merci
jp said…
voilà, c'est tout.
jp et les nuisances sonores said…
et les gens "normaux" qui passent le rotofil, la ponceuse à bois, la tondeuse à gazon, et qui se défoulent sur les arbres avec des tronçonneuses pour éviter d'avoir à le faire sur leurs femmes, pendant des heures et des heures, tous les jours (et pas seulement 10 minutes une ou deux fois par semaine), et ceux qui gueulent comme des tarés, certains soirs, au stade, on les punit quand, eux ?

réponse : "leur punition, c'est leur labeur en accord d'avec les lois qui régissent l'équilibre du système économique en chaleur"

alors adieu, bande de schizophrènes esclavagistes nuisiblement constructifs, car mon avenir m'attend
jp souvenirs de voyages said…
Une fois, j'étais en afrique, avec monsieur Caboché, et nous visitions une fabrique de tracteurs high-tech importée de Chine qui venait d'être montée dans le désert, au milieu d'un nulle part tout plat, poussiéreux et rempli de petits cailloux pointus à perte de vue, avec quelques arbustes maigrichons qui poussaient tous les 3 kilomètres, et qui se nourrissaient de cadavres de petits fenecs morts de maladie ou de déshydratation, quand je me mis à avoir le hoquet. alors je sortis ma gourde remplie d'eau à la menthe bleue de mon sac à dos, et je me désaltéra. et c'est alors qu'un homme noir déboula au volant d'un énorme tracteur rouge tout fraîchement sorti de la chaîne de montage, et alla le garer sur le parking, au milieu des autres. mais il parait que cette usine n'a existé que quelques mois, ou alors, ils ont dû abriter le parking des tempêtes de sable...

FIN
monsieur Caboché said…
oui, c'est vrai, je peux témoigner, car j'y étais. sur place. et en effet, l'on dût fermer cette usine un temps, afin de construire un hangar géant dans lequel entreposer les machines neuves, car le parking en plein air souffrait effectivement d'être trop exposé aux vents du désert et à ses retombées caillouteuses et poussiéreuses. et certains de ces petits cailloux, en s'infiltrant sous les carosseries, venaient nuire au bon fonctionnement des moteurs, ou détérioraient la pureté des carburants, et caetera, et caetera... mais heureusement, on construisit donc un hangar étanche aux intempéris, et qui abrita même une cantine et un petit kiosque à journaux, qui faisait aussi bar-tabac, et avait même un petit rayon de confiserie chimique, en plus de la panaderia.
jp souvenirs de voyages said…
et ils font des sandwichs, aussi, ou pas ?
monsieur Caboché said…
oui, et des petites quiches lorraines, aussi.
jp souvenirs de voyages said…
cool, ça donne envie d'aller travailler là-bas...
monsieur Caboché said…
oui. c'est vrai. mais ce n'est pas tout. car figurez-vous que chaque ouvrier de l'usine s'est vu offrir un espace personnel de 2000 mètres carrés dont 200 habitables de plusieurs étages, avec piscine, voiture avec chauffeur, bar, frigidaire, salles d'eaux dans toutes les chambres, salle de projection de films sur écran géant, avec accès direct au haut-débit, fontaines et jardin intérieur sur le toit, bref, et j'en passe, et tout ça, juste pour avoir été embauché... et ils ont même droit à une pharmacie personelle chacun, et leurs enfants sont éduqués à domicile par des précepteurs privés hyper savants tout droits sortis des laboratoires souterrains mandchous...
jp souvenirs de voyages said…
vous m'avez convaincu. c'est décidé, je déménage. adieu
clotilde, l'amoureuse cachée de jp said…
et ce fut le dernier témoignage de jp que l'ont put lire sur le jour des vidanges. mais il parait que depuis qu'il s'est installé là-bas (en afrique), jp a ouvert un blogue, sous un pseudonyme différent. et qu'il s'est marié avec une certaine agnès... mais un bruit court aussi que cette agnès s'appellerait plutôt mireille, ou bianca... et moi, j'attends toujours que jp s'apperçoive que je l'aime profondément comme une folle, mais je ne peux pas lui avouer, car celà romprait le charme de la magie... alors je lui envoie des cartes postales, et parfois, il me répond. et je suis heureuse, et mélancolique, mais je commence à me faire vieille, aussi...

à suivre...
bianca said…
c'est faux, mon vrai nom est mireille.
mireille de l'ARC said…
oui, biensur. mais toujours est-il que certains me prennent toujours pour une actrice blonde sexy, tandis que d'autres croient que je suis une descendante de la sainte pucelle brûlée vive sur la place de rouen, alors qu'en réalité, je suis trésorière d'un bureau pour la recherche contre le cancer, en province...
un galant homme said…
et bien moi, j'aurais plutôt cru que vous étiez la fille d'un arc-en-ciel, car je trouve vos yeux brillants comme des diamants, et vos cheveux aussi fougueux que des chevaux ailés... avec un chariot d'or...
clotilde et les cailloux pointus said…
alors mireille de l'ARC tomba amoureuse d'un galant homme, et ils se marièrent, tout en se promettant de ne jamais avoir d'enfant, et de ne vivre que pour leur bonheur exclusivement égoïste à eux, et de mourir très vieux, l'un à côté de l'autre, et presque en même temps, à la minute prêt. ce qu'ils firent.

fin
carl de l'ARC said…
faux. car un galant homme était en réalité un sérial-détrousseur qui abusait les vieilles femmes riches et frigides avec ses phrases et ses flateries de playboy, et qui après les avoir poussées au suicide en usant de pressions et de chantages psychologiques invisibles, héritait de leurs biens et repartait en voyage, dans les hôtels de luxe, et se payait des rolls royce, des jaguar, et des bmw décapotables, ou des porsche 911 carrera noires, ou rouges... et il sniffait de la coke pure, mais conaissait un toubib suisse qui avait inventé une machine qui pouvait sevrer n'importe qui de n'importe quelle sorte d'addiction en moins 10 minutes, sans douleur, et pour la simple somme de 10 francs anciens. alors il était heureux, et après son sevrage, il repartait faire de la planche à voile en australie, ou il détroussait une autre vieille femme riche, grosse, très bronzée et ridée, mais celle-ci, libidineuse et obsédée sexuelle, et à qui il étalait de la lotion solaire sur le dos pour la faire mouiller, au bord de la mer, et ainsi de suite...
clotilde and the confusions said…
oui, carl de l'ARC. c'est vrai, je m'étais égaré en tromperie primesautière, alors etscuzez moua. et oui, car vous êtes le fils de mireille, non ? c'est ça ?
carl de l'ARC said…
oui, voilà, vous avez tout compris. mais en plus, maman me manque.
clotilde la trompeuse said…
hmm, oui. c'est bête.
mais que savez vous donc d'autre au sujet de ce un galant homme ?
carl de l'ARC said…
ben, c'est mon père.
alors je ne peux pas lui en vouloir, car je l'aime.
clotilde dans le bain moussant said…
et oui. je m'en doutais un peu. mais comme je pense tout le temps à jp, j'ai parfois du mal à me concentrer. car je l'aime, moi aussi.
carl de l'ARC said…
oui, mais jp, lui, n'est pas mon père, et vous, vous n'êtes pas ma mère.
clotilde au ciel said…
c'est vrai, mais pourtant, je ne m'appelle clotilde que parce que jp l'a décidé ainsi. je suis sa créature, soumise corps et âme au service de son maître.

