LE JDV +
LE JDV +
¨Rien de mieux
qu’un doigt pour pointer quelque chose¨,
disait Hérophile, le père de l’anatomie. Mais il a tant de choses à
faire avec un doigt. On peut l’introduire dans un objet mou et pénétrable
(exemple : une banane, une fontanelle) ou dans un orifice (exemple :
un goulot, Jean-Sylvain.) On peut aussi –et c’est ce qui nous intéresse ici-
glisser le doigt sur une surface plane et lisse. Suivant les tendances, Le Jour
des vidanges veut s’inscrire dans cette récente mouvance, apparue avec le iPad,
du ¨doigt glissant¨. Quel plaisir que de passer son doigt sur l’écran lumineux,
glisser de l’avant, glisser de l’arrière, de gauche à droite. Ainsi avons-nous
créé Le JDV+, imitant La Presse et tenant en compte l’éventuelle suprématie du
iPad sur l’ordinateur habituel. Nous avions déjà créé un prototype, mais il
n’était pas au point. Celui-ci nous paraît plus satisfaisant.
Vous êtes
invités à tester le nouveau prototype (ci-dessus.) Il s’agit de TOUCHER du
doigt les petits carrés de couleur rouge, et de GLISSER le doigt sur les
flèches, suivant l’orientation de celles-là. Aucun besoin d’un iPad. L’ennui
avec le iPad, c’est qu’en touchant et glissant, on en arrive rapidement à du
CONTENU, quel qu’il soit. Or, Le JDV+ propose justement PAS DE CONTENU. On vit
une époque formidable.
ESSAYEZ LE JDV+
et JOUISSEZ CALMEMENT en chassant le
dragon.
Comments
car j'en ai assez de faire le clown pour des gens indignes d'intérêt.
adieu
c'est l'histoire d'une homme plutôt timide et maladroit s'appelant Guy, la quarantaine, toujours célibataire, mais pas encore tout à fait alcoolique, et qui voudrait séduire sa collègue de bureau, Valérienne, une écologiste végétarienne d'à peu près son age plutôt belle et "bien conservée" elle même récemment divorcée (de son mari de gauche parti avec une petite étudiante en lettres modernes de même pas 25 ans) et dont il se sent encore plus amoureux que d'habitude depuis qu'elle a une âme chagrine. alors un jour, il décide de briser la glace en usant d'un savant stratagème. et d'un air se voulant le plus naturel et décomplexé possible, il s'adresse à Valérienne, ce matin en pleine dépression quasiment hystérique, kleenex à l'appuie et reniflements nombreux :
"hoho!" lui dit-il. "toi, tu es en train de nous pondre un "mauvais canard", je me trompe ? mais trouveras-tu la réponse à ma petite devinette, hein ? alors dis-moi, sais-tu ce qu'est un suppositoire atomique ?"
sa collègue, complètement ailleurs, réponds un vague "non" en sanglotant.
"hé bien, c'est un suppositoire dans lequel on a cachée une petite bombe bombe atomique. et CLICK! (en appuyant sur le petit bouton rouge de son stylo bille à ressort) mouhahahahahahahahahahaaaaaaaa!!!!!"
(en faisant semblant de rire, et imitant cette sorte de franche camaraderie qu'on aurait pu observer dans les manières sociales décontractées d'un lecteur régulier de Charlie Hebdo)
mais malheureusement, Valérienne lui répond alors d'un air dégouté (ou "stupéfait"): "ce n'est pas drôle, en plus d'être d'un mauvais goût très dégueulasse. je savais déjà que tu étais bête et con en plus d'être moche et de sentir mauvais, mais je n'aurais pas pensé que ce fut à ce point le cas. as-tu déjà regardé un reportage télévisé sur les effets des retombées radioactives sur les gens et les animaux après l'explosion du réacteur de tchernobyl ? non, je ne pense pas. mais par contre, je me souviens très bien de la fois ou Michelet t'avait surpris en train de te masturber en regardant une vidéo de ces deux petites naines en train de faire l'amour avec un berger allemand, entre midi et deux, sur l'ordinateur de Georgette. n'est-ce pas ?"
sur quoi, Guy, devenu tout à coup TOUT ROUGE, fit semblant de rire en tremblant de tous ses membres, et se forçant complètement.
alors, c'est drôle, non ?
adieu!
car il faut tout de même tenir compte du fait que Valérienne fasse du cheval avec ses enfants, le week-end, et que Guy ne supporte pas vraiment les animaux (sauf certaines races de chiens), et encore moins les enfants, qui sont pour lui des êtres vicieux et méchants, et souvent même plus sadiques que leurs aînés adultes, déjà tellement pervers de nature. et que c'étaient bel en bien des enfants qui l'avaient enfermé tout nu dans les vestiaires des filles vers 1984, après lui avoir fait pipi dessus et mis le feu à ses vêtements avec un briquet leur servant à allumer leurs premières cigarettes, dans les W.C., au collège.
et alors, il eut une idée.
