ET MAINTENANT... UN PEU D'HUMOUR
UN PEU
D’HUMOUR...
POUR LE VRAI
MONDE.
J’en ai assez de
sonder les profondeurs de la psychée humaine. Le Jour des vidanges me paraît,
avec le recul, beaucoup trop austère, intellectuel, formaliste, destiné à un
lectorat confidentiel. Aussi ai-je décidé de m’adresser au bon peuple grégaire,
à la plèbe, au vrai monde. Le peuple aime se payer une bonne tranche de rire,
rire sain et convivial. Il aime se reconnaître dans les choses du quotidien.
Voici donc, en exercice, un gag léger auquel chacun et chacune pourront
s’identifier. Ce n’est peut-être pas au point, je manque d’expérience, mais à
coup sûr le punch suscitera une véritable cascade de rires. (J’enverrai cette
blague à François Morency ou à Mario Jean.)
¨L’autre jour,
j’étais chez Jean Coutu avec ma blonde. On s’est arrêté au rayon des produits
hygiéniques pour femmes. Ç’a pris au moins une heure avant qu’elle fasse son
choix de tampax : Mince, ultra-mince, moyen, large, jumbo, all-dressed
extra bacon. Et y a les couleurs aussi : des tampax jaunes, des bleus,
mauves, verts, aquarelle, concombre et oignon. Coudonc! Les jaunes-oranges sont
à quelle saveur? Mangue, carotte ou cheeze whiz? Tout à coup, j’ai été pris
d’étoudissement et de nausée. J’ai dû m’accrocher à un appui solide pour ne pas
m’écraser par terre. Suant et grelottant, halluciné, l’écume aux lèvres, je
voyais des images impossibles. Dans mon esprit délirant, le centre d’achat
était en feu. Autour de moi, des enfants et des femmes couraient, brûlants
comme des torches, couinants comme des porcs. Le sol était jonché de débris et
de cadavres carbonisés. J’imaginais aussi ma blonde écrasée par une dalle de
béton, à moitié morte, le corps disloqué, les entrailles fumantes mises à nu,
le crâne défoncé, me suppliant de fuir : ¨L’un de nous doit survivre.
Cours! Mon amour, cours! Prends soin d’Anne-Sophie. Elle aura besoin de toi.
Cours! Je t’aime, je n’ai aimé que toi¨...
LA CRITIQUE EST
UNANIME
¨J’ai tellement
ri que j’ai pissé dans ton nez¨¨
-La critique
Comments
Quand à Mario Jean, eh bien il s'agit plutôt d'un phénomène d'identification. Il n'est pas lui, comme on pourrait le dire de Sting (François Montmorency), mais il est nous. Qui ne se reconnaît pas en Mario Jean? Mario Jean nous autorise à afficher notre candeur, le zizi à l'air. On a tous eu 13 ans, n'est-ce pas?
Quand à ton humour, qui ne s'enfarge pas dans les fleurs du tapis, eh bien je ne saurais dire si ces gentlemen peuvent l'incarner.
je chie un peu moins mou.
c'est selon moi un signe que la santé revient. mais pour quand, qui et combien ?
poème :
non
pas de poème ce soir
car tous les morts-pour-rien reviennent me chier dans l'anus du sphincter, comme des enculés dans ma mémoire
ce soir
et que tout est de la merde
comme israël
qui est une nation de névrosés
et pour cause :
°clip de meira asher°
lyrics :
"another religious boy again, made another act ov saint... boat, road or by feet... they gonna make a holy dead beat"
Carl.
persiste à continuer.
car je le sais.
je pense...
boardhell!
ben toé!
t'es béni des culs, on dirait!
tu viens de chiffrer un 3 fois 7, là!
c'est juste que chuis là, à ce moment, et que j'irradie un max, grace à ma propre présence toute simplette
tout ouie
et pourtant
tous ces temps passés
il était dans son magasin-mouroir
chef de rayon
en osmose d'avec les orbites
prêt à tuer
mais est-il une fille
au fond ?
