POLITIQUE MUNICIPALE
Guy J. Poulet
Maire aspirant
Les atouts de
Montréal se comptent sur tous les doigts d’une main! La qualité de vie des
montréalais fait l’envie partout dans le monde, de Kaboul à Bagdad, en passant
par la Syrie et le Kazakhstan. Mais, trêve de vantardise. La métropole
québécoise a ses vices et ses tares : problèmes d’infrastructures, ponts
vétustes, pauvreté, prostitution, gangs de rue, rites sumériens, Nids de poule.
Je m’engage, en mon nom personnel (celui de Guy J.Poulet) à établir des projets
novateurs : l’instauration d’une digue, le phosphate dans l’eau courante,
et la construction d’un gigantesque canon-laser pour tuer les ovnis atomiques
du soi-disant cosmos. Aussi, l’érection d’une maison de la culture dans un
hostie de quartier pauvre pour présenter des expositions d’art trans-moderne
d’Inuits pauvres. Comme quoi Montréal a le droit! En plus, Montréal sera dotée
de kiosques de ¨nourritures rapides¨ servies à bras le corps par des
agriculteurs analphabètes qui font des saucisses en régions. Pourquoi espérer
plus? Le port de l’Islam sera accepté mais pas nécessairement. En bonus
exclusif, afin de respecter, voici une image qui démontre une tragédie.
Merci et au
bientôt!
Comments
la bitt à Tibi
http://www.youtube.com/watch?v=31lNmkour7s
lyrics :
Il pleut des nénuphars en face
Des miroirs où glissait ton corps
Mais tout s'efface en laissant la place
A ce larsen qui te distord
Tu glisses ta carte perforée
Sans ce flipper où tu t'enfuis
Et tu fais semblant de rocker
Pour faire croire que tu es en vie !
Narcisse ! balise ta piste
Y a des traces de pneu sur ton flipp
Et ta petite sur qui s'tape ton fixe
Tu t'en retournes à tes banlieues
Dans ce couloir où tu te grimes
Te maquillant le bout des yeux
D'un nouveau regard anonyme
Le futur te sniffe à rebours
Te plantant sur un look rétro
Te reste-t-il assez d'amour
Pour prendre ton dernier mélo ?
Narcisse ! balise ta piste
Y a des traces de pneu sur ton flipp
Et ta p'tite sur qui s'tape ton fixe
Les chiens t'attendent au bout du quai
Find more similar lyrics on http://mp3lyrics.com/1dtv
Avec des plumes et du goudron
Ils vendent des orgasmes en sachets
Mais ils font la gerbe en location
Tu pensais franchir le miroir
Sans avoir à changer de gueule
Tu craches le sang dans ta baignoire
Et tu t'essuies dans un linceul...
La nuit te glace au fond d'un train
Où tu croyais trouver l'oubli
Voyageur des petits matins
Tu rentres de tes insomnies
Tu rayes les mentions inutiles
Au bas de ton carnet d'absence
Et tu t'accroches au bout du fil
Qui te ramène à ton silence
Narcisse ! balise ta piste
Y a des traces de pneu sur ton flipp
Et ta p'tite sur qui s'tape ton fixe
Narcisse ! balise ta piste
Y a des traces de pneu sur ton flipp
Et ta p'tite sur qui s'tape ton fixe
Y a des traces de pneu sur ton flipp
Et ta p'tite sur qui s'tape ton fixe
maurice sach in "le sabbat"
t'as des niouvielles de mouna ?
(le prokureur, "mémouares")
et ironie se disloquant :
http://www.youtube.com/watch?v=baEiu2NCDek
et je m'en foutiste
les murs sont comme l'accueil que tu rejète
je me souviens que quand j'avais encore quelque chose à dire
ou que je faisais encore semblant de le croire
une petite nana se foutait de ma gueule
et m'aimait pour l'instant
ou me rejetais dans le feu de la merde
chépas
j'étais pas dans sa tête
les chats ressortiront leurs griffes
car ils peuvent très bien tuer de sang froid
toujours
malgré que ce soit encamisolé dans la chimie et la chaleur
de ce début de mois de juillet
toujours :
http://www.youtube.com/watch?v=_g16GPqkews
chuis dieu.
