LE TÉMOIGNAGE VIBRANT 87978.8




ON T’AIME MON RICHARD
PAR SUZANNE ¨DIANE¨ CAROLE

Bonjour!!!
Je me présente Suzanne, mais mes amies m’appellent Diane car il paraît que je ressemble comme deux gouttes d’eau à Diane. Mais je ne prends pas la plume aujourd’hui pour parler de Diane et de ses deux gouttes d’eau, au contraire. D’ailleurs, si jamais Diane me lit en ce moment, elle peut aussi bien faire autre chose, comme organiser un tournoi ou ¨en manger un char¨, sa vie ne m’intéresse trop pas. Je ne suis pas rancunière, mais il y a des limites à être une ¨connasse¨, et Diane les a dépassées le 4 avril 2009 lors d’un périple tout-inclus à Cayo Coco (je vais taire l’anecdote, qui implique un cubain Pédro d’à peine 17 alors que Diane en a 59.) J’ai mis le mot ¨connasse¨ entre parenthèse car je suis indulgente et je suis certaine que Diane a d’autres qualités à part ses deux gouttes d’eau et son ¨beau cul¨ gros comme le bras. Mais laissons tomber Diane dans une masse d’excréments brûlants, elle peut mourir si elle veut, personne ne va avoir de la peine, même pas sa fille, une autre ¨connasse¨ en plus ¨jeune de pute¨. Je voulais vous parler de Richard Martineau que j’aime au-delà des annaux de saturne. Je le lis à chaque instant et ce qu’il dit est la vérité pure et simple. Il n’est pas comme Diane. Elle pense que les Arabes sont ¨du monde correct en général¨ et elle oublie l’islamique qui se cache en le musulman, qu’il soit modernisé ou ¨cave¨. Diane souffre de fuites urinaires en plus de son zona en plaques, cela ne l’aide nullement à l’épanouissement de son Soi. Mais comme dirait la jeunesse : ¨Who fuck the cares?!¨
-Merci d’être toi, mon Richard, et continue de ne pas changer rien!

SUZANNE ¨DIANE¨ CAROLE, CAR NOUS SOMMES WE THE POEAPLE! 




Comments

sasha grey
est ma copine.

j'ai achetés tous ses bouquins,
mais n'ai jamais été autorisé à caresser ses cheveux....

à cause de la milice.
j'ai rien contre les nègres
tant qu'ils me font pas mourir d'impuissance sexuelle...

(mais ceci reste un complot d'extrème droite antisociale)

et c'est vrai
et compliqué à la fois...
je suis comme une écriture provoquant l'écriture,
ou plutôt,
je le fus...

car j'aurais voulu être un bon poète,
c'est à dire,
aller jusqu'au bout...

haha!
j'ai juste essayé d'être au plus proche de ce que j'aurais pu devenir...
jipe le merde-diabète (raie allitée) said…
je suis persuadé que la formule "déterminisme social",

reste la bonne planque inteligentiste qu'occupent les rangs des gens...

en fait...
jipe lety said…
jenny.

tu me fais chier quand tu m'aimes pas.
pour le moment
je ne crois pas en un monde humain
assexué.

mais vu que tout ne semble qu'une sorte...

d'adaptation "forcée"...
à...

ce truc qui n'arrête pas de bouger autour de moi,
et qu'on appelle la vie,
ben...

mon cerveau doit être fasciste,
vu qu'il refuse d'évoluer dans la liberté anarchique du monde aseptisé par la police folle des flics enjuivés qui protègent leur propre intimité défunte, déjà...

car nous sommes toujours déjà demain...
+ Laure, les filles ne comprennent pas forcément mieux,
elles décident,
nuance...

si on les laisse faire...
jipe au risque de l'explosion (pour essayer de suivre les mouvements) said…
en fait,
je soupçonne laure adler d'avoir un objectif caché...

voilà.

on sent une sorte de mécanique, sans péjorativisme aorganisé,
mais qui serait son prore mouvement entropique...
jipe adler said…
moi,
j'ai renoncé à marie-charlotte,
si tu veux savoir.

pour répondre à la question que tu lui a posée.
jipe l'ex-sincère vendu et vendant said…
et à anna
aussi.
jipe said…
pi lionel était mon ami, aussi.

la bise à yoko.
jipe said…
et philippe et anita.
jipe red said…
adieu!

comme qui dirait!
red lights said…
zambie,
bombie...
jiperora said…
essaie un peu...
flic anarchiste said…
..........m
les mecs du pouvoir said…
l'anarchie dans le vin
le vent
et le reste
branches toi sur l'onde sysmique anarchiste
incarcérée depuis trop longtemps
dans le coeur de la philatélie se languissant
dans les poutres humide de l'hémophilie pardonnante

by-by apocalips...
poaime :

jenny lety
veux-tu être mon être ?
poaime de jipe :

car je peux bien crever
et que j'ai rien à foutre de la petite fille
pas plus que de la patate

car je reste le monstre que tu vas manger
poaime misérable :

tu veux que je te raconte véritablement
jusqu'au fond, parfois ?
poaime pour jon spencer :

ona des petites filles à sauver
blaireau
alors efface toi vite

bise!
poaime :

je me pose
car je suis protégé par la police
mais en même temps
je pourrais bien crever
jean-philippe said…
ils on fait un très mauvais choix

(they made a very bad choice)
hihi!

il est bête ce jipe!
il croit qu'il suffit qu'il se cache derrière une affiche de film d'épouvante islandais pour qu'on ne le reconnaisse pas!!

mouuuuuhahahahahahaaaaaaa!!!!!!!!!