nous le ne saurons pas-oui
tant kill aura pas (af)franchi le PA
afin que dieu s'identifie à
(en suplément, la recette du petit bonheur tranquille en 7 ingrédients, toujours selon JP :
1- une nourriture saine, naturelle et équilibrée
2- la marche à pieds
3- le death metal underground old school, d'avant l'an 2000
4- les films d'horreur
5- les livres de lovecraft
6- les drogues douces
7- accueillir une femme de passage dans son antre, parfois, après une journée de guet, ou de labeur, afin de discuter de la vie, autour d'un bon feu de bois)
°°°FIN-SUITE°°°
je me suis progressivement transformaté en death métalleux écolo des années 90.
une période charnière, et décisive quand à l'adoption de cette nouvelle identité : l'hiver 2008/2009, ou 2009/2010...
FIN
alors adieu, et merci
réponse : "leur punition, c'est leur labeur en accord d'avec les lois qui régissent l'équilibre du système économique en chaleur"
alors adieu, bande de schizophrènes esclavagistes nuisiblement constructifs, car mon avenir m'attend
FIN
à suivre...
fin
mais que savez vous donc d'autre au sujet de ce un galant homme ?
alors je ne peux pas lui en vouloir, car je l'aime.
oh, mon dieu! si vous saviez combien je me sens épri de lui, et que cette épine savoureuse continue à trouer délicieusement mon coeur à chaque seconde de mon existence...
FIN
adieu
des laids (blague à propos de l'effet d'une pédale delay, que certaines personnes n'étant pas au courant ne peuvent pas comprendre, mais celà doit changer)
s'offre sans délai
délai
délaissé
2- non, et toi ?
1- ben un nain, il est plus petit.
2- oui, je sais. mais toi, comme tu es un géant, tu vois tout de loin, depuis le ciel, alors tout te parait petit, et tu ne vois que le dessus de la tête des gens, ou les ronds de leurs chapeaux. alors tu ne peux pas savoir qui sont les nains et les normaux, non ?
1- si. car j'attends qu'ils se couchent, afin de mieux évaluer leur longueur.
2- mais c'est impossible, car il y a un toit au dessus d'eux, quand ils se couchent dans leurs chambres, la nuit, ou même sous la tente.
1- oui, mais moi, j'ai des jumelles spéciales qui permettent de voir les choses à travers les toits et les toiles de tentes. ou alors, j'attends que les gens se couchent sur la pelouse du stade, pendant les exercices d'étirement athlétiques, et là, je peux les évaluer mieux.
2- OUAHWWW! c'est super ingénieux.
HAHAHAHAHAHAHA!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
et bien il y avait Emmanuelle Seigner NUE en train de saigner du nez dans la baignoire, et QUI DORMAIT. alors j'ai éteint la lumière, fermé la porte et suis retourné dans la cuisine, mais cette fois-ci, avec une érection dantesque. et c'est à ce moment précis que Paz De La Huerta déboula, EN NUISETTE DE SOIE NOIRE, et qu'elle dit en regarda ma protubérance phallique : "houhou! toi alors, tu as l'air en forme ce matin!... mais tu n'aurais pas vu mon Vynil de Massive Attack ? j'ai envie d'écouter un peu de musique..." en me caressant les fesses.
et je me dis alors qu'elle avait sûrement dû oublier que Jim Jarmusch avait brisé son disque durant la soirée apéro donnée chez Philippe Bouvard, la veille, quand il s'était écroulé sur la table basse, comme une masse, avant que l'on appelle le Docteur Personnel Bouddhiste de Richard Geere. mais je l'embrassa, et elle jouit en pleurant. et Deborah, qui avait entendu, exigea la même chose, mais sa nuisette à elle était d'un BLEU ROYAL... mais c'est alors qu'on entendit comme une sorte de long gémissement de hyène, en provenance de la salle de bain...
et après ?
