Chronique éditoriale de l'opinion # 1,99
CHRONIQUE ÉDITORIALE DE L'OPINION
COMMISSION BASTRACHACHE
LA CREVETTE DE KAFKA
Par Ninon MacRoberge
"Je vais commencer comme il s'ensuit dans le brûle pourpoint : Mesdames et monsieur, le Québec est-il devenu Kafka? Je pose simplement la question sans me le demander car je ne suis pas une intellectuelle en ce moment. J'ai lu le Kafka il y a une période, dans un cadre obligatoire et secondaire. L'histoire raconte celle d'un homme qui se tranforme en crevette géante à son insu propre. Cela m'a semé l'horreur absolue de l'abime existentialiste pour jamais. Comme d'aucuns-chacun, je constate que rien n'arrive au Québec jamais. Jean Charest est comparable à la crevette du Kafka. La commission Bartascrac est là pour en prouver la consistance. En effet, que dire de Bacharach, sinon rien? Je crois que le Kafka avait raison de l'être. Jean Charest est une crevette géante qui se cache par devers son lit pour en faire autant. Merci et vivez avec attention."
-Ninon MacRoberge, en tant.
Comments
et comme je ne savais pas quel com coller sur ton billet, bin je fais ma petite affaire.
(j'ai mis ma question entre parenthèse histoire que tu y répondes en katimini, en apparté, quoi. ;0)
(message perso)
je t'aime
je veux me marier avec toi
devant dieu
on prendra maurice g dantec comme témoin
et marie-george buffet comme témointe
pour que la grande réconciliation s'opère enfin
par nous
au delà de nous
pour tout le monde
au delà des siècles enfin sanctifiée de cette nouvelle ére humanoïde qui s'annonce
et dont nous serons la souche
anne archet
je t'attends
(par contre, faudrait qu'on trouve une crèche bon marché pour ta fille, parce que bon...)
voilà
donc, tu sais tout
je t'aime
je suis pas du mossad ni de l'olp
mais je me suis rendu compte d'une chose :
quand j'étais gamin
je ne puais jamais de sous les bras,
même après une course à vélo ou un match de foot (je voulais toujours être numéro 5 comme marius trésor, ou alors numéro 2, comme manuel amoros, marquer des buts ne m'intéressait pas tellement, j'étais plutôt branché par la défense... bref.)
ensuite, à l'adolescence, sous les bras, ça commençait à sentir la tomate en été, même sans effort, rien qu'à cause de la chaleur. quelques poils commençaient à me pousser vers 17 ans et demi...
et plus tard à l'age adulte, ça a commencé à sentir fort le renard. une "odeur de male", comme dirait le littré.
et il parait que quand on meurt, on sent fort de partout, et vraiment dégueulassement si on te met pas dans un four ou sur un bucher, et qu'on te laisses te décomposer au soleil.
alors je pose cette question :
crois-tu que plus on est vieux, plus on sent mauvais ?
héhé!
caresse-toi, pense à l'athmosphère qui t'entoure et qui n'est pas VICIéE.
si tu plouvais espliker ça a anne, que je veux blaisser pouriénomonde...
tu lui dis, par ézemple... chépas, invante, t'es ingénieur, non ???
merde!! démerde toi avec mon problème, hihihi, te fais confiance, té un POTE.
j'y vais, bye!
j'espère que t'as fait des progrès en anglais depuis l'an dernier...
moi, j'apprends l'espagnol
ça revient vite
j'avais pas pratiqué depuis au moins 15 ans, et ça revient comme si ça datait d'hier
huitre