(+ hé, Nathalie, tu savais que le Riz Chantonnait ?

ptdmdr!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
pff!

tu sais, Sasha, elles sont nulles tes blagues racistes...
jipe said…
arrêtez de vous battre, les "filles",
c'est moi, vous, d'abord!
Nathalie Violet said…
je ne suis pas toi,
jipe.

moi, j'ai des couilles!
car je sais rester tendre!

(Sasha, oui, je la connaissais, on me l'avais déjà racontée à la cantine universitaire, hihi!
jipe cardone said…
si, si, tu es moi, mébon...

moi aussi,
j'ai des couilles grosses comme des oreilles de lapin.
et douces comme des fesses de bébé...

d'ailleurs, à propos de bébé,
et si on s'épousait ?
jipe is right!
el commandante is always right, bb!

os preguntamos nos corazones!

si!

siempre!
jipe said…
Nathalie est folle...
and you know that's she's half crazy
but that's why you want to be there
and she feeds you tea and oranges
that came all the way from china...
oui, voilà,
j'allais le dire...
j'aime pas les gens prétentieux qui prétendent tout connaitre.
c'est des drogués pornographiques issus de croisements pluri-éthniques batards qui ne connaissent rien aux mathématiques...
Prof de Math said…
c'est toi le bâtard,
jipe.
huhu!

appelez moi pépée!
t'as ratée ta virgule aérienne,
chéri!
c'est le magnéto qu'a déconné.
j'ai dû repasser ça à l'envers, après avoir rescotchée la bande,
au chatterton...

c'est pour chat...
c'est mieux,
comme ça c'est pas pareil...
ou est passé jenny ?
Onano Saoulé said…
moi,
m'a marié vec mon pinou,
ç'tapreum...

preunch!
rien n'est donné,
et rien n'est jamais acquis...

kiss your bunny!
Crot-crot-Cadin said…
drink more milk,
it's cheaper than alcohol,
and makes you feel as a baby...
ÿES-ZZ said…
emptiness
is a warm guiness.

it makes you grow in a kind ov frozen happiness.
and it's better than being homeless...
La Minerve said…
quand je te lis
j'ai l'impression d'être la vierge marie
et ça me donne envie de faire pipi
sur le bord du lac joli
jipe said…
on se croirait dans du zelazny
Albatorah said…
hé, l'avocat!
t'aurais pas tendance à confondre la mère denis et goldorak,
toi,
hm ?
Tarot said…
si tu veux,
pour éclaircir tous ces mystères,
je te tire les cartes...
pas besoin de ton tarot...

moi,
pour voir l'avenir,
je lis dans les cordes de la guitare de jipe...

tu le laisses jouer quelques minutes,
puis la reposer au pied du lit,
puis t'attends qu'elle refroidisse un peu,
mais pas tout à fait...

et quand c'est le bon moment,
tu plonges tes cheveux dans les cordes,
et là, t'as des visions de demain, ou après demain...

tu peux voir jusque trois,
ou même parfois quatre ou cinq jours plus tard,
dans un rayon d'une vingtaine de kilomètres...

et plus biensur, si tu sais capter des rebonds...
jipe said…
je t'aime
mon amour.

ne me quitte plus.
Drakkarota said…
pff!

tu dis ça,
mais je te connais!

il suffit que je tourne le dos 3 minutes,
et te voilà reparti avec ta jenny!

dis-toi bien que si t'avais pas ta guitare,
y'a longtemps que je t'aurai laissé complètement tombé!
jipe said…
ben c'est justement pour ça
qu'il faut que tu ne me quittes plus...

même pas 3, ni deux, ni une minute...

même pas une seule fraction de seconde
aussi infinitésimale fut-elle...

il faut juste que tu ne me quittes plus dutout,
jamais,
voilà,
c'est tout.

c'est la seule solution...
Diskota-Skye said…
...

en fait,
si je suis l'histoire de ton fil,
la meilleure chose qu'il nous resterait à faire,
ce serait de monter un groupe de rock,
tous les deux.

non ?
jipe said…
ouais,
mais à condition que ce soit Sasha qui conduise le camion...

vu qu'elle est musclée,
gentille,
et un rien maternelle à ses heures...

(elle a même des moustache, des fois)
elle pourrait s'occuper des sandwichs, aussi ?
parce que j'ai horreur de préparer des choses à manger,
et que je suis pas ta boniche...
Bonnie and Jipe said…
ça je sais pas...

il faudrait que je demandes à jenny, avant,
pour les sandwichs...
heu, c'est une bonne idée, en fait,
votre petite popote entre amoureux,
mais je pense que je vais pas pouvoir vous accompagner,
vu que je vais devoir m'occuper de mon salon de coiffure,
bientôt...
Dakota-Rock said…
ben, on a qu'à acheter un camion assez grand,
ou genre autobus à étage, imperial,
comme en angleterre...

tu pourrais monter ton salon à l'étage, ou je sais pas, dans un coin...
ça serait original, ça...

un salon de coiffure itinérant,
en tournée avec...

heu...
mais ça serait quoi le nom du groupe, déjà ?
jipe said…
The Emmentals...

j'avais pensé.

parce que ça fait penser à la fois à Mental,
et à fromage...

ou alors, les Hellemmenthals,
mais là, ça devient plus prétentieux...