oh, mon dieu! si vous saviez combien je me sens épri de lui, et que cette épine savoureuse continue à trouer délicieusement mon coeur à chaque seconde de mon existence...
jp said…
mais comme clotilde commençait à éxagérer, on coupa la communication, et la facture fut de 50 centimes d'anciens francs.

FIN
bernard, acteur pour les dessins animés de walt disney said…
vous auriez pas vu passer une certaine mireille ?
libellule portant un nom de marque de moteur de bateau espagnol said…
si, mais elle était poursuivie par une espèce de vieille sorcière rousse, méchante et très laide, avec une verrue, et donc, courait très vite...
jp said…
allez, on ferme.

adieu
sorcière rousse, méchante et très laide, avec une verrue said…
la beauté cachée des laids
des laids (blague à propos de l'effet d'une pédale delay, que certaines personnes n'étant pas au courant ne peuvent pas comprendre, mais celà doit changer)
s'offre sans délai
délai
sorcier blondinet mélancolique said…
je me sents délaissé
délaissé
tête de jute said…
c'est parce que tu as un Q.I. de jate
superbe blague drôle said…
1- tu sais comment on reconnait un nain ?

2- non, et toi ?

1- ben un nain, il est plus petit.

2- oui, je sais. mais toi, comme tu es un géant, tu vois tout de loin, depuis le ciel, alors tout te parait petit, et tu ne vois que le dessus de la tête des gens, ou les ronds de leurs chapeaux. alors tu ne peux pas savoir qui sont les nains et les normaux, non ?

1- si. car j'attends qu'ils se couchent, afin de mieux évaluer leur longueur.

2- mais c'est impossible, car il y a un toit au dessus d'eux, quand ils se couchent dans leurs chambres, la nuit, ou même sous la tente.

1- oui, mais moi, j'ai des jumelles spéciales qui permettent de voir les choses à travers les toits et les toiles de tentes. ou alors, j'attends que les gens se couchent sur la pelouse du stade, pendant les exercices d'étirement athlétiques, et là, je peux les évaluer mieux.

2- OUAHWWW! c'est super ingénieux.

HAHAHAHAHAHAHA!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
jp à hollywood said…
une fois, j'étais au lit avec Deborah Unger et Paz De La Huerta, un dimanche matin, et j'avais la gueule de bois. alors je me suis levé, sans faire de bruit, pour ne pas les réveiller, et je suis allé à la cuisine me servir un grand verre de jus d'orange. j'ai regardé la circulation des voitures, en bas, dans la rue. puis en refermant la porte du frigo, j'ai repensé à la chanson d'Allen Ginsberg, "Vomit Express", en me disant qu'elle avait dû être enregistrée durant les sessions studio du "Death Of A Ladie's Man" de Leonard Cohen, vu que le mixage sonore signé Phil Spector me parait assez identique à celui de la chanson de Ginsberg, et reste plutôt typique, et remarquable, et celà me fit sourire. puis, comme j'avais envie d'uriner, j'allai dans la salle d'eau. et j'allumai la lumière en pianotant sur le petit interrupteur mural, quand là, quoi ? hein ?

et bien il y avait Emmanuelle Seigner NUE en train de saigner du nez dans la baignoire, et QUI DORMAIT. alors j'ai éteint la lumière, fermé la porte et suis retourné dans la cuisine, mais cette fois-ci, avec une érection dantesque. et c'est à ce moment précis que Paz De La Huerta déboula, EN NUISETTE DE SOIE NOIRE, et qu'elle dit en regarda ma protubérance phallique : "houhou! toi alors, tu as l'air en forme ce matin!... mais tu n'aurais pas vu mon Vynil de Massive Attack ? j'ai envie d'écouter un peu de musique..." en me caressant les fesses.

et je me dis alors qu'elle avait sûrement dû oublier que Jim Jarmusch avait brisé son disque durant la soirée apéro donnée chez Philippe Bouvard, la veille, quand il s'était écroulé sur la table basse, comme une masse, avant que l'on appelle le Docteur Personnel Bouddhiste de Richard Geere. mais je l'embrassa, et elle jouit en pleurant. et Deborah, qui avait entendu, exigea la même chose, mais sa nuisette à elle était d'un BLEU ROYAL... mais c'est alors qu'on entendit comme une sorte de long gémissement de hyène, en provenance de la salle de bain...
fan de jp said…
pfiouuuu!

et après ?
jp à hollywood said…
ben j'ai assomées Deborah et Paz à l'aide d'une massue sortie de ma barbe, comme Capitain Cavern, et je me suis rendu à la salle de bain après avoir pris le soin d'enterrer les deux corps inertes dans le jardin, sur le toit. mais là, quoi ? et bien, Emmanuelle Seigner était HABILLéE, en ROBE DE CHAMBRE BLANCHE EN COTON, et elle était en train de se laver la figure en se regardant dans la glace du lavabo. mais le pire, c'est que sans même avoir pris le temps de regarder par terre, ni même dans ma direction, elle s'exclama d'une assertion péremptoire à mon égard :

"ou est-ce que t'as encore été te fourrer? t'as les pieds tous crottés!vas te laver avant d'en mettre partout sur la moquette!"...

