LE TÉMOIGNAGE VIBRANT
Par Ludwig Hébert, oncle de sa nièce
Ludwig se décrit lui-même comme un feu roulant de boutes en train qui sait prédisposer de gros bon sens lorsque la situation l’adéquate.
"Polans qui?" Disais-je, de blague lors d’un consortium lorsqu’il fît question du scandale sodomite de viol impliquant le cinématographe polonais Armand Polanski. « Polans qui » est un gag de saveur que j’ai lancé à la va comme je te suis. J’ai beau être un sérieux, il m’arrive de reproduire des « plaisanteries » de calambours qui feraient donner l’envie de lever une salle de festival. Mais revenons aux choses. Au début, je croyais que Polanski était un roman. Mais lorsque j’ai eu l’occasion de savoir lire un tabloïd publié sur une page de journal, j’ai réalisé le contraire en tressaillant. Loin de moi l’idée de vivisection, mais dans le cas de ce monsieur Polanski, je me le remets en questions. Vous rendez-vous du compte que monsieur Polanski a introduit son « sexe » à l’intérieur d’une sodomie juvénile? J’entends les cris de l’anus meurtri. Mon cœur se réagit. D’aucuns chacun n’a le droit de rire. À 13 ans, ce n’est pas drôle d’être introduite par la voix anale. Je n’ai rien contre le Polonais en tant que tel, mais il faut réaliser que la situation « d’enculer » une pubère dans l’orifice et dans les années 70 n’est pas une raison pour aller en Suisse. Monsieur Polanski aurait dû rester dans sa maison et pleurer du chagrin à chaudes lampées. Rappelez-vous qu’il a inséré son « sexe » dans le « cul » d’une personne infantile, allant et venant dans l’anus galvanisé, tressaillant du sperme dans le rectum souple d’une fillette amusante, et ça ne me fait pas penser à ma nièce qui ne possède que 8 ans. Monsieur Polanski devrait subir une torture quelconque et tressaillir pour ce crime, comme par exemple aller en Pologne ou subir l’humiliation d’être persona non gratin à travers la planète. Quand on pense que l’anus litigieux était sec et accueillant de jeunesse, on ne pense pas à ma nièce.
PS : Comme tente de prouver cette photo, grâce au carré noir sur mes yeux de la face, je n’ai absolument rien à voir avec le supposé « anus » de ma nièce. Il s’agit d’un malencontre préjudiciable.
Ludwig se décrit lui-même comme un feu roulant de boutes en train qui sait prédisposer de gros bon sens lorsque la situation l’adéquate.
"Polans qui?" Disais-je, de blague lors d’un consortium lorsqu’il fît question du scandale sodomite de viol impliquant le cinématographe polonais Armand Polanski. « Polans qui » est un gag de saveur que j’ai lancé à la va comme je te suis. J’ai beau être un sérieux, il m’arrive de reproduire des « plaisanteries » de calambours qui feraient donner l’envie de lever une salle de festival. Mais revenons aux choses. Au début, je croyais que Polanski était un roman. Mais lorsque j’ai eu l’occasion de savoir lire un tabloïd publié sur une page de journal, j’ai réalisé le contraire en tressaillant. Loin de moi l’idée de vivisection, mais dans le cas de ce monsieur Polanski, je me le remets en questions. Vous rendez-vous du compte que monsieur Polanski a introduit son « sexe » à l’intérieur d’une sodomie juvénile? J’entends les cris de l’anus meurtri. Mon cœur se réagit. D’aucuns chacun n’a le droit de rire. À 13 ans, ce n’est pas drôle d’être introduite par la voix anale. Je n’ai rien contre le Polonais en tant que tel, mais il faut réaliser que la situation « d’enculer » une pubère dans l’orifice et dans les années 70 n’est pas une raison pour aller en Suisse. Monsieur Polanski aurait dû rester dans sa maison et pleurer du chagrin à chaudes lampées. Rappelez-vous qu’il a inséré son « sexe » dans le « cul » d’une personne infantile, allant et venant dans l’anus galvanisé, tressaillant du sperme dans le rectum souple d’une fillette amusante, et ça ne me fait pas penser à ma nièce qui ne possède que 8 ans. Monsieur Polanski devrait subir une torture quelconque et tressaillir pour ce crime, comme par exemple aller en Pologne ou subir l’humiliation d’être persona non gratin à travers la planète. Quand on pense que l’anus litigieux était sec et accueillant de jeunesse, on ne pense pas à ma nièce.
PS : Comme tente de prouver cette photo, grâce au carré noir sur mes yeux de la face, je n’ai absolument rien à voir avec le supposé « anus » de ma nièce. Il s’agit d’un malencontre préjudiciable.
-Ludwig Hébert
Comments
En Europe, c'est comme éternuer: pas grave ! Mais aux States, hou la la !
Je plains la petite mais j'aurais accepté le 500,000$ qu'on lui a offert, parait-il....
haaaa que c'est drole, j'en PLEURE pour vrai!