Emmentals, c'est cool, je trouve.
puis ça reste élémentaire, sans qu'on ait forcément besoin de l'évoquer de manière explicite, en plus...
jenny said…
c'est ringard...
jipe said…
ha!
je propose que l'on remette la suite du débat à plus tard...
qu'en pensez vous ?
Nathalie Poilue said…
c'est quoi les ondes Alpha ?
c'est des cacahuètes salées..
la paranoïa,
c'est des mathématiques...

et donc,
si t'es nul en maths,
t'auras jamais aucune chance de devenir psychiatre...

mébon,
on est pas dans la version définitive...
Elephant said…
de rien.
je ne peux pas te téléphoner pour le moment...

je...

je n'ai pas de téléphone..

non!
tu ne peux pas dire ça...
si jamais mon père apprenais que tu avais couché avec moi,
il en tomberait malade de jalousie...

je dois le prévenir tout dessuite que tu es en fuite pour les états-unis,
dans un camping-car volé...
Bobo Cachistos said…
jamais il n'osera te croire...

c'est un bon gars, tu sais...
Sharon Pierre said…
on ne sauve jamais ses vrais amis...

ce qui s'annonce comme une corvée apportera finalement sa virginité dans les quarante-huit heures... une délivrance inespérée... il se réveille au côté d'une belle inconnue le lendemain de son enterrement...
le 8 août prochain, cette série médicale a fait la promesse de la faire libérer pour garantir la sécurité sanitaire. et les posters des personnages peuvent avoir été supprimés conformément à la loi. Grâce aux objets connectés, charmer les clients et leur proposer des bilans, statuts, chiffre d'affaires, a commencé lors d'un séjour en Afrique, Passants pour la ceinture, Déchirures décoratives, Fermeture Éclair avec bouton... par tous moyens de communication...
Peugeot 1936 said…
au fond de la grange, un lieu de vacances qui m'a beaucoup plu.
ensemble autrement au bout du monde...
respecter les perspectives... serait-ce une anomalie ?

donner une impression de profondeur.
un virus perché dans la tête des hommes...
l'élimination...
a été créée sur le portail de l'assainissement non collectif...
avec toutes les photos du quartier, le plan d'accès, les avis et les infos pratiques...

ce n'est donc pas un sujet très romantique...
le prince magique
se respecte pas
a pas beaucoup d'amour propre
et il n'y a pas de garage sur le parcours

de mon côté ardemment défendu
j'ai peur

au compteur
la cerise sur le sunday
terres agricoles et forestières
sont implantées dans la ville

le petit doigt pour ce saccage
immersion dans les expressions locales
une voix pour laisser son esprit s'éveiller à l'Infini

il peut voir et entendre des âmes décédées

il ne manque que les sacs
renar said…
mais tu n'as pas ait le bon choix
dans un hôpital
un homme au casier judiciaire bien rempli
livre toujours «Le Combat du siècle»

Loin de creuser le lien entre cette névrotique pratique de l'entre-soi et les théories hitlériennes fondées sur la haine de l'autre
elle tente d'intégrer une école d'art dramatique
se trouve comme passe-temps de voler des livres
se réfugie sous l'escalier de la cave
ce qui lui permet de décrocher de nombreux rôles

jeune peste riche et prétentieuse
son quotidien est bouleversé lorsqu'un jeune d'origine étrangère
en raison de son dynamisme
se réfugie sous l'escalier de la cave

sa relation avec le sénateur
a su profiter du rayonnement international de la ville

Quelques années plus tard
il est possible de se promener à pied ou à vélo
car des pistes cyclables existent dans toute la ville

C'est également une ville au tourisme actif
lieu de toutes les extravagances et libéralités
et qui maintient la coalition avec les écologistes.

cette vieille
a été endommagée plusieurs fois
envahie par des retombées de cendres
parfois catastrophiques

ces dernières années
une poche d'air
représentée par une reine
travaille en étroite collaboration
avec le président des chambres
théoriquement lui-même placé sous la tutelle d'une instance d'appel indépendante

Elle l'héberge en espérant lui inculquer le sens des responsabilités.
La jeune femme
une araignée dévoreuse
geisha vedette de la maison
tentera de faire assassiner son amant
le prétendu ami de la famille

un mystérieux tatoueur lui gravera
les pires mésaventures qui soient
et le plus bel ange exterminateur qui soit
dans le dos

le prétendu ami de la famille empochera l'argent
Eva Serpenta said…
ça la fout mal vis à vis de Disney...
plus rapide
construit par la société
près du lac

un peu moins rapide
au risque de souffler
bien plus performant

n'ayant plus le droit à l'amour
elle aime en secret
la gentillesse d'un homme

célèbre et admirée
entre autres par Steven Spielberg
Il faudra que survienne la déroute
entraînant la fin de traditions séculaires
Un Jeune Avocat said…
spécialisé dans le droit pénal
les méthodes douteuses
dignes des pratiques mafieuses
le jeune avocat se retrouve piégé

en réalité
des condamnés
déçus par l'échec de l'expérience communiste
ainsi qu'aux avantages qu'en auraient tirés notre pays et le socialisme
protestant contre le harcèlement policier
avaient décidé de mettre fin à la spirale du silence
émanant des foules de contestataires...

en fait,
si les travailleurs sociaux alternaient
entre activités sociales
et animations sous l'influence de drogues hilarantes diverses
dans des camps de vacacances
genre club med...

ben...

ça leur porterait un peu moins sur le système nerveux interne...
et pareil pour les gardiens de prisons,
et les détenus, aussi, d'ailleurs...

non ?
ça parait tellement évident,
que parfois,
ça me donne envie de bouder...

sérieux...
Iguanodona said…
moi,
je dis louie-louie, plutôt...

parce que bouder,
c'est pas beau...
uBa- said…
hmhm...
jipe said…
bande de fascistes de merde
pourris
t'exagère,
chipse...
je suis pas une patate.............
tu sais comment on fabrique des poissons rouges avec des petites tomates, toi ?
oui.

tu ouvres une petite tomate,
tu en retires les pépins,
et tu les plonges dans un verre d'eau,
ou de préférence,
un récipient un peu plus grand,
comme une bocal,
ou une petite bassine,
remplie d'eau,
et normalement,
au bout de quelque jours,
ou de quelques semaines,
les petits pépins devraient se mettre à germer,
puis prendre un peu comme l'apparence de petits têtards,
et si tu attends encore quelques semaines de plus,
tu te retrouve avec toute une escadrille de petits poissons rouges...