et donc, plus tard, je commençais juste à me laver les pieds au bidet quand le vibreur de mon portable se mit en marche. je décrochais, c'était Carole Bouquet. et alors elle me dit "alors, jp, t'as enfin pu prendre le temps de goûter ma dernière cuvée, ou il faut que je viennes te la faire boire moi-même ?" et alors, sans me dégonfler, je répondis : "je préfèrerais que tu viennes, haha!" sur quoi, je raccrochais. et alors, Emmanuelle, qui s'était habillée en jogging gris, me dit depuis le couloir, j'y vais, jp, je t'appelle une fois arrivé chez Roman, bisous, trouduc! puis elle claqua la porte derrière elle.
fan de jp said…
pfiou!

et après ?
jp à hollywood said…
ben, je suis remonté sur le toit, et j'ai d'abord déterré Paz. elle était encore dans le vaps, mais je préférai quand même l'assomer une deuxième fois pour qu'elle y reste pendant que je la nettoyai dans la baignoire, après avoir léché le sang d'Emmanuelle resté sur le rebord de l'émail. et donc, Paz une fois nettoyée, NUE, je la remis au lit, puis remontait au jardin, sur le toit. mais là, quoi ? et bien Lena Olin, EN TAILLEUR GRIS SEXY, était en train de déterrer Deborah. et comme elle me vit, elle me dit :

"j'avais vu cette touffe de cheveux blonds dépasser au dessus de la terre, et celà m'avait intigré... aide-moi je te pris!"

Mais alors, je péta un plomb :

"BON DIEU, LENA, on peut dire que tu as le CHIC pour arriver COMME UN CHEVEU SUR LA SOUPE au beau milieu de mon week-end en amoureux! Et comment es-tu arrivé jusqu'ici, d'abord ?"

elle fit un signe en direction d'un hélicoptère en train de s'éloigner, dans le ciel, au dessus des immeubles, et je compris.

"comme tu es succeptible! mais n'oublie pas que je suis ta femme, morpion, et que j'aie encore certains droits."

et alors, mon visage se crispa.
fan de jp said…
pfiou! vous alors!

et après ?
jp à hollywood said…
ben j'ai tuée Lena en lui enfonça mon petit canif dans le coeur, et j'ai fini de déterrer Deborah, puis mis Lena à sa place. puis j'ai descendu Deborah à la salle de bain pour la nettoyer, mais du temps que j'étais dans la chambre pour chercher un mouchoir (parce que je m'étais mis à saigner du nez) elle se réveilla et commença à crier. Paz commençait à émerger, elle était ma préférée, biensur, car elle était bien plus instable que les autres, psychologiquement, et j'ai toujours eu un petit faible pour les follasses. alors je l'embrassa tendrement, avec sentiment, amour et volupté. mais c'est alors que Deborah déboula dans la semi obscurité de la pièce en m'accusant verbalement de l'avoir droguée et d'avoir tenté de la noyer dans la baignoire après avoir essayé de l'étouffer en lui faisant avaler du terreau. et biensur, ce n'était pas vrai, mais comme elle insistait, et commençait même à me tirer les cheveux, on entendit un coup de feu.

...

c'était Paz, qui avait décidé de tirer sur Deborah afin de me sauver la vie, parce qu'elle m'aimait.

...

et depuis, Paz et moi, vivons dans la clandestinité anonyme des parrias, à Preignan, dans la gers, chez ma mère, et nous passons notre temps à jouer à des jeux videos et à faire l'amour, en mangeant des fruits exotiques. et Carole Bouquet est la seule au courant, et c'est elle qui nous ravitaille en charcuteries et en vin rouge, deux fois par semaine.

mais Paz et moi, on s'aime d'amour, et c'est ça le plus important.
fan de jp said…
hmmmmm!

ça donne envie de se transformer en Paz De La Huerta, ça...
jp said…
vous me faites rougir.
mais adieu, car ma bien aimée veut son jus de carotte!
mec intrigué par jp, s'approchant d'un pas prudent said…
je ne voudrais en aucune sorte interférer de manière négative quand à votre liesse si bien méritée, car fruit de cette rocambolesque destinée qui fut votre, mais cependant, je dois vous avouer que j'aie encore un peu de mal à me faire à l'idée que vous ayez couché avec Deborah Unger, ne serait-ce qu'en nuisette BLEU ROYAL...
jp said…
oui, je sais. l'incrédulité touche souvent beaucoup d'incrédules jaloux de votre sorte, que je qualifie pour ma part de "mythomanes ratés", mais cependant, je reste zen comme de l'eau plate, et vous ne m'impressionez en rien avec vos insinuations. et puis d'abord, vous n'avez qu'à LUI demander à ELLE, directement, mais dites vous bien aussi que si elle nierait tout en bloc, alors, ce serait peut-être sans doute qu'elle tentera de dissimuler ce que les vautours de votre trempe tentent toujours de déchiqueter à la face de notre territoire intime encore sauvegardé de votre carnassièrerie braillante et déplacée de porcs ataviquement avides de la chair de notre pureté dont vous êtes dépourvus, MONSIEUR. alors tenez vous le pour dit. et adieu à VOUS
clotilde la tiltée said…
et mec intrigué par jp, s'approchant d'un pas prudent ne put pas répondre aux insultes hargneuses et innatendues de jp, car mon chéri s'était volatilisé dans les airs, dans un hélicoptère piloté par une Lena Olin ressucitée et sentant un peu le terreau, et qui n'avait pas de culotte sous sa jupe courte. et quand à moi, mon coeur fit boumboum...
fan de jp said…
mais Paz, alors, elle est restée toute seule à Preignan ?
jp le nécromancien said…
non. j'aime trop Paz et Paz m'aime trop en retour pour que nous puissions trouver la force mentale de nous éloigner l'un de l'autre, ne serait-ce qu'un mois tout entier, pour affaires. alors comme je sais Lena à la fois très libre de moeurs mais aussi très jalousement possessive, j'ai inventé un produit qui permet à la personne qui l'absorbe de rapetisser physiquement jusqu'à incarner la taille approximative d'un dé à coudre, et qui me permet donc d'emporter Paz avec moi, partout dans mes déplacement, en la dissimulant dans une petite boite en fer munie de petits trous, pour qu'elle puisse respirer, et que je cache dans la housse de mon téléphone portable, ou parfois dans l'échancrure de mon pantalon de jean, ou ailleurs, mais toujours à l'invu et à l'insu de cette dingote de Lena, qui sans ce stratagème, deviendrait j'en suis sûr une meurtrière en puissance. et je ne le dis pas, mais j'aime aussi follement Lena que j'aime Paz. Mais Lena ne peut pas s'empêcher de flipper en songeant qu'en vieillissant, elle perde de son territoire du charme qu'elle exerce sur moi au profit d'une plus jeune. et celà la terrorise... biensur... alors je me vois obligé de concéder à certaines concessions. c'est tout...
fan de jp said…
moi, je vous crois. parce qu'on ne peut pas inventer ce genre de choses, comme les détails, la housse du téléphone ou les échancrures de pantalon...

