PUBLICITÉ NORMATIVE
Le Jour des vidanges, ce service public,
est à la traîne depuis quelques temps. Aussi avons-nous embauché de nouveaux
concepteurs, jeunes et fougueux, pour reconfigurer le contenu : Nouveau
design, nouvelles plumes ; le JDV met le pied dans l’avenir, avec une équipe
solide composée d’esprits tumultueux, de génies de l’infographie et autres
trous de culs diplômés. Certes, les changements apportés au JDV sont à peine
perceptibles, voire inexistants. Mais ce n’est pas grave, la lune luit et les
dieux veillent.
Voici donc, pour inaugurer le JDV nouveau
UNE ANNONCE DE CANCER
L’organisme IL S’EN FAUT est dévoué à la
maladie. Des gens meurent en abondance. L’un après l’autre, comme ça. Nous
devons le dire. C’est un devoir sociétal humain. IL FAUT DIRE QUE DES GENS
MEURENT. D’autres gens vivent, mais ils mourront tous, l’un après l’autre,
comme ça.
HEP! L’AMI! DIS-MOI LE CANCER!
Comments
(Jeux de massacre)
et chuis plutôt contre les pogroms et les lynchages, en général. mais vu que la société est basée souvent sur ces deux concepts moyénageux (un peu à la gothique), ben j'aime pas la société. et c'est aussi la raison pour laquelle je me sens un peu comme harry dean stanton dans paris-texas, parfois, malgré que des gens gentils m'aident parfois, partout, dans tous les coins, et même dans le ciel, je crois... mis à part que certains sont dj, et que c'est pas top comme métier, la preuve :
http://www.costes.org/costes-djdemerde.mp3
ménon. n'écoutez pas ce mp3, car il est nul, et achetez plutôt le disque, pour permettre à jean-louis de rembourser tous ces hectares de forêt vierge qui avaient brulé le jour ou il avait envisagé de s'installer en guyane, et avait malencontreusement allumé un petit feu de bois en pleine jungle, à la saison sèche, sur sa propriété (mais sans mettre de cailloux autour du foyer afin que ce dernier ne se répande! c'est balo, mais c'est ainsi... pas malin, non.)
allez, adieu K-you. et aec un peu de patience, nous pourrons peut-être encore fêter noël, d'ici quelques dizaines de semaines, et allumer des bougies, pour l'occasion. ou alors, des cierges. mais evitez d'acheter des cadeaux aux enfants, afin de ne pas les habituer à être trop heureux durant cette période de l'année si scintillante, car alors, ils pourraient être déçus, plus tard, en cas de manque de sous dans la famille.
et apprenez donc à vous éclater austèrement. sans fioritures ni chichis. évitez l'addiction aux drogues trop puissantes et trop chères, ainsi que la 8/6 à 2 euros. et méfiez-vous des djs, la preuve :
http://www.youtube.com/watch?v=JlYXp_3A64k
(pi quand vous faites de la musique, évitez de jouer trop fort, et trop tard, car les gens attrapent des insomnies à cause de leurs acouphènes, ou migraines, ou charlatanes maladies des nerfs diversifiées par les options proposées par ces peuplades éclectiquement électriques folles qui inondent de leur radiations cyclothymiques le moindre de nos engrenages naturels "anti-noyade de soi" intérieurs de leurs ondes fécondament robotisantes, et ne peuvent donc pas aller au travail pour produire des choses, le lendemain, ou ont du mal à se concentrer sur les rouages des poulis, ou les installations de boutons, les claviers, voir même les bêches ou les motoculteurs, ou les pinceaux, les crayons, ou même les chômeurs, qui se font niker leurs allocs faute de s'être rendus à temps au rendez-vous des assedics, merci.)
en gros, restez fous.
fin.
mais une fois, il a quand même été à DEUX DOIGTS de céder. je le sais, j'étais à l'antenne.
le tao...
jp avait quand même perçu la profondeur du tao dans les scribouillages hors-normes de ce vieil alcoolique qui osait avouer de lui-même qu'il était un puritain, au fond, chez pivot. jp l'avait même écrit, une fois, chez bouchard...
y'a eu kérouac, qui faillit presque marcher à une époque, via la réhabilitation de l'espace dans son schisme intérieur, mébon, fallait pas rêver non plus.