gratuit.

voilà.

c'était le secret de la confection des petits poissons rouges à partir de petites tomates...
et pour faire des éléphants, on fait comment ???????
pour les éléphants,
c'est plus méticuleux.

d'abord parce qu'un éléphant,
c'est beaucoup plus gros qu'un poisson rouge,
mais surtout,
parce qu'il faut avoir le don de savoir dérober son secret à un vieux souffleur de verre allemand juste avant sa mort. et que ça, c'est déjà un peu plus compliqué...

parce que les éléphants peuvent être fabriquer dans des usines de porcelaines françaises, et même parfois belges, bien que plus rarement, et selon les périodes d'évolution giratoire du globe terrestre sur lui-même,
mais que les plus beaux, furent quand même confectionnés par l'artisanat local de la soufflerie de verre allemande, durant la période du bas moyen-age, celui ouvrant sur la conquête de l'amérique du sud par les espagnols et les portugais...
Petit Bonhomme said…
ça me rappelle une vieille histoire grecque...
avec des gens enfermés autour d'une piscine,
par une énorme palissade psychologique...

une palissade elle-même entourée par des bois profonds,
et réputés infranchissables,
ou très très très dangereux,
car remplis de bêtes innommables aux crocs gluants et imprégnées de venins mortels...

ça faisait peur...

mais heureusement, ce n'était que des histoires...
oui,
mais malheureusement,
aussi,
parfois,
la réalité devient encore pire que les histoires,
quand ça arrive...

pas toujours,
mais quand ça arrive...

et ce n'est pas une raison pour ne plus aller chercher des champignons dans les bois, par exemple, mais avant de les faire cuire, il vaut mieux demander quand même son avis à un connaisseur... car l'on ne sait jamais...
Zino le Rigolo said…
et pour fabriquer des missiles nucléaires à longue portée,
on fait comment ?
jipe said…
ébé ça,
on sait pas trop...

parce que la plupart de ceux qui ont découvert ce secret ont dû aller en enfer,
avant,
et à leur retour,
ils n'étaient plus vraiment très sociables...

alors on n'a jamais vraiment eues de nouvelles,
en fait...
2 said…
pourquoi dommage ?

on ne peut pas vivre sans missile nucléaire à longue portée,
peut-être ?
si, biensur,
mais malheureusement,
ce n'est toujours pas l'avis de tout le monde
dans l'univers...
le fluide électrique contenu dans le nuage orageux
est un dispositif de protection contre l'extrémité inférieure
inventé en 752 par Oorek

ce n'est pas un équipement systématiquement indispensable

"Je suis seule et j'ai peur, ouvrez-moi, par pitié..."

11 octobre 1983
indispensable said…
femme en ligne
toujours un peu fade
cherchez pas plus
la touche finale qui sublimera
un look glamour qui tient chaud l'hiver

à votre disposition.

toute la gamme d'accessoires
sont des outils impressionnants
abordables pour toutes
et pour toutes les saisons

PARFOIS.
expression said…
si vous connaissez des herbes
qui ont l'imagination de l'estomac
ou encore des cacahuètes ou graines de tournesol décortiquées
pour que la cuisine devienne le terrain d'un affrontement impitoyable
l'endroit où vous pouvez propager bactéries et virus

cette jeune américaine a trouvé la parade ultime
«La nourriture, il ne faut pas l'interdire mais la réguler»

«Mon rôle est plutôt d'être à l'écoute. Le lien est plus humain que médical.»
clé said…
allé, adieu
travaux expérimentaux ou théoriques
en vue d'acquérir de nouvelles connaissances
sur les fondements des phénomènes et des faits
sous licence libre ou du domaine public

bienvenus

vous pouvez néanmoins
acquérir de nouvelles connaissances
sur les fondements de phénomènes ou de faits observables
dans le monde académique essentiellement industriel
par exemple, la façon dont les atomes s'organisent pour former des molécules
financée sur des fonds publics...
otage médical

Des hackers prennent en otage le système informatique d'un hôpital
une formation sur la prise en charge des victimes d'attentats a réuni une cinquantaine de professionnels

a donné des sueurs froides aux responsables ...L'équipe, composée d'hommes du Service fédéral de sécurité de la Fédération... La popularité renaissante des remèdes naturels et des thérapies holistiques provoque des réactions parmi la communauté scientifique médicale moderne et conventionnelle. retrouvez les coordonnées et informations sur le professionnel qui a gelé durant deux semaines les dossiers médicaux électroniques des patients, jetant une lumière crue sur les enjeux d'analyses de biologie médicale : adresse, photos, retrouvez les coordonnées.
Libérez nos collègues, otages des ADF depuis 4 ans ! » Goma, 11 Juillet 2017

Le 11 juillet 2013, alors qu’ils effectuaient une mission exploratoire pour évaluer les besoins médicaux à Kamango, dans la province du Nord-Kivu en République démocratique du Congo (RDC), quatre membres d’une équipe de Médecins Sans Frontières ont été kidnappés durant l’attaque du village par le groupe armé Allied Democratic Forces (ADF – Forces démocratiques alliées).

+ Une prise d'otage s'est déroulée ce vendredi à la prison de Saint-Quentin-Fallavier. Un détenu connu pour son instabilité et sa violence a profité en fin d'après-midi d'un rendez-vous médical pour menacer un gardien avec une lame de rasoir fixée à un stylo. Il exigeait de parler à son fils de 3 ans...

Là, le médecin peut être véritablement pris "en otage".
je pense qu'il faut surtout soutenir Richard...