c'est pas possible d'inventer des choses aussi réelles. oui. je pense que vous dites la vérité. mais par contre, Emmanuelle Seigner, elle, j'ai du mal à croire qu'elle ait pu tomber amoureuse de vous. chépas pourquoi, mais c'est comme ça... je le sens pas sur ce coup là. désolé.
jp et les méduses said…
et vous faites bien. vous SENTEZ bien, même, dirais-je. car en effet, non que j'aie inventée cette histoire d'Emmanuelle Seigner saignant du nez dans ma baignoire, mais par contre, oui, c'est vrai qu'elle n'a jamais été amoureuse de moi, car elle est tout simplement et indélébilement fidèle et dingue de son Roman chéri, et que si elle échoue parfois dans ma baignoire, nue, c'est juste qu'elle a bu un verre de trop dans une soirée, et que quand elle commence à fêter, elle ne s'arrête pas, jusqu'à en être complètement saoule. et alors, moi, je la mets dans la baignoire, et je la nettoie pour la nettoyer de son vomi, mais biensur, le matin suivant, je ne me souviens pas toujours de ce que j'ai fait la veille, car j'étais moi-même très bourré, et qu'en général, avec Deborah, on prend des acides spéciaux qui nous permettent de communier nos âmes, un peu comme les effets de la drogue décrite dans "le temps des changements" de robert silverberg. et donc, parfois...
fan de jp said…
je n'aime pas Robert Silverberg.
je le trouve vraiment trop superficiel.
et trop artificiel, surtout.
jp de l'west said…
oui. je suis un peu d'accord avec vous, là, pour tout dire. mais en fait, vous savez, la littérature, c'est aussi beaucoup du cinéma, quand même...
fan de jp said…
oui, et d'ailleurs, à ce sujet, je voulais vous dire que j'avais écrit un scénario. vous voulez le lire ? vous pourriez le faire découvrir à vos amis réalisateurs, et...
jp des mondes engloutis said…
oui, OH! mais OUPS! MINCE!

JE VAIS RATER MON AUTOBUS!

BON DIEU!

ADIEU!
clotilde aux yeux comme des ailes de papillons said…
et MON jp disparut dans une voiture volante toute cabossée en compagnie de la Deborah Unger de la période de "Crash" de Cronenberg, mais dans les décors du Batman de Tim Burton, et sur une musique de Christophe Bourseiller, avec Isabelle Nanty à la guitare, Madeleine Mafois aux timpanis, Guillaume Surgeant au pipeau, Shane MacGowan au triangle, Yudzuf Ekhlalabirah au piano et Yoko Ono au chant. et quand à moi, j'avais des ailes de papillons dans les yeux, qui palpitaient comme mon coeur, et dont les ventricules suaient leurs grosses gouttes d'amour moite de transpiration et de passion, à travers les grilles et les cages de ces destinées incertaines nous servant de support éthique, durant les longues nuits de réfléxions ésotériquement tremblantes...
chantilly à la guimauve said…
moi, les films de polanski, je dis qu'ils sont comme la musique d'edward ka-spel. fades, et sans profondeur. trop pros, quelque part, et bien que tout soit en ordre, ça manque toujours d'un élément plus abbrasif, qui mettrait le feu aux poudres. mais en même temps, ça reste surprenant. très étudié, et même intelligent, parfois. ambivalent, quoi...
jp, fils caché de roland topor said…
oui.

"surprenant". bonne description de l'effet ressenti.

mais je rajouterais "atmosphérique".
un peu comme dans téléchat. avec cette ambiance angoissante relevant de l'absurde, du non-dit et du non-compris... en rien comparable à Caliméro en ce qui concerne la détresse effroyable ressentie face à l'injustice de la méchanceté des autres, mais comme s'il en découlait le cri d'une plainte intimement tue, comme muette... carcérale...
un mec qui dit "on" plutôt que "je" said…
moi, le cinéma de Polanski, ça me donne l'impression que je vais m'emmerder, que je vais me faire avoir, et c'est vrai qu'en apparence, on perçoit d'abord et avant tout cette ambiance lourdingue, ou tout va être joué d'avance, ça va être un film, bien fait, avec du sens, tout ça, et une critique intelligente du monde des comportements humains, mais on restera quand même sur sa fin, déçu.. et en fait, oui, y'a de ça, on s'est fait arnaquer, on a vu le film, on s'est fait avoir, mais en même temps, on a toujours été surpris, à un moment ou on croyait finir par se faire chier, par une réplique, une grimace d'acteur, une absurdité relevant d'un réel intime, et faisant tomber les masques, et donc, on se sent à la fois fourbu et intrigué, à la sorti du visionement... y'a comme une intelligence animale cachée derrière les filets de la caméra, et qui vous expliquerait qui vous êtes, quelque part...
jp, fils caché de roland topor said…
ouais, c'est comme les géants bleus dans "la planète sauvage", ils ont des pouvoirs, et tout ça, des technologies, ils sont super savants, mais pourtant, ils ne comprennent pas la détresse des humains qu'ils incarcèrent contre leur gré, paske quelque part, c'est comme si le sentiment d'un besoin de liberté était étranger à ces êtres soi-disant supérieurs, et qu'ils leur manquait une case. un peu comme l'intellectuel de "la venus à la fourrure", qui se prend pour un gars éclairé, cultivé, un maître à penser, au dessus du lot, en quelque sorte, mais qui au fur et à mesure, découvre l'intelligence de celle qu'il prenait pour un être vulgaire et inférieur de par son apparent manque de finesse, mais qui finit par lui révéler son propre manque de subtilité, en lui renvoyant sa propre grossièreté à la face, et le manque de véracité de ses réflexions, qui ne reposaient en grande partie que sur des jeux théoriques manquant grandement d'une expérience authentique, en fait...
clotilde ne se foulant pas trop said…
ouais, voilà, allez, bonne nuit les enfants...
un marchand de tapis persans said…
en fait, les films de Polanski sont à la fois nuls, et biens, en gros, quoi...
jp se réveillant en sursaut said…
oui, car ils sont à la fois chiants, classiques dans leur forme, sans grande inventivité apparente en ce qui concernerait les décors, et la photographie, mais en fait, y'a toujours "quelque chose d'autre", qui tient plus de l'ambiance, de la "magie", en quelque sorte, ou de "l'alchimie", et qui laisse planer une sensation d'inconnue et de mystère sur l'ensemble de l'oeuvre, en général... puis le thème entretenu en filigrane, et qui reste celui de la cruauté sous-jacente, et de sa possible explosion. un sentiment d'insécurité, de lourdeur et de machination, de piège...
jp, fils inutile de roland topor, déguisé en lapin said…
oui. voilà.