z'avez besoin d'un truc, oupa ?
j'arrête les bêtises.
t'envoie une bise, et te souhaite de trouver ta voie.
j'en ai assez de faire le clown.
bonne continuation dans la vraie vie.
la mort n'existe pas, je crois.
tout continue tout le temps, à travers nous, et au-delà.
on peut croire que tout est éparpillé et divisé, qu'il n'y a que le chaos et le hasard qui règnent si l'on se fie à un apperçu superficiel.
mais c'est plus profond que ça, je crois. des forces se battent, en nous et au dehors.
on oublie trop souvent qu'on est que des particules de poussières rassemblés par un esprit, celui de la vie, l'univers, une force, une lumière, je ne sais pas.
ce sont toutes ces choses brouillées qui me paraissent incompréhensibles et vides de sens, presque d'intérêt.
l'homme complique beaucoup de choses, trop souvent...
il me semble. tout pourrait être bien plus simple avec un peu plus de clarté, de raison.
quelle folie.
c'est l'appétit qui rend aveugle ?
la peur ?
qu'est-ce que j'en sais ?
des fois, l'intelligence, la conscience humaine deviennent des anomalies néfastes.
y'a un tel potentiel qui finit dans ce charnier avide...
aujourd'hui, j'arrête de manger de la viande, comme ça fait 2 semaines que je n'ai pas bu une goutte d'alcool.
me dis que c'est la bonne, cette fois-ci. évolution ?
il faudra encore que j'arrache des plantes pour me nourrir avant d'atteindre la fin du cycle.
dans le prochain, j'en serai peut-être une. ou alors un cailloux.
plein d'atomes, hein ? des messages, des codes déambulants dans la nature chargés de cette énergie sur laquelle j'aurai travaillé sous ma forme actuelle...
on a dû sûrement se croiser, ailleurs, quand on était des lapins ou des mammouths, hein ?
héhé! ou des araignées...
y'en a même qui deviennent des bombes atomiques ou des centrales nucléaires... tain.
retour au coeur de l'étoile ? bidule d'hélium en fusion ?
allé, allé, camarade, on se retrouvera dans le feu, ou dans l'eau, dans le vide, bouts de particules interstellaires jetées dans ce voyage sans fin...
on se reconnaitra peut-être...
xx
-Merci encore à JP d'ajouter son caca sur ma crotte. On s'entend bien.
http://www.youtube.com/watch?v=Uz0yvngSW-M
parfois, c'était en semaine. cendrier. rancoeurs de l'ex weekend passé, fleurs séchées dans mon ame de mort perché. tant d'angoisses de zizis...
la voyante venait prédire selon la fiction congelée d'un désir de faire le monde, en ébullition. elle serrait fort les doigts vermoulus du guitariste jazz, qui égrenait ses accords blues en méprisant les gitans.
il y avait du café en poudre. des glaçons dans le frigo. de la poussière à peu près partout...
http://www.youtube.com/watch?v=8Gi1KB3HBsk
(un converti)
alors libére nous, stp.
sinon, je te repasse l'intégrale des fleurs maudites en boucle dans ta tête pendant 1 an et demi :
http://www.youtube.com/watch?v=BzV_QwADlHE
alors adieu!
car je t'aime toujours/////////
laisse toi pleurer dans ton slip, pluto :
http://images.wikia.com/disney/images/4/4e/Pluto-Knochen.jpg
en écoutant la musique, ici :
http://www.youtube.com/watch?v=BzV_QwADlHE
esplikation :
http://design-produit.net/wp-content/uploads/2013/01/gaston-lagaffe-gaffophone2.jpg
bises énormes
http://www.youtube.com/watch?v=3G-qAKmACDE
ADIEU!
http://www.youtube.com/watch?v=wN2MehwgwHY
http://www.youtube.com/watch?v=Mbg7oSFCJNw
Just like witches at black masses
Evil minds that plot destruction
Sorcerers of death's construction
In the fields the bodies burning
As the war machine keeps turning
Death and hatred to mankind
Poisoning their brainwashed minds
Oh lord yeah!