FIN.
la perte de vue.
P.S. JP je te souhaite d'écrire ton livre et d'en vendre des kilos.
bon rétablissement à toi, et merci de tes encouragements.
adieu
FIN.
j'allais le dire.
fin.
fin
(jean-louis aubert)
chépas.
il lui manque un truc.
FIN
PLUS RIEN DUTOUT!
FERMé!
CLOSED! ARCHTUNG!
DEMASIADO!
mais john cage reste quand même une référence en ce qui concerne l'utilisation de l'espace sonore, et maitrise plus que tout autre la notion de vide et de silence. de paix pure, en fait. quand il ne se perd pas en expérimentations bruitistes relativement désagréables, bien qu'en liaison directe avec le concept philosophique emprunté au bouddhisme, voulant que "quand quelque chose vous irrite, efforcez vous de l'aimer".
tu sais, si l'on tient compte du principe d'action-réaction plus ou moins rétroactif semblant s'être établi entre la réalité palpable du dehors (passée ou présente) et ton petit délire iternaute perso, sur ce blogue, il se pourrait très bien que tu fusses (au moins en partie) responsable de l'inspiration claustrophobique et plus ou moins hermétique semblant avoir habité tes deux petits protégés lors de la mise en oeuvre de leur processus créatif, tu ne crois pas ?
fin
"mais pourquoi ils font ça????"
j'ai essayé de vous imiter, pour m'adapter, mais sans succès.
le peu de lucidité qu'on trouve dans une conversation, c'est souvent inclu dans le silence qui la troue, ou le non-dit qui la borde.
j'en resterai là.
adieu
m'est arrivé un truc bizarre cet après midi. en écoutant le "pictures of lily" des Who.
chépas pourquoi, mais j'avais en moi l'image de pete towshend qui chantait la chanson à la place de daltrey.
adieu
je pense qu'on peut "interpréter" ton "délire". sans vouloir m'avancer...
Par les fenêtres, les gens s'absorbent dans la contemplation des spectateurs. Un rien les habille.
Un chat mal peigné, à la frisure ébouriffée, au pelage en désordre, boîte d'un air malingre sur le trottoir cabossé. Il est maigre comme un clou rouillé. Malade comme un sport d'hiver. Hirsute comme un camembert du mois d’août. Exsangue comme un cancre. Enfoui comme un museau. Aussi pestilentiel que la carcasse d'un cadavre de chameau mort y'a deux jours dans le désert de Gobi ; mais les femmes l'aiment bien, ces putes. Et les mouches lui tournent autour.
« Écrire est tout un roman à lui tout seul. Dans le seul geste. »
Les déflagrations parcourent les rideaux de la nuit ou tout semblait vouloir partir mourir dans le ciel noir incrusté en mon ventre et ma langue.
Ils ont dressé un tribunal à même mon cerveau, et maintenant, me traitent de perché bon pour la potence des autres, comme un Barabbas inversé. C'est l'immonde à l'envers.
Le décors croule sous ses propres pois verts, rouges ou gris. Ou marron, comme la bitte de Flash. C'est la fin du Trash, et le début de l’embaumement de quelque chose de sacré.
La plupart dressèrent les cartes de ma dissection mentale dans les années 90. Mais certains les avaient déjà devancés de quelques siècles en s'appropriant leur volonté avant même leur naissance. De nos jours, la grande trieuse cherche à gérer la chienlit dans laquelle les ambitions démesurées des médiums nous avaient tous enfournés. Mais nous ne sommes pas des chiens.
« Les hommes sont des chiens pour les loups. »
Les codes à intervalles irréguliers accumulent leurs sentences rébarbatives au cœur même de la machine analytique. Frigo. Freezer. « freeze head ».
Ou es-tu, gras du bide de Kim ? Ou sont ta sueur aigre malsaine et tes cheveux gras de grosse junkie dépressive accroc aux médications anti-drogue ? Ou est la peur de la tendresse frustrée qui se cachait dans ton sourire de fofolle solitaire soumise aux lois de starmania ? Qui a tué Frank Black ?
+ me souvienns du temps ou je publiais des merdes chez flash en buvant comme un trou au fond du couloir, et que maman dormait encore chez mamie... le matin, elle m'engueulait un peu à cause des traces de clopes et des restes de cendre par-terre, devant la porte du placard.
on aurait dit les années 90.
pi j'avais eu l'intuition d'un danger quasiment prophétique, aussi, ce soir là, et j'étais rentré en transe... aec des visions, et tout... mais je me souviens plus très bien...
en imitant la jalousie que j'étais sensé ressentir, à plusieurs reprises, ouais.
bref...
comment va michelle ?
dans ton cul.
bise!
parfoua
moua, chuis l'enfant d'un dieu esseulé!
car la consommation reste le fruit du PRODUIRE, qui reste notre TOTEM, non ?
je pense que j'ai capté un truc, là.