"ou est-ce que t'as encore été te fourrer? t'as les pieds tous crottés!vas te laver avant d'en mettre partout sur la moquette!"...
et donc, plus tard, je commençais juste à me laver les pieds au bidet quand le vibreur de mon portable se mit en marche. je décrochais, c'était Carole Bouquet. et alors elle me dit "alors, jp, t'as enfin pu prendre le temps de goûter ma dernière cuvée, ou il faut que je viennes te la faire boire moi-même ?" et alors, sans me dégonfler, je répondis : "je préfèrerais que tu viennes, haha!" sur quoi, je raccrochais. et alors, Emmanuelle, qui s'était habillée en jogging gris, me dit depuis le couloir, j'y vais, jp, je t'appelle une fois arrivé chez Roman, bisous, trouduc! puis elle claqua la porte derrière elle.
et après ?
"j'avais vu cette touffe de cheveux blonds dépasser au dessus de la terre, et celà m'avait intigré... aide-moi je te pris!"
Mais alors, je péta un plomb :
"BON DIEU, LENA, on peut dire que tu as le CHIC pour arriver COMME UN CHEVEU SUR LA SOUPE au beau milieu de mon week-end en amoureux! Et comment es-tu arrivé jusqu'ici, d'abord ?"
elle fit un signe en direction d'un hélicoptère en train de s'éloigner, dans le ciel, au dessus des immeubles, et je compris.
"comme tu es succeptible! mais n'oublie pas que je suis ta femme, morpion, et que j'aie encore certains droits."
et alors, mon visage se crispa.
et après ?
...
c'était Paz, qui avait décidé de tirer sur Deborah afin de me sauver la vie, parce qu'elle m'aimait.
...
et depuis, Paz et moi, vivons dans la clandestinité anonyme des parrias, à Preignan, dans la gers, chez ma mère, et nous passons notre temps à jouer à des jeux videos et à faire l'amour, en mangeant des fruits exotiques. et Carole Bouquet est la seule au courant, et c'est elle qui nous ravitaille en charcuteries et en vin rouge, deux fois par semaine.
mais Paz et moi, on s'aime d'amour, et c'est ça le plus important.
ça donne envie de se transformer en Paz De La Huerta, ça...
mais adieu, car ma bien aimée veut son jus de carotte!
c'est pas possible d'inventer des choses aussi réelles. oui. je pense que vous dites la vérité. mais par contre, Emmanuelle Seigner, elle, j'ai du mal à croire qu'elle ait pu tomber amoureuse de vous. chépas pourquoi, mais c'est comme ça... je le sens pas sur ce coup là. désolé.
je le trouve vraiment trop superficiel.
et trop artificiel, surtout.
JE VAIS RATER MON AUTOBUS!
BON DIEU!
ADIEU!
"surprenant". bonne description de l'effet ressenti.
mais je rajouterais "atmosphérique".
un peu comme dans téléchat. avec cette ambiance angoissante relevant de l'absurde, du non-dit et du non-compris... en rien comparable à Caliméro en ce qui concerne la détresse effroyable ressentie face à l'injustice de la méchanceté des autres, mais comme s'il en découlait le cri d'une plainte intimement tue, comme muette... carcérale...
en fait, Polanski, ce serait un peu comme du sous-David Lynch.
un "David Lynch des pauvres", comme aurait pu dire l'autre. du David Lynch emmerdant. sans les vortex tortueux et absurdes insinués par les successives incarnations d'un "Lost Highway", par exemple, ou les effrois grotesques d'une maman protextrice complètement cinglés, avec ses maquillages purulents, comme dans Sailor Et Lula...
mais cependant, ce qui retenait l'attention dans "Frantic", par exemple, qui aurait pu tout aussi bien n'être qu'un thriller de merde de plus, c'était cette impression que l'on assistait à l'histoire "en direct", et qu'elle se déroulait devant nous, et "en temps réel", sans coupure... et je ne sais pas si celà était dû au rythme, au montage, ou quelque chose comme celà, mais je me souviens avoir ressenti cette "magie", enrobant de son aura étrange l'apparente trame "emmerdante" d'un possible "premier degré" aux échaffaudagetées primairement rébarbatives, selon l'espèce...
non ?
mais en plus, il faudrait qu'ils fassent ça sur un bateau gonflable Sevylor, dans l'eau trouble d'une petite crique de cadaquès, et espagne du nord-est...
me fait penser à la secrétaire amoureuse de james bond, des premiers épisodes des années 60...
mais alors, mais qu'est devenu Kim Basinger depuis "8 Miles" ? elle s'est marié avec Eminem ?