Politicians hide themselves away
They only started the war
Why should they go out to fight?
They leave that role to the poor
Time will tell on their power minds
Making war just for fun
Treating people just like pawns in chess
Wait 'til their judgement day comes
Yeah!
Now in darkness world stops turning
Ashes where the bodies burning
No more war pigs have the power
Hand of God has struck the hour
Day of judgement, God is calling
On their knees the war pig's crawling
Begging mercy for their sins
Satan laughing spreads his wings
Oh lord yeah!
sans rien dedans.
quand j'avais 22 ans.
je me mettais dans les petites culottes, et je bandais fort devant le miroir. pi j'éjaculais en me masturbant comme un beau diable... bordel!
après, c'est passé.
t'as toujours des enfants, neurone, ou tu les as jetés au feu après les avoir baisés ?
détrompes toi.
moi aussi il m'est arrivé de couber l'échine, parfois, et de me sentir sale après avoir donnné des amis à la police, mais c'est ainsi. je voulais préserver mon intimité à l'époque, et ma joie d'être au monde, en envoyant au renquart les gens qui m'indisposaient. alors j'ai dis que j'étais mieux, et je me suis engagé dans la mafia. et depuis, je suis trankille, car l'on mesoutient, grace aux zenfants qui crèvent, et dont je ne suis pas.
fin. adieu
l'individu m'avait pris à part, et dit qu'étant épileptique, je faisais partie du club (avec un clin d'oeil), et qu'il se proposait donc de profiter des facultées ésotériques de mon anomalie génétique afin d'essayer de soigner de manière non-conventionelle une petite fille souffrant de tumeur au cerveau en me "connectant" à elle. petite fille qui, si tout se passait bien, pourrait devenir ma "petite soeur siamoise de l'esprit"...
j'avais 17 ans, en parassais 13, étais maigre et chétif, agoraphobe, souffrant d'anémie, et ne comprenais rien à ce que l'on me disait, la plupart du temps, car j'étais obnubilé par des angoisses constantes, et obsédé par mon sexe. je commençais aussi à boire de l'alcool le plus souvent possible. aussi accceptè-je facilement, bien qu'en total désdaccord avec moi-même, ou ce qui en restait, la proposition dudit individu.
après la scéance d'hypnose, j'entendis des sons bizarres dans ma tête, et commençais à suer de grosses gouttes, pensant devenir fou. on me dit que c'était normal... pendant quelques jours, je ne me plains pas, mais bientôt, je finis avec horreur par comprendre que quelqu'un était en train de parler à l'intérieur de ma tête. le gars qui m'avait hypnotisé me dit en souriant que c'était elle, la petite fille à qui il voulait soigner la tumeur au cerveau grace à mon épilepsie, ma "petite soeur", comme il l'appelait, et qui tentait d'essayer de me parler...
plus tard, j'errai dans les rues, épouvanté, et communiquais avec l'intruse en lui disant que je ne pouvais pas rester connecté, qu'elle s'en sortirait, mais que j'avais une mission à accomplir avant, que je l'aimais mais que je reviendrait la voir plus tard, dans une vingtaine d'années, quand j'aurai finie ma mission, et que je serai sûr de ne plus jamais boire d'alcool de ma vie, et d'avoir une vie sexuelle normale, ce à quoi elle répondit "et tu crois que je vais t'attendre tout ce temps alors que je ne te connais même pas, et que tu veux me laisser toute seule alors que je suis peut-être en train de mourir ? non mais tu rêves, mon coco!" sur quoi, j'alla boire pour me souler...
des grésillements dans mon oreille perdurèrent quelques temps, peut-être une semaine, avant de disparaitre peu à peu... et ce ne fut que plusieurs années plus tard qu'ils recommencèrent, alors que j'avais complètement oubliée toute cette histoire.
merci de votre compréhension.
FIN.
je crois aussi que ma "petite soeur" n'est pas morte, mais qu'elle ne m'a jamais pardonné. et qu'elle me hait.
je suis désolé.
je ne dirai plus jamais rien à ce sujet. je ne m'étais pas souvenu de toute cette histoire avant l'an dernier. on m'avait finalement dit que je devais l'oublier.