"l'homme, ce rêveur définitif"
(andré breton)
quand même.
kan-maime.
allez.
je ferme le magasin.
ça tombe bien, je devais partir faire les courses.
"adieu!"
on dirait du giscard le survivant...
à suivre :
http://www.youtube.com/watch?v=McNnhM3BynU
viens boire l'apéro, mais ne soit pas déchu, plus tard.
méfie-troie.
tsé ouate ?
parfois, tu me fais l'effet d'avoir tourné un peu "marie-pierre", serait-ce pas egzact ?
point
http://www.youtube.com/watch?v=s6Q4dvMoT6k
déjà, à l'époque...
ils se sont mis à m'appeler "jp", toute la classe, en se référant à des "visions de l'avenir"
pi le prof s'y était mis///
(il était amoureux d'anne, 13 ans, à l'époque, et qui écrivait déjà des textes sado-maso... pi il parlait de démocratie, d'anarchie, de "convenu en tant que normes", et c'était après que la grosse sorcière à la verrue (soi-disant du FN, déjà), m'ait tripotée la bite durant l'oscultation génitale officielle)
alors méfiez-vous de vos organes.
"et en plus, elle se laisse faire"
en regardant des trucs dans mon antenne-moi, et que je commençais à percevoir moi-même, bien que légèrement étourdit...
pi j'eu une nouvelle crise d'épilepsie...
(sincèrement)
et donc, quoi ?
va té fancoulo dé baze, ou sinon!
désolé.
FIN
oui!
ben ça, c'est sûr!
allé, adieu!
refin
ou leurs tripes
à manger
ou faire bruler
un joint d'ayahuasca à la bouche
c'est parfois mieux que toutes ces thérapies de nazis indifférents.
surtout pour son soi-universel intérieur.
y supporte pas les plus petits.
merci
j'avais compris.
http://www.youtube.com/watch?v=ett1aniadC0
la bise à poète
http://www.youtube.com/watch?v=EDNzQ3CXspU
j'aurais dû accepter, la nuit ou à "la nuit" (la boite), tu m'avais dis "ben prends là, j'en ai rien à foutre, fais toi plaisir, penses pas comme un pédé", en parlant de la femme avec qui tu es marié aujourd'hui, mais en même temps, j'ai peut-être bien fait de refuser, aussi, non, sur le moment ?
te souviens ?
alors arrête, un pneu, stp.
je pissais en imitant le cri de la liberté factice, imbibé de toutes ces merdes de slogans mittérandiens...
pi le dj passait la version originale de cette base à réflexe :
http://www.youtube.com/watch?v=JhjA2nvVD7U
il isinuait la perdition en nous, déjà.
(christophe, fais pas la gueule, ou je te brule comme un crapaud-merde)
fais pas chier, jip, on sait très bien que si t'as refusé ce soir là, c'est juste paske t'avais peur de pas avoir la trique, et pas avoir la force en toi d'honorer la nana ainsi offerte...
alors dégage, pédé
mais par contre, toi...
je t'avais calculé y'a longtemps.
enfin, brève
j'avais juste dit "t'as de succulents sourcils, pierrot"
te rappelle ?
http://www.youtube.com/watch?v=f4Z0dU7Z9oU
et que je ne bande plus
comme un vrai fasciste impuissant et vindicatif selon les normes des lesbiennes intégristes (entre autres)
je me dois de trouver un trajet PRODUCTIF à la semence qui attend en moi de geindre feulement dans la nuit boursoufflée de spasmes.