en fait, Polanski, ce serait un peu comme du sous-David Lynch.
un "David Lynch des pauvres", comme aurait pu dire l'autre. du David Lynch emmerdant. sans les vortex tortueux et absurdes insinués par les successives incarnations d'un "Lost Highway", par exemple, ou les effrois grotesques d'une maman protextrice complètement cinglés, avec ses maquillages purulents, comme dans Sailor Et Lula...

mais cependant, ce qui retenait l'attention dans "Frantic", par exemple, qui aurait pu tout aussi bien n'être qu'un thriller de merde de plus, c'était cette impression que l'on assistait à l'histoire "en direct", et qu'elle se déroulait devant nous, et "en temps réel", sans coupure... et je ne sais pas si celà était dû au rythme, au montage, ou quelque chose comme celà, mais je me souviens avoir ressenti cette "magie", enrobant de son aura étrange l'apparente trame "emmerdante" d'un possible "premier degré" aux échaffaudagetées primairement rébarbatives, selon l'espèce...
jp de la mancha said…
moi, je pense que si David Lynch n'était pas mort, ben il devrait mettre fin à sa collaboration avec Badalamenti, et embaucher Vulvinia & Jambonstar pour élaborer ses nouvelles bandes son. puis laisser jp écrire ses scénari. et en vedettes stars d'affiches, un trio improbable comme Juliette Binoche, qui serait la fille quasi autiste d'un couple composé d'Emmanuelle Seigner, en mégère psychotique rigolote castratrice, et de Jim Jarmusch, en homme soumis et malheureux comme un chien en plus d'être vétéran de la première guerre du golfe... dans un sorte de huis-clos rempli de folie, mais qui en réalité, ne serait que la représentation mentale déformée par les déviances délirantes dévisagées par les visions de la petite autiste de la vie l'entourant, et desquelles on sortirait, parfois, pour se retrouver dans un "univers parrallèle", c'est à dire, dans une vision "objective" de ce même univers, mais débarassé de la subjection "délirante" du regard "malade"... mais quel serait la vision "juste", ça, on saurait pas... à cause du sentiment de complot et de paranoÏa amplifié par celui du malaise post-traumatique profond du père...
jp de babylone bébies said…
moi, je pense que David Lynch devrait adapter un roman de Philip K. Dick, plutôt que de déléguer à jp la charge de se charger de l'écriture du scenario. car c'est une vision délirante, dont on veut, chez Lynch, et pas seulement grossièrement grotesque et plutôt nase, comme dans les histoires de jp...
clotilde de son côté said…
mais Carl avait besoin de se reposer. alors jp alla se coucher dans les bras de Paz, ou il trouva la paix, et l'amour, ainsi que le sexe... et moi, je fis des choses de mon côté...
John Cleese faisant du trempoline le soir de la Saint-Jean said…
moi, je crois plutôt que David Lynch, sans la mèche rebelle, devrait essayer de coucher avec Gaspar Noë, sans les moustaches, et lui faire un petit.

non ?
cirque volant said…
si.

mais en plus, il faudrait qu'ils fassent ça sur un bateau gonflable Sevylor, dans l'eau trouble d'une petite crique de cadaquès, et espagne du nord-est...
clotilde, l'arbitre au sifflet said…
et la clochette tinta, car il avait gagné le ponpon !
un fin observateur said…
moi, clotilde, l'amoureuse cachée de jp
me fait penser à la secrétaire amoureuse de james bond, des premiers épisodes des années 60...
jp et le fantôme du SPECTRE said…
ça, c'est super bien finement observé, car dieu sait que jp se donne un mal de chien quotidien afin d'éponger de son tableau noir épidermique la plupart de ses aspirations visiblement palpables qui émaneraient de l'émergence de sa réelle identité profonde, et recelant le désir inavoué d'être un jour redevenu au grand jour, et sans honte, une incarnation vivante et parfaite du james bond Version Sean Connery, avec poils sur la poitrine, Barbara Carrera, diabolique, et Kim Basinger, candidement amoureuse, mais restant aussi troublement ambivalente, psychologiquement, car ayant subi un lavage de cerveau à la mode du SPECTRE...
jp et "nuit sauvage" des Avions said…
oui, voilà, là, vous touchez à quelque chose de précis et de révélateur, en la personne de l'ambivalence de Kim Basinger "Domino", dans "Jamais Plus Jamais", et qui nous ferait distinguer le diabolisme "pur" et révélé, animal, de Barbara Carrera, et se retrouvant comme désarçonné de son propre rôle de piégeuse vicérale par un trône encore plus gros que le sien, et incarné par l'angélisme dévastateur de la sorcellerie céleste habitant "Domino", l'agente toujours soupçonnable d'appartenir au SPECTRE, après même en avoir été libéré par son sauveur providentiel l'ayant arraché de force à son géniteur mental, à savoir, l'incestueux Maximilian Largo...
clotilde, la secrétaire de james bond said…
mais Paz s'était réveillée, et jp dut abandonner Kim (pas gordon) afin de retourner au lit avec sa VRAIE, chérie, qui avait retrouvé sa taille normale depuis que Lena était repartie en hélicoptère...
un mec qui s'apperçoit de quelque chose, tout à coup said…
tain, mais ça me fait me demander!?!

mais alors, mais qu'est devenu Kim Basinger depuis "8 Miles" ? elle s'est marié avec Eminem ?