"petite soeur", tu dois avoir un peu plus de 20 ans de plus, aujourd'hui. tu dois avoir ta vie, et pas besoin d'un loser sur le dos. j'ai eue une vie plutôt chaotique, et je pense qu'elle n'a pas été facile pour toi, si j'en crois ce que je pense, mais c'est ainsi. je n'aime pas que tu me haïsses, mais ne peux pas l'empêcher.
je vous laisse. je travaillerai en pensant à tout ça.
fin.
(il parait que certaines personnes "spécialistes" génèrent eux même des psychoses chez d'autres personnes afin d'en faire de vraies bêtes de travail, ou d'améliorer certaines facultés chez elles. c'est fou, non ? on se croirait parfois dans un roman de Tom Cruise relatant son expérience de golden boy dans les années 80 dans la vie.....
J'ADORE!!!
(pensée authentique, comme l'histoire de ma "petite soeur", qui est quelque chose qui m'est vraiment arrivé dans la vie.)
voilà. vous savez tout.
je vous souhaite d'en faire bon usage.
comme prométhé.
FIN.
oilà. adieu.
adieu!
adieu. à jamais
laissez lydia tranquille, zombies! écartez-vous! ne la corrompez pas! contentez vous d'une croisière à l'est d'éden, avec antoine et son harmonica, dans les îles, plutôt que de fabriquer de la mÖvaize rock industrielle faussement dissonante qui grince mal!
PARTEZ! LOIN!
OH, YEAH!
ADIEU.
l'émoi de la fin
car c'est par la haine et son alchimie que se programment les aliénations et révolutions futures, et aussi, parfois, l'amour, ou la volonté de sa réalisation idéale d'épinal en complet décalage avec nos besoin biologiques de base; la révolution elle-même faisant partie intégrante d'un plan de renouvellement des sociétés, tenant en quelque sorte le même rôle que la mise en friche de certaines parcelles de terrains cultivables, servant à la régénération et à l'enrichissement des sols après plusieurs années de culture.
et l'idée que le travail serait la seule alternative moralement positive à la dégradation programmée de la société de consommation, reste malheureusement bien trop souvent l'achèvement paroxystique de l'idéal esclavagiste dont elle fut le fruit. non que le travail soit en soi un ingrédient aliénant, au contraire, mais que sa valeur symbolique fut bien trop souvent récupérée à des fins d'enrôlement et d'abrutissement idéologique des masses, plutôt que dans un but d'émancipation des individus. la culture de masse restant aliénante tout en étant le fruit d'un idéal libéral au mode de fonctionnement bureaucratique et concentrationnaire issu des volontés d'émancipation des masses de leur misère quotidienne via les idéaux socialistes modernes avenus au cours du 18ème et 19ème siècle afin de combler la carence théorique due aux bouleversements des modes de fonctionnement conclus par la progressive industrialisation des sociétés occidentales. non que le socialisme ait été en soi..."
et ça s'arrête là.
c'est le même malheur qui arrive avec la musique traditionnelle, ou le vieux folk, dont on assimile trop souvent le fond aux idéologies d'extrème droite depuis que ces derniers ont repris le flambeau traditionaliste déserté par l'extrème gauche à leur compte. c'est vraiment dommage. tout un pan de notre culture reléguée aux oubliettes sous prétexte qu'on l'assimilerait au nazisme, et à ses dérivés, alors qu'en y réfléchissant deux secondes, on s'appercevrait que le nazisme "light" est progressivement devenu notre mode de vie depuis la fin de la guerre de 1945, et n'a fait que s'emplifier depuis le premier conflit armé en irak, au début des années 90...
mais...
j'en tombais aussitôt école-buissonièrement amoureux et pendant quelques jours, je gardais le foulard qu'elle m'avait légué en souvenir à ma sortie de boite de nuit, noué autour du cou avant que mon ivresse ne se déleste peu à peu de ma torpeur mélancoliquement bienheureuse...
c'est une brave fille. oui. vraiment.
(c'est le souvenir que j'en garde, en tous cas)