Non!
mais elle doit être vieille, maintenant, non ?
c'est tout simplement IM-PEN-SABLE,
I-NI-MA-GI-NABLE, comme tenter de poser des limites, ou des frontières à l'infini, ou je sais pas, essayer de comprendre POURQUOI, il y a eu QUELQUE CHOSE, plutôt que RIEN, ou pour quelle raison MORALE l'univers aurait été créé...
FIN
mais par contre, je suis absolument d'accord avec ce que dit jp à hollywwod à propos du "Vomit Express" de Ginsberg, et j'irai même jusqu'à proposer que la session d'enregistrement dont fut extrait ce morceau fut la même que celle durant laquelle fut gravé le "Don't Go Home With Your Hard-On", de Cohen, ou en tous cas, qu'elle le fut "dans la foulée", ou quelque chose comme celà, car le petit bordel organisé, avec flutes et tambourins à l'appuie, et même, la voix nasillarde et assez facilement identifiable de Bob Dylan perçant parfois la surface du magma en réponse chorale au leader-singer pris de vertiges dû à l'abus de champagne et de cotillons (à moins qu'il ne céda à la pression psychologique de Phil Spector, qui parait-il, s'amusait à menacer ses musiciens et à leur tirer dessus à coups de revolver quand il n'était pas satisfait d'eux, dans le studio qu'il avait pris soin de fermer à clé, et gobant des amphétamines comme des petits bonbons derrière sa console) restent assez typique d'une atmosphère de liesse et d'émulation collective commune à ces deux enregistrements, mais biensur, je peux me tromper.
adieu!
mais celà fait-il peut-être aussi partie de "l'alchimie" stylistique aux relents plus ou moins "moyen-ageux" que vous vous amuseriez à sculpter aussi maladroitement que possible dans un but d'injecter un sentiment de confusion ou une sorte d'authenticité prodigue à vos déjections ?
et celà a-t-il un rapport avec ce taré de monsieur claverol ? ou de ce buldozzer du bonheur de monsieur simonin ? (bulldozer du bonheur, ça m'est venu en regardant le numéro de sa plaque minéralogique, "777", l'autre fois, alors que je jetais un cailloux sur son camion blanc, et qui fut dévié par un faux mouvement du coude du haut, près de l'os de l'épaule qui se déboite, dans mon bras, alors que je me prenais un rien pour un intifadien du dimanche)
l'élite des pieds-noirs et des juifs se font-ils la guerre à même ma tête de bougnoul décadent ?
et ces mecs aux yeux bleus, par derrière, qu'attendent-ils ? le ragnarok ?
mais qu'en pense BJÖRK, la chanteuse islandaise ?
tiens, voilà 5 euros
vas te payer un kebab
et fais-nous plus chier avec ta merde de poisson-violent...
christ
mais chuis à la diette, là.
puis j'ai tous ces tomes de livres autobiographiques à écrire au stylo bic, de mon écriture "pas à moi" que patrice meignan m'avait volé dans les années 80, quand il tenait les registres des résultats de nos parties de courses de formules1 sur moquette, dans son ancienne chambre... et qu'un OEIL veillait sur nous, déjà...