ADIEU!!!
https://www.youtube.com/watch?v=1EJ1kZ0yBzg
bise
https://www.youtube.com/watch?v=kk9lqyBrds0
https://www.youtube.com/watch?v=x_223jKXKgQ
https://www.youtube.com/watch?v=QVc29bYIvCM
marchi, ça fait chaud au corozon, mes AMIS.
adieu :
http://closeup.bandcamp.com/track/le-dernier-des-cur-s
et mÖvaise chance à vous!
mais tous restent immaculés
comme des anges
adieu
je tombe!
fin
le prochain qui m'appelle "monsieur",
je lui enfonce un pieu d'ulysse d'homère dans le cul, que je remuerai jusqu'à en faire saigner de la merde à ses tripes, et ça fera "flocfloc" en sentant mövais comme une cage d'hamster pas lavée, mais en encore plus pire que ça. et "après le débat", comme dit casanova, on laissera tous les intestins en plan, par-terre, sur le sol poussiéreux du garage, et les rats de laboratoire méchants aux poils noirs luisants et aux yeux rouges de tueurs que l'on aurait récemment libérés de leur calvaire clinique viendront les manger en couinant (les intestins)
merchy-à-dieu
il va faloir te faire une nouvelle piqure retard, tu ne dors pas assez la nuit
vas chier!
fin
et ça, c'est la vérité
bande de stupides chiens crasseux adeptes de la demi-mesure entretenant le marché de l'agonie et de la mort vivante vénale. la justice, ce serait de tous vous envoyer en sibérie vous faire déchiquetter l'estomac par des loups cancéreux en manque de morphine, et à qui on aurait dit que vous étiez des chimpanzés bruns munis de faux anus de babouins en plastique
"c'est la plus pourrie de tout son putain de répertoire." et ça aussi, c'est la vérité, bande de chiens avec des dents de renards usées qui mangent des chicots avec les toubibs qui sentent le penthotal et la foufoune humide de jeune vierge "sous influence" à plein nez
FIN
adieu!
alors vas te moucher le zizi
FIN
bientôt
car je suis l'élu
sur ce
inch allah!
une sorte de snob, quoi.
je comprends mieux maintenant.
alors je peux m'en aller tranquille.
au revoir
FIN.
et c'est intéressant. biensûr.
en fait, ce que tu reproches à tous ces pourris, c'est d'être un peu comme toi. une sorte d'enculé qui se prendrait pour un petit bon dieu.
car il é mor
(désolé de vous l'apprendre comme ça, mais c'est ainsi. circulez
je le savais!
mais ils sont légions
FIN.
on rentre, maintenant, va.
il est tard.
je t'aime tellement que je pourrais te manger, je crois.
mais reine barbare, biensûr.
j'ai du travail.
adieu
je vous souhaite à vous aussi d'avoir la foi, et de trouver votre voie.
le vrai jp est mort.
Évolue.
Au fond, quel en était l'enjeu ?
Peut-être de savoir qui fut, ou aura, ou aurait été
le meilleur des sorciers.
Et il y avait des secrets.
Et le plus grand des secrets,
chacun le connaissait bien.
Mais peu avaient la force de le garder pour eux.
Et donc,
nous attendions des résultats
qui ne viendraient jamais.
Les racontars gagneront-t-ils toujours ?
Parler du fond est le trahir.
Et nous vivons à la surface
de ses émulations.
Et l'on peut dire les choses
sans même en parler.
Alors à quoi bon s'en cacher ?
ou l'on ne ressent rien
ou si peu
sinon la détresse d'être
des temps ou l'on cherche
ou l'on ne cherche plus
ou nous voulons mourir
des temps ou notre propre sécheresse
reste notre seul aliment
et notre mal
et cette sensation universelle d'inadaptation
que nous fuyons par les drogues
ou les projets
et le travail
nous sentons bien qu'ils nous fabriquent
qu'ils nous refusent sous notre forme
initiale
détériorant le fond
dans lequel leurs mensonges
nous avaient aspirés
une éducation
dont les bases truquées
nous servaient de repères
nous craquons
l'humain mutant
en rendant TOUT essentiel
ou important
j'espère encore une rencontre
quelqu'un écrit à ma place
d'une année sur l'autre
ils ne savent toujours pas
ceux qui « savent ».
les rigides gagnent du terrain
mèche courte
(souviens-toi noir désir du début)
et cette inspiration renfermait justement, cette perte. et avant tout la mienne. reliée à celle des autres.
pauvre flipper :
http://www.youtube.com/watch?v=c3uJCbwmR0I
(Albert Jacquard)
trouvé chez :
http://lascauxhall.blogspot.fr/
YYYYYHAAAAA!!!!!!