Non!

mais elle doit être vieille, maintenant, non ?
margot de Nantes said…
oui, Kim Basinger est vieille, laide, toute ridée et remplie de bourelets de gras partout sur le corps, malgré les régimes et la gymnastique, aujourd'hui, mais Robin Wright, elle, reste encore plutôt bien conservée...
un mec qui n'écoute que RFM said…
c'et qui Eminem ?
un fan de Gallon Drunk said…
un rappeur blanc américain qui était célèbre à la fin des années 90 et au début des années 2000. et il était tellement célèbre qu'il était même passé au live de "Nulle Part Ailleurs", une fois, sur Canal +...
jean costimonont de la feuillandièlle said…
Robin Wright est peut-être assez bien conservée, comme vous le dites, mais en tous cas, elle a quand même pas mal raté sa carrière, avec ses choix désastreux... mais heureusement pour elle, Harvey Keitel reste son bon copain, alors forcément, avec un parrain pareil...
jp le survivant said…
... moi, ce qui m'a dernièrement choqué au cinéma, ce fut de m'appercevoir qu'Harvey Keitel avait pris un gros coup de vieux.. je me suis senti triste, tout à coup, et je me suis dit qu'un jour, Harvey allait être mort, et que ce n'était pas possible...
le mec qui dit "nous" plutôt que "je" said…
oui, autant on peut se passer des Rolling Stones, dans la vie, autant Harvey Keitel, lui, il nous manque déjà avant même qu'il soit mort. et il nous manque même peut-être plus que les gens "proches" de la réalité palpable, quelque part... ce qui est effrayant, mais aussi, cocassement révélateur de notre rapport décentré au monde.......
jp winslet said…
Harvey Keitel ne PEUT PAS, mourir, point barre. Robert De Niro, ou Max von Sydow, ou encore Klaus Maria Brandauer, Burt Reynolds, et même Clint Eastwwod, je dis pas... mais Harvey Keitel, NON.

c'est tout simplement IM-PEN-SABLE,
I-NI-MA-GI-NABLE, comme tenter de poser des limites, ou des frontières à l'infini, ou je sais pas, essayer de comprendre POURQUOI, il y a eu QUELQUE CHOSE, plutôt que RIEN, ou pour quelle raison MORALE l'univers aurait été créé...
Paz said…
oui, je suis d'accord avec toi mon chéri, mais viens te coucher maintenant, djip...
clotilde et la surpopulation urbaine des cerveaux humains said…
et c'est ce qu'il fit...

FIN
l'homme à la question said…
qui a dit "les chemins de l'excès mènent au palais de la sagesse" ?
la femme à la réponse said…
je pense que c'est philippe bouvard, mais je peux me tromper.

mais par contre, je suis absolument d'accord avec ce que dit jp à hollywwod à propos du "Vomit Express" de Ginsberg, et j'irai même jusqu'à proposer que la session d'enregistrement dont fut extrait ce morceau fut la même que celle durant laquelle fut gravé le "Don't Go Home With Your Hard-On", de Cohen, ou en tous cas, qu'elle le fut "dans la foulée", ou quelque chose comme celà, car le petit bordel organisé, avec flutes et tambourins à l'appuie, et même, la voix nasillarde et assez facilement identifiable de Bob Dylan perçant parfois la surface du magma en réponse chorale au leader-singer pris de vertiges dû à l'abus de champagne et de cotillons (à moins qu'il ne céda à la pression psychologique de Phil Spector, qui parait-il, s'amusait à menacer ses musiciens et à leur tirer dessus à coups de revolver quand il n'était pas satisfait d'eux, dans le studio qu'il avait pris soin de fermer à clé, et gobant des amphétamines comme des petits bonbons derrière sa console) restent assez typique d'une atmosphère de liesse et d'émulation collective commune à ces deux enregistrements, mais biensur, je peux me tromper.

adieu!
mec pas d'accord inventif said…
chuis pas d'accord en ce qui concerne le manque d'inventivité de la photographie, dans les films de polanski. au contraire, même. pi y'a toujours cette incursion quasiment imperceptiblement d'éléments relevant du "réel" et venant nous rappeler que la fiction elle-même ne serait en quelque sorte qu'une continuation de la réalité, comme le seraient les rêves... comme la petite librairie du pote au mari de Vanessa Paradis qui finit lacéré et pendu par les pieds au plafond, dans "la neuvième porte", par exemple. ben c'est le genre d'endroit qui ne peut pas être "inventé", selon moi, et qui est une incursion de la "magie réelle" contenu dans le monde, et qui viendrait poser sa résurgence à même la fiction... mais y'a plein de films de genre qui sont empreints de ce genre de symbolique relevant d'indice semi-conscients, et qui paraissent faire figure de portes ouvrants sur d'autres niveaux de conscience, ou d'apréhension du monde "magique"...
institutrice à la retraite said…
oui, et c'est aussi parfois dommage que vous n'attachiez pas plus souvent de rigueur à la correction orthographique et grammaticale de vos bouzins verbaux, car en contre-champs...

mais celà fait-il peut-être aussi partie de "l'alchimie" stylistique aux relents plus ou moins "moyen-ageux" que vous vous amuseriez à sculpter aussi maladroitement que possible dans un but d'injecter un sentiment de confusion ou une sorte d'authenticité prodigue à vos déjections ?
clotilde des hôtels said…
mais comme Paz était en train de se réveiller, jp arriva dans la chambre avec un plateau déjeuner...
jp de kabnekaï (leader des oies sauvages) said…
moi, ce que je me demande, c'est pourkwhy christophe bourseiller en personne veut-il me sauver de mon intime décrépitude mentale en me faisant parvenir des émissions radios intéressantes et flattant mon ego d'intellectuel-potentiel, et car à quelle fin ????

et celà a-t-il un rapport avec ce taré de monsieur claverol ? ou de ce buldozzer du bonheur de monsieur simonin ? (bulldozer du bonheur, ça m'est venu en regardant le numéro de sa plaque minéralogique, "777", l'autre fois, alors que je jetais un cailloux sur son camion blanc, et qui fut dévié par un faux mouvement du coude du haut, près de l'os de l'épaule qui se déboite, dans mon bras, alors que je me prenais un rien pour un intifadien du dimanche)

l'élite des pieds-noirs et des juifs se font-ils la guerre à même ma tête de bougnoul décadent ?

et ces mecs aux yeux bleus, par derrière, qu'attendent-ils ? le ragnarok ?

mais qu'en pense BJÖRK, la chanteuse islandaise ?
faux christophe villanueva said…
jim, tu nous emmerde.

tiens, voilà 5 euros
vas te payer un kebab
et fais-nous plus chier avec ta merde de poisson-violent...
jp le chat-man said…
c'est gentil
christ
mais chuis à la diette, là.

puis j'ai tous ces tomes de livres autobiographiques à écrire au stylo bic, de mon écriture "pas à moi" que patrice meignan m'avait volé dans les années 80, quand il tenait les registres des résultats de nos parties de courses de formules1 sur moquette, dans son ancienne chambre... et qu'un OEIL veillait sur nous, déjà...
mec affolé said…
jp craint, car en appelant christophe "christ", c'est un peu comme s'il l'envoyait tout droit à la crucifiction, en insinuant...
jean-philippe de l'escartebouzte said…
n'empêche que laurent bassat à de drôles de relations, ces temps-ci.
chouraveur de destin said…
bassat, ou Morency ?