Le jeune homme s'est rendu sans incident
après des négociations avec les prisonniers politiques en danger
pris en otage depuis trois jours par des terroristes ultra-déterminés

+ NAZIS:UNE AUTRE HISTOIRE : LES DOSSIERS MEDICAUX D'HITLER :

les quatre journalistes français ex-otages en Syrie, ont retrouvé leurs familles...
La psychiatrie et le monopole médical : les professionnels en tutelle, la population en otage. Un article de la Santé mentale... devenir des embryons, dépistage des malformations anténatales, diagnostic prénatal, clonage...
jipe said…
La loi punit la prise d'otage de la réclusion criminelle à temps ou à perpétuité.
L'angoisse a duré près de trois heures. Ce dimanche en fin d'après-midi.

On ne sait trop si le jeune monarque ne voit pas leur double jeu ou s'il fait semblant de ne pas voir parce qu'il ne peut leur tenir tête. Brice raconte son «incroyable expérience» d'otage en Tchétchénie, pays insaisissable qu'aucun journaliste – et pour cause – n'a côtoyé aussi longtemps, après avoir été retenu pendant 5 mois comme otages en Irak
brice said…
t'es comme le "K" et le "B" de Kill Bill,
tu sers à rien...

il avait déclaré avoir «rendu service».
toujours su aller au plus près du danger pour porter témoignage.
Cet événement illustre la difficile protection de la liberté de la presse en cas de guerre.........il lui reste à réapprivoiser le jette dans un nouveau vertige, une autre forme de péril. De retour au village son guide irakien Hussein est "une personne livrée ou reçue comme garantie de l'exécution d'une promesse d'un traité (militaire ou politique)", Un policier chrétien qui mangeait trop de bonbons.

AIME-NOUS
En ce temps-là j'étais en mon adolescence
J'avais à peine seize ans et je ne me souvenais
Déjà plus de mon enfance
J'étais à seize mille lieues du lieu de ma naissance
J'étais à Moscou, dans la ville des mille et trois
Clochers et des sept gares
Et je n'avais pas assez des sept gares et des mille
et trois tours
Car mon adolescence était si ardente et si folle
que mon cœur, tour à tour, brûlait
comme le temple d' Éphèse ou comme la Place Rouge
de Moscou quand le soleil se couche.
Et mes yeux éclairaient des voies anciennes.
Et j'étais déjà si mauvais poète
que je ne savais pas aller jusqu'au bout.
Le Kremlin était comme un immense gâteau tartare
croustillé d'or, avec les grandes amandes
des cathédrales toutes blanches
et l'or mielleux des cloches...
Un vieux moine me lisait la légende de Novgorode
J'avais soif et je déchiffrais des caractères cunéiformes
Puis, tout à coup, les pigeons du Saint Esprit
s'envolaient sur la place
et mes mains s'envolaient aussi, avec des bruissements d'albatros
et ceci, c'était les dernières réminiscences du dernier jour
du tout dernier voyage
Et de la mer.

Pourtant, j'étais fort mauvais poète.
Je ne savais pas aller jusqu'au bout.
J'avais faim
Et tous les jours et toutes les femmes dans les cafés
Et tous les verres
j'aurais voulu les boire et les casser
Et toutes les vitrines et toutes les rues
Et toutes les maisons et toutes les vies
Et toutes les roues des fiacres qui tournaient en tourbillon
sur les mauvais pavés
j'aurais voulu les plonger dans une fournaise de glaives
Et j'aurais voulu broyer tous les os
Et arracher toutes les langues
Et liquéfier tous ces grands corps étranges et nus
Sous les vêtements qui m'affolent...
Je pressentais la venue du grand Christ rouge
de la révolution russe...
Et le soleil était une mauvaise plaie
qui s'ouvrait comme un brasier.
En ce temps-là j'étais en mon adolescence
J'avais à peine seize ans et je ne me souvenais
déjà plus de ma naissance
J'étais à Moscou, où je voulais me nourrir de flammes
Et je n'avais pas assez des tours et des gares
que constellaient mes yeux
En Sibérie tonnait le canon, c'était la guerre
la faim le froid la peste le choléra
Et les eaux limoneuses de l'Amour
charriaient des millions de charognes
Dans toutes les gares je voyais partir les derniers trains
Personne ne pouvait plus partir car on ne délivrait plus de billets
et les soldats qui s'en allaient auraient bien voulu rester...
Un vieux moine me chantait la légende de Novgorode.

Moi, le mauvais poète, qui ne voulais aller nulle part,
je pouvais aller partout
Et aussi les marchands avaient encore assez d'argent
pour aller tenter faire fortune.
Leur train partait tous les vendredis matin.
On disait qu'il y avait beaucoup de morts.
L'un emportait cent caisses de réveils et de coucous
de la Forêt-Noire
un autre, des boîtes à chapeaux, des cylindres
et un assortiment de tire-bouchons de Sheffield
Un autre, des cercueils de Malmoë remplis de boîtes de conserve
et de sardines à l'huile
Puis il y avait beaucoup de femmes
Des femmes, des entre-jambes à louer qui pouvaient aussi servir
Des cercueils
Elles étaient toutes patentées
On disait qu'il y avait beaucoup de morts là-bas
Elles voyageaient à prix réduits
et avaient toutes un compte-courant à la banque.
Or, un vendredi matin, ce fut enfin mon tour
On était en décembre
Et je partis moi aussi pour accompagner le voyageur
en bijouterie qui se rendait à Karbine
Nous avions deux coupés dans l'express et trente quatre coffres
de joaillerie de Pforzheim
De la camelote allemande "Made in Germany"
Il m'avait habillé de neuf, et en montant dans le train
j'avais perdu un bouton
Je m'en souviens, je m'en souviens, j'y ai souvent pensé depuis
Je couchais sur les coffres et j'étais tout heureux de pouvoir jouer
avec le browning nickelé qu'il m'avait aussi donné

J'étais très heureux
Insouciant
Je croyais jouer aux brigands
Nous avions volé le trésor de Golconde et nous allions,
grâce au transsibérien, le cacher de l'autre côté du monde
Je devais le défendre contre les voleurs de l'Oural qui avaient attaqué
les saltimbanques de Jules Verne
Contre les khoungouzes, les boxers de la Chine
Et les enragés petits mongols du Grand-Lama
Alibaba et les quarante voleurs
Et les fidèles du terrible Vieux de la montagne
Et surtout, contre les plus modernes
Les rats d'hôtel
Et les spécialistes des express internationaux.

