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Les excellents
produits de marque FEBREZE offrent toute une gamme de ¨pouche-pouche¨ et de
¨sent-bon¨ à fragrance amusante et insolite. Je me suis procuré récemment une
petite bonbonne de stuff chimique à odeur de PRINTEMPS ET RENOUVEAU. Évidemment,
ça ne sent ni le printemps, et encore moins le renouveau. Mais l’inventivité de
FEBREZE m’a donné envie de proposer quelques idées de fragrances
inusitées :
FEBREZE À
FRAGRANCE DE...
-TOILETTES
PROPRES INHUMAINES
-AIL VERT ET
FRITURE DE SPORT
-MIEL DE LA
MÉLANCOLIE
-HUILE DE DRUIDE
-DRAME HUMAIN
VERT D’AIL
-LIME ET MIEL
HUMAIN
-REGARD ET CALME
DE SPORT
-CALME HUMAIN ET
MIEL DU CRIME
-JUS RARE HUMAIN
DE MIEL
-CE SOFA PROPRE
(Celui-là)
-SAUCE HUMAINE
DE MÉLANCOLIE
-ÉCLOSION SOUDAINE
DES DRUIDES
-ODEUR JUSTE WEIRD
-JUS D’EXCUSE ET
D’EXTASE
-HUILE DE CALME
RARE
-CROÛTES
LIMONEUSES
-ANGOISSE ET
FRITURE
-MORT DU SPORT
MÉLANCOLIQUE
PS :
Camarades, frères et soeurs d’humour et de désespoir, je vais encore
disparaître pour un temps afin de me RESSOURCER. Ce sont, comme on dit, des
CHOSES QUI ARRIVENT (tant de choses arrivent, on ne saurait les répertorier.
Exemple : Je viens d’acheter un poireau. C’EST UNE CHOSE QUI EST ARRIVÉE.)
Vous admettrez avec moi que LES TEMPS FONT DUR (oui, FONT non pas SONT) dans ce
faux pays et qu’un congé de toute cette raclure sur Internet à propos des
guerres, des massacres, des viols, des crimes, des chats, des chiens, des
vedettes, du nouveau disque de U2, fait du bien de temps en temps.
Comme dirait cet
instable JP : Adieu. Et j’ajoute  betôt xxxx
Comments
Dans le catalogue de mes fragrances dégradées :
- révolution tranquille
- soutane flambée à la crème tropicale
- Xième essai
- l'époque des calottes
- poil de carotte (au singulier, comme le personnage)
- l'arôme discret d'un vieux trente sous.
Et je laisse la place à JP.
la tentation du fromage
Moi, chuis égoïste à souhait, et crétin jusqu'au bout.
Je ne comprends toujours rien.
Et qui te dit que mon sacrifice résoudra le problème ?
Je me cache derrière le petit bébé
comme un grand.
J'achète l'alcool quand toi
tu veux rester là pour ne rien perdre.
Consciente du moindre souffle.
Ils me disaient qu'elles aimaient bien ce genre d'histoires.
De dissection du vivant.
J'étais loin de me douter de tout ça.
Je ne connais pas l'horreur.
Mon verbe niais perd encore du sens en route
maintenant que même le senti a été disséqué.
Et toi
t'avais raison de vouloir restée planquée.
De te cacher toujours
du règne du soleil.
Et aujourd'hui ils prétendent que tu as contracté un cancer de la peau
comme t'avais prédit
mais qui te dit qu'en prédisant
tu ne faisais pas que provoquer ta propre maladie...
et peut-être aussi que tu la souhaitais.
Quand à choisir à me faire découper en morceau
par une machine mécanique à chaîne
ou sacrifier un bébé sur leur hôtel cannibale
et bien
si j'avais encore le choix
je ne n'opterais ni pour l'un
ni pour l'autre.
Mais qui te dit qu'il y a encore le choix ?
Et qu'ils n'ont pas sauvé le bébé
pour en faire un tueur
en l'éduquant sur le front de l'est, à l'ancienne ?
Et pour qu'il revienne, un jour
venger les esprits.
A Dieu.
La manipulation mentale n'est qu'une autre forme d'éducation.
Et peut-être que les buts se forment
au fur et à mesure que l'on apprend
et que rien n'est joué à l'avance.
Et que les prophètes mentent comme des arracheurs de dents
et qu'ils ne sont pas forcément légions
ceux qui croient...
car le réflexe n'est pas la croyance
ni la conscience.