HiiiiiiiiHAHAHAHAHAHééééééééééééé!!!!!!!!
clotilde la nazi said…
et l'on empila les corps dans des photos en noir et blanc, et grises, et basta.

bises.
faux monsieur Lajunie (le syndrome anglezio) said…
je pense que marine le pen est une grosse débile perchée par des tarés aux sourcils protubérants. et qui croient aux conneries ancestrales leur ayant étés REFOURGUéES par leurs pères...
le réservoir sandoz said…
le problème avec le peuple, c'est qu'une fois applati comme une crèpe, il a tendance à prendre encore plus de place que quand il était debout, et c'est la raison pour laquelle nous mimes de nos produits spéciaux dans les petites bouteilles violettes trouvables uniquement en pharmacie, un temps, et qui malgré les débordements, empêchèrent la pâte à sortir de la poelle et d'aller se faire cramer directement par les bruleurs à gaz, mais qui demain, furent remplacés par des bidules vachement plus étudiés et chiffrables... grace au traçouillage des substances à même nos études des champs infrarouges... et qui une fois ingurgitées par les unduvidus, nous permettent dès lors d'en faire ce qu'on veut... comme par edzemple, faire gagner kunkun au poker, en concentrant toute sa partie sur le chiffre 7...
jp (les archives de l'INA parlent à la nana que j'ai croisée devant la cave à vin) said…
http://www.youtube.com/watch?v=cNnXv-kYZ68
faux monsieur claverol said…
moi, ce que j'aime bien dans ce clip, c'est les échaffaudages métalliques qui menacent de tomber, derrière les deux folasses qui parlent au micro...
jp, le salaud qui dénonce les pourris said…
marie-charlotte reviendra te hacher les pyjamas à la tronçonneuse
dans le diable
et ses ecus d'or

delphine

(vas faire enculer tes lunettes noires par des La Rouge en manque de stimulis-rachids) + image de piscine :

http://www.certiferme.com/blog/imgs/articles/blog-3026-la-fourchette-qui-vibre-150913193810-9258425643.jpg

ménon, ceci n'est pas une piscine, mais une blague, merchi.

hahoho...
clotilde, l'anticoloniale radicale said…
et delphine se fit découper à la tronçonneuse par pizolo le voyou, mais on envoya la video à lionel merdou, qui sentit ses gras se flageller de putaceries devant la projection, et qui travailla...
la réponse de jp said…
http://www.youtube.com/watch?v=WHCQK2t30Mc
jp la pédale ouaoua said…
vais me faire des olives.
faites chier à essayer de me faire ressentir des trucs, là.

y'a bien plus grave que vos conneries.
bref...

allé, adieu :

les olives
un peu de hashish
lire un ou deux livres par an
manger gras
puer le sperme au supermarché
sentir mauvais chez le toubib
baiser sa propre bite
cracher sur des cons qui comprennent rien
chier sur de l'herbe pour mieux l'enterrer
et prendre les gens pour ce qu'ils sont
c'est à dire
de la merde toute juste bonne à crever la bouche ouverte devant hiro-hito nu
bientôt, l'épuisement des narcisses-clones said…
nous sommes déjà morts
car nous buvons
pour oublier
jp said…
nadine
je t'aime

alors viens
s'il te plait

(pi je vais t'attendre, dorénavant, pour toujours, mais ne m'oublie pas trop, car j'ai déjà...°
c said…
ET les machines continuèrent leur labeur de bouzillage de l'enfant pour en faire un truc valable, alors que dans l'atmosphère, régnait l'air sans vent...

MAIS
jp l'auto-clotilde said…
un dernier truc à retenir à propos de cette AFFAIRE, c'est que quand monsieur claverol me disait :

"François Morency est complètement capoté. C'est un fou-fou drôlatique. On rit aussitôt qu'il apparaît dans le décor. Il sous-tend la notion de rire. Parfois considéré comme étant le "Sting des pauvres".
Quand à Mario Jean, eh bien il s'agit plutôt d'un phénomène d'identification. Il n'est pas lui, comme on pourrait le dire de Sting (François Montmorency), mais il est nous. Qui ne se reconnaît pas en Mario Jean? Mario Jean nous autorise à afficher notre candeur, le zizi à l'air. On a tous eu 13 ans, n'est-ce pas?
Quand à ton humour, qui ne s'enfarge pas dans les fleurs du tapis, eh bien je ne saurais dire si ces gentlemen peuvent l'incarner."

devant sa porte, vers 1991, et bien les mots sortant de sa bouche avaient été prononcés "a posteriori" par un certain Alain De Greff, qui était alors directeur des programmes de canal +, et qui lui-même avait été programmé par un bidule un peu plus gros, et plus haut dans la hiérarchie des sommets et qui avait effectué ce "collage", un soir d'ennui, dans sa cabine... mais par contre, lorsque monsieur claverol parlait de François Morency, il utilisait ce pseudonyme pour définir l'objet Laurent Bassat, en parallèle de certaines autres biffurcations possibles, via la science nominale des archétypes, mais qu'en parlant de Mario Jean et de ses histoires de "zizi à l'air", c'était à ma propre histoire archétypale intrinsèque qu'il faisait référence, à moi, jean-philippe laffitte. mais quand à Alain De Greff (oui, le vrai, et pas Villanueva, bien que les 2 personnages soient aussi liés par certaine filiation ésotérique), lui, quand il parlait de François Morency et Mario Jean, il ne faisait pourtant que citer les pseudonymes de 2 artistes plus ou moins "zigotos" intitulés ainsi, et sur lesquels il réfléchissait dans son bureau en marmonant "concept, concept, concept", dans sa barbe fleurie et imberbe, biensur. mais par contre, moi, je n'étais déjà plus jean-philippe laffitte depuis quelques temps déjà...

et c'est la vérité. c'est tout...

puis y'avait l'histoire de ce gars du crédit agricole, et que ses collègues appelaient "robert le diable", et y'aurait tout un tas de noms et de choses à étudier de partout, et sous de nombreux autres rapports de filiation, ou de couture, ou qu'on aille, et avec qui, et quand, alors je vais m'arrêter là, cette fois-ci, merci.

et oui, c'est la fin des vidanges (qui l'eut cru, hein ?)