Et pourtant, et pourtant
J'étais triste comme un enfant
Les rythmes du train
La "moëlle chemin-de-fer" des psychiatres américains
Le bruit des portes, des voies, des essieux grinçant
sur les rails congelés
Le ferlin d'or de mon avenir
Mon browning, le piano et les jurons des joueurs de cartes
dans le compartiment d'à côté
L'épatante présence de Jeanne
L'homme aux lunettes bleues qui se promenait nerveusement
dans le couloir et qui me regardait en passant
Froissis de femmes
Et le sifflement de la vapeur
Et le bruit éternel des roues en folie dans les ornières du ciel
Les vitres sont givrées
Pas de nature !
Et derrière, les plaines sibériennes, le ciel bas et les grandes ombres
des Taciturnes qui montent et qui descendent
Je suis couché dans un plaid
Bariolé
Comme ma vie
Et ma vie ne me tient pas plus chaud que ce châle écossais
Et l'Europe tout entière aperçue au coupe-vent
d'un express à toute vapeur
n'est pas plus riche que ma vie
Ma pauvre vie
Ce châle
Effiloché sur des coffres remplis d'or
avec lesquels je roule
Que je rêve
Que je fume
Et la seule flamme de l'univers
est une pauvre pensée...
Du fond de mon cœur des larmes me viennent
Si je pense, Amour, à ma maîtresse ;
Elle n'est qu'une enfant, que je trouvai ainsi
Pâle, immaculée, au fond d'un bordel.

Ce n'est qu'une enfant, blonde, rieuse et triste,
elle ne sourit pas et ne pleure jamais ;
mais au fond de ses yeux, quand elle vous y laisse boire,
tremble un doux lys d'argent, la fleur du poète.

Elle est douce et muette, sans aucun reproche,
avec un long tressaillement à votre approche ;
mais quand moi je lui viens, de-ci, de-là, de fête,
elle fait un pas, puis ferme les yeux

et fait un pas.
Car elle est mon amour, et les autres femmes
n'ont que des robes d'or sur de grands corps de flammes,
ma pauvre amie est si esseulée,
elle est toute nue, n'a pas de corps

elle est trop pauvre.

Elle n'est qu'une fleure candide, fluette,
la fleur du poète, un pauvre lys d'argent,
tout froid, tout seul, et déjà si fané
que les larmes me viennent si je pense à son cœur.
Et cette nuit est pareille à cent mille autres
quand un train file dans la nuit
- Les comètes tombent -
et que l'homme et la femme, même jeunes, s'amusent à faire l'amour.

Le ciel est comme la tente déchirée d'un cirque pauvre
dans un petit village de pêcheurs
en Flandres
Le soleil est un fumeux quinquet
et tout au haut d'un trapèze une femme fait la lune.
La clarinette, le piston, une flûte aigre et un mauvais tambour
et voici mon berceau
Mon berceau
Il était toujours près du piano quand ma mère comme Madame Bovary
jouait les sonates de Beethoven
J'ai passé mon enfance dans les jardins suspendus de Babylone
et l'école buissonnière, dans les gares devant les trains en partance
Maintenant, j'ai fait courir tous les trains derrière moi :
Bâle-Tombouctou
J'ai aussi joué aux courses à Auteuil et à Longchamp
Paris-New York
Maintenant, j'ai fait courir tous les trains tout le long de ma vie
Madrid-Stockholm
Et j'ai perdu tous mes paris
Il n'y a plus que la Patagonie,
la Patagonie, qui convienne à mon immense tristesse,
la Patagonie, et un voyage dans les mers du Sud
Je suis en route.
J'ai toujours été en route
Je suis en route avec la petite Jehanne de France
Le train fait un saut périlleux et retombe sur toutes ses roues
Le train retombe sur ses roues
Le train retombe toujours sur toutes ses roues.
"Blaise, dis, sommes-nous bien loin de Montmartre ?"
Nous sommes loin Jeanne, tu roules depuis sept jours
tu es loin de Montmartre, de la butte qui t'a nourrie,
du Sacré-Cœur contre lequel tu t'es blottie
Paris a disparu et son énorme flambée
il n'y a plus que les cendres continues
la pluie qui tombe
la tourbe qui se gonfle
la Sibérie qui tourne
les lourdes nappes de neige qui remontent
et le grelot de la folie qui grelotte comme un dernier
désir dans l'air bleui
Le train palpite au cœur des horizons plombés
Et ton chagrin ricane...

"Dis, Blaise, sommes-nous bien loin de Montmartre?"

Les inqiétudes
oublie les inquiétudes
Toutes les gares lézardées obliques sur la route
les fils télégraphiques auxquels elles pendent
les poteaux grimaçants qui gesticulent et les étranglent
Le monde s'étire s'allonge et se retire comme un accordéon
qu'une main sadique tourmente
dans les déchirures du ciel, les locomotives en furie
s'enfuient
et dans les trous, les roues vertigineuses les bouches les voix
et les chiens du malheur qui aboient à nos trousses
Les démons sont déchaînés
Ferrailles
Tout est un faux accord
Le broun-roun-roun des roues
Chocs
Rebondissements
Nous sommes un orage sous le crâne d'un sourd...