Le réflexe n'est que la surface du corps en chasse
dont le gouffre intérieur reste le prisonnier
en sursis.
Poil de carotte.
Et maintenant qu'ils savent
et connaissent tous nos secrets
il nous reste à en inventer d'autres
toujours.
Comme cette fuite de soi vers l'intérieur.
Ce gouffre.
Ces nuits passées la tête vide sur l'asphalte du salon siliconé
sur le lino plastique en manque d'âme à broyer
sans désir.
Et maintenant qu'elles ont tué notre sexe
elle tueront aussi nos enfants
après nous avoir broyés les doigts
en les trempant dans de gros pots de peinture sentant mÖvais...
la mémoire en code barre
(le titre de ce truc est "Dead Soul")
FOFF UCK!
je ne suis pas prêt à me faire découper à la tronçonneuse afin de sauver notre non-amour
(mais ils geignent toujoirs!)
(oublié entre temps à qui je devais dédie'r ce foutre, mais qui en même temps, nous rajeuni de mon sourire, comme dirait la pute blonde dont j'ai oublié le nom, sur eurolive...
+ lionel medou
FIN.
je t'extermine
car
je t'aime :
"et alors ???" :
http://www.youtube.com/watch?v=baEiu2NCDek
poème :
près du petit ruisseau
j'étais seul et à bouts
dans les bois
je suintais l'incarcération mentale
par tes soins
dans l'herbe
mes touchés restaient désincarnés
devant les petites fourmis
qui me grimpaient sur les bras
pendant que j'essayais de penser quelque chose
et que je ne pouvais pas
et je luttais vers le ciel
cet avortement promis
et marie me trahissait
elle aussi
et alors
il n'y avait plus d'ailleurs
pour toujours :
http://www.youtube.com/watch?v=Czim7jabhM8
+ l'énigme du jour est :
jean-marc lauray
exèrgue :
"FIN"
(le clip est nul, les images, concentrez vous plutôt sur le son, fermez les yeux en écoutant ce clip, car le culte du chef pu, comme les staliniens, qui ne sont que des gens, après tout)
quand j'étais sur le trottoir
j'avais un compte en banque
et des refuges possibles à l'avance
et donc
je n'ai jamais été sur le trottoir
car je n'étais pas "jeté"
sans nulle part ou aller
à l'avance
ne peut pas comprendre
le sens de la vie
le labyrinthe à inventer
tout jouir
bise :
http://www.youtube.com/watch?v=2taGApKezNI
+ LUTTE-CONTRE
and lies are the way we move :
http://www.youtube.com/watch?v=Pe6oMRuOXmw
while we think and entrepose our experiences as references
to make a way
as god
Je suis cette histoire attentivement depuis un petit bout déjà. C'est clair que ces deux-là vont "finir" ensemble.
Tu n'as qu'à l'inviter au restaurant ou au cinéma, JP. Et ensuite un verre dans un endroit feutré, et quand ses yeux commencent à briller un peu plus fort, tu l'invites pour un autre verre chez toi. Une fois à la maison, tu lui joues cet air du type plein d'assurance qui soudain se trouve un peu intimidé (mais pas trop). Ensuite, un geste plus ou moins maladroit, plus ou moins intentionnel, la tension érotique aidant... Enfin, tu connais la chanson. Après quelques semaines de fréquentations tu peux commencer à faire vaguement allusion à des projets comme l'achat d'une petite maison ou bien lui faire un enfant. Je connais une décoratrice d'intérieur pas trop quétaine si tu veux, je vous donnerai son numéro.
Votre premier noël ensemble sera féérique. Je tremble rien que d'y penser. Tu caressera son ventre légèrement rebondi.
Et au printemps, tu pousseras un long soupir à repenser à ton ancienne vie de vieux loup solitaire, puis il y aura une brise, et tu sentiras ton coeur s'ouvrir...
Je la revois cracher sa fumée avec dédains, ou pire, à l'intention de mon regard, derrière sa paire de lunettes noires. Et je l'aime. Ou je me dis que je l'aime, et qu'elle a vues les photos, d’où sa haine en retour, via son dégoût infini de toutes les saloperies porno. (Le Programme?)
Me suis relues trois lignes de Catherine Dufour, mais la magie ne marche plus. Pi maintenant, mamie me parle par la fenêtre. Je ne comprends toujours rien. J'ai vécu le second enterrement d'un proche, la semaine dernière.