HiiiiiiiiHAHAHAHAHAHééééééééééééé!!!!!!!!
bises.
dans le diable
et ses ecus d'or
delphine
(vas faire enculer tes lunettes noires par des La Rouge en manque de stimulis-rachids) + image de piscine :
http://www.certiferme.com/blog/imgs/articles/blog-3026-la-fourchette-qui-vibre-150913193810-9258425643.jpg
ménon, ceci n'est pas une piscine, mais une blague, merchi.
hahoho...
faites chier à essayer de me faire ressentir des trucs, là.
y'a bien plus grave que vos conneries.
bref...
allé, adieu :
les olives
un peu de hashish
lire un ou deux livres par an
manger gras
puer le sperme au supermarché
sentir mauvais chez le toubib
baiser sa propre bite
cracher sur des cons qui comprennent rien
chier sur de l'herbe pour mieux l'enterrer
et prendre les gens pour ce qu'ils sont
c'est à dire
de la merde toute juste bonne à crever la bouche ouverte devant hiro-hito nu
car nous buvons
pour oublier
je t'aime
alors viens
s'il te plait
(pi je vais t'attendre, dorénavant, pour toujours, mais ne m'oublie pas trop, car j'ai déjà...°
MAIS
"François Morency est complètement capoté. C'est un fou-fou drôlatique. On rit aussitôt qu'il apparaît dans le décor. Il sous-tend la notion de rire. Parfois considéré comme étant le "Sting des pauvres".
Quand à Mario Jean, eh bien il s'agit plutôt d'un phénomène d'identification. Il n'est pas lui, comme on pourrait le dire de Sting (François Montmorency), mais il est nous. Qui ne se reconnaît pas en Mario Jean? Mario Jean nous autorise à afficher notre candeur, le zizi à l'air. On a tous eu 13 ans, n'est-ce pas?
Quand à ton humour, qui ne s'enfarge pas dans les fleurs du tapis, eh bien je ne saurais dire si ces gentlemen peuvent l'incarner."
devant sa porte, vers 1991, et bien les mots sortant de sa bouche avaient été prononcés "a posteriori" par un certain Alain De Greff, qui était alors directeur des programmes de canal +, et qui lui-même avait été programmé par un bidule un peu plus gros, et plus haut dans la hiérarchie des sommets et qui avait effectué ce "collage", un soir d'ennui, dans sa cabine... mais par contre, lorsque monsieur claverol parlait de François Morency, il utilisait ce pseudonyme pour définir l'objet Laurent Bassat, en parallèle de certaines autres biffurcations possibles, via la science nominale des archétypes, mais qu'en parlant de Mario Jean et de ses histoires de "zizi à l'air", c'était à ma propre histoire archétypale intrinsèque qu'il faisait référence, à moi, jean-philippe laffitte. mais quand à Alain De Greff (oui, le vrai, et pas Villanueva, bien que les 2 personnages soient aussi liés par certaine filiation ésotérique), lui, quand il parlait de François Morency et Mario Jean, il ne faisait pourtant que citer les pseudonymes de 2 artistes plus ou moins "zigotos" intitulés ainsi, et sur lesquels il réfléchissait dans son bureau en marmonant "concept, concept, concept", dans sa barbe fleurie et imberbe, biensur. mais par contre, moi, je n'étais déjà plus jean-philippe laffitte depuis quelques temps déjà...
et c'est la vérité. c'est tout...
puis y'avait l'histoire de ce gars du crédit agricole, et que ses collègues appelaient "robert le diable", et y'aurait tout un tas de noms et de choses à étudier de partout, et sous de nombreux autres rapports de filiation, ou de couture, ou qu'on aille, et avec qui, et quand, alors je vais m'arrêter là, cette fois-ci, merci.
et oui, c'est la fin des vidanges (qui l'eut cru, hein ?)
FIN.
allé, adieu!
(oui, moi aussi, je me manque déjà, mais adieu...
...
nous sommes cernés par les cibles.
comme tchaïkovski...
écoute christophe
ça me va bien, moua
de passer pour une tapette aux yeux de tous ces cons
tant que je peux m'identifier à tchaïkovski
car j'ai juste besoin que l'on flatte mon ego soumis
de temps en temps
afin de mieux refleurir comme une fleur
demain
LE SUPER LABORATOIRE EN CLIPOS :
http://www.youtube.com/watch?v=9Bm-kdLwBVc
poème :
tue
tue
tue
ne te branles jamais
transcende et tue
pour le peuple staliniste
au milieu des fleurs