"Dis, Blaise, sommes-nous bien loin de Montmartre?"

Mais oui, tu m'énerves, tu le sais bien, nous sommes bien loin
La folie surchauffée beugle dans la locomotive
la peste, le choléra, se lèvent comme des braises ardentes
sur notre route
Nous disparaissons dans la guerre en plein dans un tunnel
La faim, la putain, se cramponne aux nuages en débandade
et fiente des batailles en tas puants de morts
Fais comme elle, fais ton métier...

"Dis, Blaise, sommes-nous bien loin de Montmartre?"

Oui, nous le sommes, nous le sommes
Tous les boucs émissaires ont crevé dans ce désert
Entends les sonnailles de ce troupeau galeux
Tomsk
Tchéliabinsk Kainsk Obi Taïchet Verkné Oudinsk
Kourgane Samara Pensa-Toulone
La mort en Mandchourie
est notre débarcadère est notre dernier repaire
Ce voyage est terrible
Hier matin
Ivan Oulitch avait les cheveux blancs
et Kolia Nicolaï Ivanovitch se ronge les doigts
depuis quinze jours...
Fais comme elles, la Mort la Famine, fais ton métier
Ça coûte cent sous,
en transsibérien, ça coûte cent roubles
En fièvre les banquettes et rougeoie sous la table
Le diable est au piano
ses doigts noueux excitent toutes les femmes
La Nature
Les Gouges
Fais ton métier jusqu'à Karbine...
"Dis, Blaise, sommes-nous bien loin de Montmartre?"

Non mais... fiche-moi la paix... laisse-moi tranquille
Tu as les hanches angulaires
ton ventre est aigre et tu as la chaude-pisse
c'est tout ce que Paris a mis dans ton giron
C'est aussi un peu d'âme... car tu es malheureuse
J'ai pitié j'ai pitié viens vers moi sur mon cœur
Les roues sont les moulins à vent du pays de Cocagne
et les moulins à vent sont les béquilles qu'un mendiant
fait tournoyer
Nous sommes les cul-de-jatte de l'espace
Nous roulons sur nos quatre plaies
On nous a rogné les ailes,
les ailes de nos sept péchés
Et tous les trains sont les bilboquets du diable
Basse-cour
Le monde moderne
La vitesse n'y peut mais
le monde moderne
les lointains sont par trop loin
et au bout du voyage c'est terrible d'être un homme
avec une femme...

"Blaise, dis, sommes-nous bien loin de Montmartre?"

J'ai pitié j'ai pitié viens vers moi
je vais te conter une histoire
Viens dans mon lit
Viens sur mon cœur
Je vais te conter une histoire...

Oh viens ! viens !

Aux Fidji règne l'éternel printemps
La paresse
L'amour pâme les couples dans l'herbe haute
et la chaude syphilis rôde sous les bananiers
Viens dans les îles perdues du Pacifique !
Elles ont nom du Phénix, des Marquises,
Bornéo et Java
Et Célèbes à la forme d'un chat.

Nous ne pouvons pas aller au japon
Viens au Mexique !
Sur ses hauts plateaux les tulipiers fleurissent
Les lianes tentaculaires sont la chevelure du soleil
On dirait la palette et les pinceaux d'un peintre
Des couleurs étourdissantes comme des gongs,
Rousseau y a été
il y a ébloui sa vie
C'est le pays des oiseaux
L'oiseau du paradis, l'oiseau-lyre
Le toucan, l'oiseau moqueur
Et le colibri niche au cœur des lys noirs
Viens !
Nous nous aimerons dans les ruines majestueuses
d'un temple aztèque
Tu seras mon idole
Une idole bariolée enfantine un peu laide
et bizarrement étrange
Oh viens !

Si tu veux nous irons en aéroplane et nous survolerons
Le pays des mille lacs,
Les nuits y sont démesurément longues
L'ancêtre préhistorique aura peur de mon moteur
J'atterrirai
Et je construirai un hangar pour mon avion avec les os
fossiles de mammouth
Le feu primitif réchauffera notre pauvre amour
Samowar
Et nous nous aimerons bien bourgeoisement
près du pôle
Oh viens !


Elle dort.

Elle dort
Et de toutes les heures du monde
elle n'en a pas gobé une seule
Tous les visages entrevus dans les gares
toutes les horloges
L'heure de Paris l'heure de Berlin
l'heure de St Pétersbourg et l'heure de toutes les gares
Et à Oufa, le visage ensanglanté du canonnier
et le cadran bêtement lumineux de Grocho
Et l'avance perpétuelle du train
Tous les matins on met les montres à l'heure
Le train avance et le soleil retarde
Rien n'y fait, j'entends les cloches sonores
Le gros bourdon de Notre - Dame
La cloche aigrelette du Louvre qui sonna la Barthélemy
Les carillons rouillés de Bruges-la-Morte
Les sonneries électriques de la bibliothèque
de New-York
Les campagnes de Venise
Et les cloches de Moscou, l'horloge de la Porte - Rouge
qui me comptait les heures quand j'étais dans un bureau
Et mes souvenirs
Le train tonne sur les plaques tournantes
Le train roule
Un gramophone grasseye une marche tzigane
et le monde, comme l'horloge du quartier juif de Prague,
tourne éperdument à rebours.
Effeuille la rose des vents
Voici que bruissent les orages déchaînés
Les trains roulent en tourbillon sur les réseaux enchevêtrés
Bilboquets diaboliques
Il y a des trains qui ne se rencontrent jamais
D'autres se perdent en route
Les chefs de gare jouent aux échecs
Tric - trac
Billard Caramboles Paraboles
La voie ferrée est une nouvelle géométrie
Syracuse Archimède
Et les soldats qui l'égorgèrent
Et les galères et les vaisseaux
Et les engins prodigieux qu'il inventa
Et toutes les tueries
L'histoire antique
L'histoire moderne
Les tourbillons
Les naufrages
Même celui du Titanic que j'ai lu dans le journal
Autant d'images - associations
que je ne peux pas développer dans mes vers
Car je suis encore fort mauvais poète
Car l'univers me déborde
Car j'ai négligé de m'assurer
contre les accidents de chemin de fer
Car je ne sais pas aller jusqu'au bout
Et j'ai peur.