On peut mourir plusieurs fois ? Possible. Mais naître, ça, je crois pas trop. Quoique.
Le monde est ainsi fait.
Du coup, je n'attends plus vraiment les tueurs, tellement je les aie déjà attendus, longtemps. Et je continue à écrire des lettres que je n'envoie jamais.
Et la magie, c'était quoi, sinon une paranoïa qui prenait forme ? « l'avènement à même le réel de tous ces efforts sourds de la volonté obscure », comme aurait pu dire l'autre. Possible, ça aussi. Comme quand je me dis que je l'aime, parce que je m'ennuie de ma solitude. En fait, je crois bien qu'elle est folle. Perdue. Et j'ai peut-être aimée sa fille, aussi, dans le temps. L'ère des malédictions. Puis non. Je sais pas. Elle faisait peur, à l'époque. Ça serait aujourd'hui, ça serait différent. Vu qu'entre temps, j'ai moi-même subies des épreuves. Me semble que je saurais mieux lui parler aujourd'hui, mieux l'aimer, même, qui sait ? Après tout, elle était plutôt cool quand elle ne pétait pas les plombs. Elle était même douce, et protectrice, quelque part. Mais avec des excès d'humeur qui ressemblaient à ceux de sa mère. Oui, je me souviens maintenant, qu'on s'était dit qu'on avait l'impression de s'être déjà croisés elle et moi. Elle était ouverte, au fond, pas vraiment perdue. Perturbée, mais pas perdue. À part quand elle repartait dans ses délires, ses visions.
(Le Programme?)
Elle avait insisté en me tendant des photos d'elle. Lui avais dit que j'en voulais pas, mais sa magie s'était remise en marche, sournoisement, dans cette chambre de l'HP. Et elle avait insisté en disant : « c'est grâce à elles qu'on vous retrouvera » avec un petit air maléfique... alors j'avais été déçu, et j'avais pris les photos qu'elle m'avait tendues, la mort dans l'âme. Dommage. Je t'aimais bien. Comme on peut bien s'aimer entre dingues. Ou classés comme tels selon les plans des grands manitous. Libérés de leurs histoires de merde, on aurait pu bien s'entendre. Je le sais, car je l'avais vu dans tes yeux. Cette porte s'ouvrir vers d'autres possibilités, tandis que je les évoquais. Mais c'était peut-être moi, alors, qui n'y croyais pas assez. Comme quoi... l'étincelle n'est pas le feu.
Comme quand l'autre me disait « c'est pas elle que t'aime, mais sa présence »...
doit y avoir un truc comme ça. L'incommunicabilité de quelque chose en suspend.
Quelque chose comme la mort, ou le sacrifice. Le non lieu. Non être. No man's land.
Une histoire qui ne serait pas allé jusqu'au bout. Avortée. Comme le monde qu'ils font.
Un monde vendu. Sans âme. Aux vertus délavées par les aspirations universelles « factices ».
« factices », au moins pour nous. Quand l'oubli semble les avoir absorbés tous...
mais il est vrai aussi qu'il suffit de « parler », pour que l'équilibre ambiant s'en retrouve tout chamboulé. Terrorisme du souvenir du monde s'exprimant devant la foi des âmes aveugles.
…
me souviens de ce chanteur populaire, en pleine transe sur la scène, et qui m'avait détruit avec ses mots, adressés à « qui se reconnaîtra » . et moi, anonyme dans la foule, je m'étais écroulé en les entendant, paumé au beau milieu de la liesse hargneuse lui répondant comme un seul cri. Comme transpercé, j'avais été prévenu... mais j'avais eu aussi un rêve, parallèle. Une vision de l'autre monde possible, peut-être... durant mon semi-coma. J'avais voulu mourir, ce soir là. Peut-être pour la première fois de ma vie. Disparaître avant de trahir, quelque chose comme ça... une intuition sombre de mon destin funeste. Semi agonisant contre le poteau auquel je me raccrochais. Et ce mot « exangue, exangue, exangue », auquel je me raccrochais comme à la pensée du christ dans ma tête, pendant que la foule tournoyait dans les sons enchaînés et déchaînes déployés par les amplis, dans cette salle de spectacle, à Tournefeuille, dans la banlieue de Toulouse, vers 1993...