(jim dégueu moribond, in "altères pesantes de la foi comme un renoncement à la lave qui nettoie tout, dans le vrai")
te fais de grosses bises, reviens me voir quand t'auras tout gerbé, j'ai un boulot pour toi.
stay tuned
je peux très bien m'autosuffire
et ne plus avoir aucun contact aec vos MARCHIéS, merCHI :
http://www.youtube.com/watch?v=a0e7nQrmf40
car je peux m'en sortir + nihilisme
http://www.youtube.com/watch?v=SurlHpuddG8
adieu :
http://www.babelio.com/users/AVT_Howard-Phillips-Lovecraft_6296.jpeg
poème =
tu ne me manques pas dutout
mais quand je t'inventes en moi
on dirait comme toute la reflet du monde qui recommencerait à monter sans frein :
http://www.youtube.com/watch?v=lS0Q1h6k408
et donc, je suis un être comme un arbre, une matrice, ou cette saloperie d'exemple qui nous hante :
http://www.youtube.com/watch?v=mqvQOACorAY
le néant de moi
et pourtant
je t'aimais comme ma propre meurtrissure sans intérêt
je continuais pourtant à adhérer à leur jeux
mais quand nous étions bourrés
nous nous libérions enfin de leurs figures
...
les flics arrivèrent,
nous filèrent des sous pour bouffer
comme à des putes soumises...
mébon
on les enculait de l'intérieur d'eux
ou alors
c'était juste notre bave passée rejetée sur le trottoir
qui recommençait à faire des bulles dans les non-endroits ?
comme une chiante de mère qui s'applique à te faire trépasser selon les lois engendrées par les soumis
je me faisais chier dans cette matrice de merde qui puait je sais plus quoi
rien n'existait vraiment
j'allais voir anne qui me dit : "fais gaffe à ton amour pour moi, l'anarchie a aussi parfois sa polisse...
mais son mec était un taré-bien...
j'allais m'étaler dans les trottoirs vidés de foule, quelque temps...
anne ne me manquait pas dutout, et ne m'avait jamais manqué, d'ailleurs...
je chercha...
"tu veux que j'te racontes ma soirée d'hier soir???"
mais je répondis "non, tu fais chier"
les légumes me faisaient chier, mais ma mère avait des problèmes de dos, et ma grand-mère était folle...
je pris le taxi dans les mains et dis :
http://www.youtube.com/watch?v=Y2iu05rg5Bo&list=RDY2iu05rg5Bo
+ merde, on va encore me prendre pour un facho
(pour faire chier ces nègres de povres cons en masse dont ils sont irriogués par les rênes des pouvoirs + voiture gratis
aec ce décès dans la famille
qui quelque part me soulage
pi me trouver une meuf
irlandaise :
http://www.youtube.com/watch?v=kz_dHcduUTU
+ destruction mentale et physique quasi-totale, à des fins "thérapiques" quasi débilitantes
alors merci,
(surtout pour tes leçons d'humanité et tes mensonges disant du bien de moi pour de faux, aec une petite gène quand j'évoque mon souhait de pénétrer "normalement" une femme sans avoir à faire face à une caméra invisible monstrueusement voyeuse et vicieuse)
"mais je dois m'en aller" (on dirait du niagara)
alors souhaitons lui chaleureusement de rester à la pointe de la recherche en philosophie du lien social, et de persister dans ses mesures d'humanisation progressive des sentiments d'autrui, dans cette société qui reste un tantinet trop abusivement sécuritaire et froide, car de droite, et oeuvrant pour le profit des minorités au pouvoir, qui inspirent tant de haine et de rancoeur au peuple qui subit l'échec des utopies socialistes depuis la chute du mur, mais surtout, 1968, année théatre de tant de scènes de cannibalisme, surtout à la sorbonne, et à nanterre, mais aussi, dans la jungle gauchiste, aec des papayes et des rames de métros bondées de niouyorkais hirsutements avenants et crispés sur leurs journaux, et le pape, l'himalaya, les défaites des jeux de mexico, le cambouis, les sandales sales dans le vin de messe pourri, les fautes d'erreurs, les inutilités des gestes des gens sans travail, le désespoir de ne pas manger, les frites, la graisse qui pend aux fenêtres, aec le linge propre, dans les petites ruelles siciliennes, etc...
voilà la clé de son succès.
merci de cette éclaircie du sens, jp.
FIN.
FIN
je n'ai plus dutout honte.
et j'ai même retrouvé un coeur.
je le sais, car j'ai appris à dire non aux gens qui voudraient m'aimer contre ma volonté.
pi je déteste les petits connars. surtout les plus jeunes.
c'est donc un bon jour pour mourir.
FIN.
le cancer du neurone