FIN.
La clotilde roukge said…
afin de vous faciliter la vie durant la période de sevrage qui va suivre, je vous conseille les films realisto-fantastiques d'Agnès Merlet, et tout ce qui pourrait tourner autour de son univers, ou s'en rapprocher...

allé, adieu!

(oui, moi aussi, je me manque déjà, mais adieu...
+ (fin... said…
et pour la musique : france musique, c'est gratuit, et de qualité, et l'on peut l'écouter au casque, pour ne pas déranger les voisins, mais aussi pousser le son à fond, ou simplement, écouter ça normalement, assis à son bureau, devant la fenêtre entrouverte, en buvant du café, et mangeant un yaourt nature...
jp (pour sabine saggioro) said…
il était tard dans la nuit froide, et je marchais à côté d'elle. elle s'accrochait à moi. elle marchait à côté de moi, en me tenant le bras. liberté carcérale. nous croisâmes une ombre humaine, remplie de folie, à qui j'offrais la moitié de mon tabac. je me sentais lâche, en dehors de sa misère. la seule chose que je ressentis fut la peur, la surprise, un sentiment d'insécurité. et lui, je ne sais pas ce qu'il ressentait, alors. mais ce que je sais, c'est qu'il souffrait, mais qu'il ne compta pas sur nous pour se recharger en espoir. il était en lutte pour sa survie, c'est tout. perdu dans ses pensées, puisant dans son soma, son histoire. et moi, je n'étais pas médium, ou en tous cas, pas à ce moment ci. et il n'y eut pas de réel contact, en apparence. et comme un lâche, je rejetais la faute sur la femme qui m'accompagnait et disait : "foutons le camp, ça craint". car je n'étais jamais "moi", ou que j'ailles. toujours en porte à faux. traitre à tout, désincarné. ou que j'ailles, j'aurais voulu être ailleurs. c'est à dire, en dehors de moi, de mon histoire, et de mon territoire mental innassumé. mais lui, il m'avait dit des choses, quelques phrases, en rapport avec la "magie", et le "gouffre" en lui. l'ouverture des portes. les visions. puis il ricana en disant "merci". il avait vues des choses en moi. et elle et moi, nous éloignâmes en fuyant. il y avait eu un contact. oui. vent froid, dans le dos. et fuite.
jp la secousse, qui mousse, comme dans le mickey de gainsbarre said…
quelques mois plus tard, nous avions déménagé. et je lui achetais un ticket de train pour qu'elle retourne dans sa ville. en fait, je payais pour me débarasser d'elle, la prostituée dont ils avaient tué le fils, en lui promettant de lui écrire, et de ne pas perdre le contact. ce que je fis, en jouant le jeu, un temps. mais en réalité, j'avais tout juste été bon à faire naître de faux espoirs en elle. comme le faux soleil que je dessinais, plus tard, sur le mur de ma chambre, pour l'autre, la plus jeune pour qui je l'avais quittée. et qu'ils avaient programmée pour moi.
les archives du recyclage (jp) said…
y'avait des CRS et des flics plein la gare. je me disais qu'ils étaient là pour moi. on craignait de soi-disant attentats, et j'avais la gueule d'un suspect. et de toute façon, je restais suspect à moi-même. je n'avais plus de voiture, accident, un an auparavant, durant une "nuit magique" pendant laquelle les alchimistes électroniques s'amusèrent avec mon cerveau, devenu pour un temps une chambre d'échos. "j'aurais pas dû acheter ce bouquin signé burroughs sur le site de la fnac, en ligne, et que je venais de refiler à la fille pour qu'elle le lise, quelques jours auparavant. la "guerre électronique", ça s'appelait". et de toute façon, j'avais su dès le début que prendre un abonnement internet était une forme de suicide. au moins kekpart. mais j'avais aussi eu besoin de savoir. d'y goûter. comme la plupart. et puis je n'avais déjà plus d'issue dans la vie, alors quitte à "assumer" son confort de la mort... et je me suicidais tous les 15 jours... et je riais faux.

...

nous sommes cernés par les cibles.
les victimes qui puent said…
le monde est devenu le zoo de ceux qui adhérèrent de gré ou de force à la logique évolutive des choses. pouvoir technologique. flicage intégral, jusque dans nos rêves. nous, les animaux supérieurs au sang se refroidissant, de génération en génération. devenus objets du laboratoire universel. ou la pensée positive se doit de s'adapter aux nouvelles lois en vigueur, et à violer son propre fond, afin de s'adapter, comme sophie davant, exhibant ses nénés en pature à la foule, dans l'espoir de sauver le service public. + rire grivois, car fin, ménon...
le peuple bourseillé said…
je pense que jp est homosexuel
comme tchaïkovski...
jp guevarra said…
ouais
écoute christophe
ça me va bien, moua
de passer pour une tapette aux yeux de tous ces cons
tant que je peux m'identifier à tchaïkovski

car j'ai juste besoin que l'on flatte mon ego soumis
de temps en temps
afin de mieux refleurir comme une fleur
demain
jp (je pense que les homophobes sont avant tout de grosses pédales ne s'assumant pas, à cause des lois de la société) said…
je pense que christophe bourseiller n'est que l'échos morbide du désir de soumettre jp ayant émané de l'affect transcendé de cette pédale de docteur anglézio, vers 1980-chose... quand jp, alors agé d'une huitaine d'années lui avait dit : "vous êtes homosexuel, monsieur", pour se venger de l'accusation dont il avait lui-même été victime après avoir embrassé jérôme ladevèze devant tout le monde +

LE SUPER LABORATOIRE EN CLIPOS :

http://www.youtube.com/watch?v=9Bm-kdLwBVc

poème :

tue
tue
tue

ne te branles jamais
transcende et tue
pour le peuple staliniste

au milieu des fleurs
un bon vieux rire peut faire des merveilles à votre âme

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