…
elles se battaient dans ma tête à même mes souvenirs du futur(s) qu'elles prenaient pour un champs de bataille ouvert à toutes les fermetures possibles du sexe déjà cousu des femmes africaines qu'elles prenaient pour exemple afin de revendiquer leur propre horreur interne de la copulation forcée... faux, faux, faux. Tout à l'envers.
Fin.
chuis tellement con
que t'arriverais même pas à le croire
et d'ailleurs
je sais que tu le sais
depuis l'été 1991
mais tu l'as pas assimilé
encore
non ?
en gros.
capicé ?
c'est juste un esprit qui croit et conquiert
comme la plupart des êtres vivants reniant l'emprise du passé sur leur propre ombre
et scandant l'originalité de l'avenir émanant de leur gorge-pouvoir
faites pas chier aec La Rouge
couchez vous, et
à demain
pour inventer de nouveaux mondes
et l'on ne savait pas trop, car par la suite, les gens échangèrent leurs points de vue sur le sujet, et il y eut "à boire et à manger", comme on dit toujours.
mais toujours est-il que pour certains, cet ange prenait un bain dans cet évier, dans la mousse bleue et rose, en faisant des bulles et poussant des cris joyeux, tout sourire et rire de bonheur, le zizi à l'air, alors que pour d'autres, il n'y avait pas forcément d'ange, mais surtout, une MAIN. et que cette MAIN, empreinte d'un sentiment de dégoût émanant de SON cerveau invisible à l'oeil nu, cherchait dans cet évier les restes de victuailles sales et graisseuses restées au fond après que la vaisselle eut été nettoyée, pour les mettre à la poubelle, farfouillant avec ses doigts dans les creux des parois, et sur la petite grille servant à ce que les tuyaux ne se bouchent pas, plus tard, à cause de l'accumulation des déchets. et il y eut un deuxième jour...
et le deuxième jour, tout se compliqua encore plus. car l'on commença à parler, et à décrire la MAIN, qui pour certains n'existait pas, et pour d'autres était noire, et pour d'autres encore blanche, ou rose pâle, et certains disaient qu'elle portait un anneau en or, à l'annulaire, et d'autres disaient que le petit ange était parti, mais qu'il n'y avait toujours pas de MAIN, mais seulement l'évier, et les détritus dégoutants. et un homme respecté, car il était grand, maigre, et portait une barbe blanche, et un regard profond d'acier bleu-gris, comme le bon dieu, commença même à dire qu'il ne s'agissait pas du deuxième jour, mais d'un incalculable jour inscrit bien au delà de la scène soi-disant "initiale", et comprenant à la fois l'ange, dans l'évier, mais AUSSI, la MAIN, et non pas l'ange d'un côté de l'histoire, et la MAIN de l'autre. et comme l'homme respecté était considéré comme un sage-savant, la majorité des gens se mirent à penser et à dire qu'il avait raison, et à raconter l'histoire de l'évier AVEC un ange ET une MAIN, et non plus seulement, SOIT l'ange d'un côté, SOIT la MAIN de l'autre. mais biensûr, il y avait aussi ceux qui prenaient le sage-savant pour un fou, ou un menteur travaillant pour l'ORDRE, et qui mentaient peut-être eux-même, on savait plus trop. et il y eut un jour suivant...
et le "jour d'après", tout avait disparu dans l'oubli. tout était rentré dans l'ORDRE. les gens s'étaient remis à acheter des choses, à tronçonner des arbres par ennui, à tondre les pelouses par dépit, et à avoir des relations sexuelles par envie. même le Messie-Rouge rentra chez lui. mais cependant, il se remit a écrire à Mnémosine, sa chérie, alors qu'il ne lui avait pas écrit une seule ligne depuis plus de 118 ans. et de son côté, le sage-savant fit pareil. mais pas dans le même état d'esprit. et il y eut bien d'autres jours... après.
et après : "mais en fait, la "majorité" des "gens" n'était qu'une "minorité infime". pour de "vrai". et la membrane était ténue."
et il n'y avait aucune lettre dans la boîte aux lettres.
mais demande au bossu sous la colline.
et tu vaux bien mieux que ce que t'es
je l'ai toujours dit, s'il était moins caca-pipi, je le publierai tout de suite
vais me faire une clope.
vous avez lus les livres de thierry di rollo ? j'en rafole, perso.
tu nous emmerde avec tes histoires d'oeil crevé par la douleur incarnée du monde par une certaine logique de la salvation intrinsèque et passant par le viol d'une petite robe rose