J'ai peur
Je ne sais pas aller jusqu'au bout
Comme mon ami Chagall
je pourrais faire une série de tableaux déments
mais je n'ai pas pris de notes en voyage
"Pardonnez-moi mon ignorance
Pardonnez-moi de ne plus connaître
l'ancien jeu des vers"
comme dit Guillaume Apollinaire
Tout ce qui concerne la guerre
on peut le lire dans les Mémoires de Kouropatkine
ou dans les journaux japonais
qui sont aussi cruellement illustrés
A quoi bon me documenter
Je m'abandonne
aux sursauts de ma mémoire...



À partir d'Irkountsk le voyage devint
beaucoup trop lent beaucoup trop long
Nous étions dans le premier train
qui contournait le lac Baïkal
On avait orné la locomotive de drapeaux
et de lampions et nous avions quitté la gare
aux accents tristes de l'hymne au Tzar.
Si j'étais peintre
je déverserais beaucoup de rouge,
beaucoup de jaune sur la fin de ce voyage
car je crois bien que nous étions tous un peu fous
et qu'un délire immense ensanglantait les faces énervées
de mes compagnons de voyage
Comme nous approchions de la Mongolie
qui ronflait comme un incendie.

Le train avait ralenti son allure
et je percevais dans le grincement perpétuel des roues
les accents fous et les sanglots d'une éternelle liturgie
J'ai vu
J'ai vu les trains silencieux les trains noirs
qui revenaient de l'Extrême-Orient
et qui passaient en fantômes
Et mon œil, comme le fanal d'arrière,
court encore derrière ces trains
À Talga
cent mille blessés agonisaient
faute de soins
J'ai visité les hôpitaux de Kranoïarsk
et à Khilok nous avons croisé un long convoi
de soldats fous
J'ai vu dans les lazarets
des plaies béantes des blessures
qui saignaient à pleines orgues
Et les membres amputés dansaient autour
ou s'envolaient dans l'air rauque
L'incendie était sur toutes les faces dans tous les cœurs
Des doigts idiots tambourinaient sur toutes les vitres
Et sous la pression de la peur
les regards crevaient comme des abcès
Dans toutes les gares on brûlait tous les wagons
Et j'ai vu
J'ai vu des trains de soixante locomotives
qui s'enfuyaient à toute vapeur
pourchassés par les horizons en rut
et des bandes de corbeaux qui s'envolaient
désespérément après
disparaître
dans la direction de Port - Arthur.

À Tchita nous eûmes quelques jours de répit
Arrêt de cinq jours vu l'encombrement de la voie
Nous le passâmes chez Monsieur Iankéléwitch
qui voulait me donner sa fille unique en mariage
Puis le train repartit.
Maintenant c'était moi qui avais pris place au piano
et j'avais mal aux dents
Je revois quand je veux cet intérieur si calme
le magasin du Père et les yeux de sa fille
qui venait le soir dans mon lit
Moussorgsky
Et les lieder de Hugo Wolf
Et les sables du Gobi
Et à Khaïlar une caravane de chameaux blancs
Je crois bien que j'étais ivre
durant plus de cinq cents kilomètres
mais j'étais au piano et c'est tout ce que je vis
Quand on voyage on devrait fermer les yeux
Dormir
J'aurais tant voulu dormir
Je reconnais tous les pays les yeux fermés à leur odeur
et je reconnais tous les trains au bruit qu'il font
Les trains d' Europe sont à quatre temps
tandis que ceux d' Asie sont à cinq ou sept temps
D'autres vont en sourdine sont des berceuses
et il y en a qui dans le bruit monotone des roues
me rappellent la prose lourde de Maeterlinck
J'ai déchiffré tous les textes confus des roues
et j'ai rassemblé les éléments épars d'une violente beauté
Que je possède
Et qui me force.

Tsitsika et Kharbine
Je ne vais pas plus loin
C'est la dernière station
Je débarquai à Kharbine comme on venait de mettre
le feu au bureau de la Croix - Rouge.


O Paris
Grand foyer chaleureux avec les tisons entrecroisés
de tes rues et tes vieilles maisons
qui se penchent au-dessus et se réchauffent
Comme des aïeules
Et voici des affiches, du rouge du vert
Multicolores comme mon passé bref
Du jaune
Jaune
La fièvre couleur des romans de la France à l'étranger.
J'aime me frotter dans les grandes villes
aux autobus en marche
Ceux de la ligne Saint Germain - Montmartre
m'emportent à l'assaut de la Butte
Les moteurs beuglent comme les taureaux d'or
Les vaches du crépuscule broutent le Sacré - Cœur
O Paris
Gare centrale débarcadère des volontés
Carrefour des inquiétudes
Seuls les marchands de couleurs
ont encore un peu de lumière sur leur porte
La compagnie internationale des Wagons-lits
et des Grands Express Européens
m'a envoyé son prospectus :
C'est la plus belle église du monde
J'ai des amis qui m'entourent comme des garde-fous
Ils ont peur quand je pars que je ne revienne plus
Toutes les femmes que j'ai rencontrées
se dressent aux horizons
avec les gestes piteux et les regards tristes
des sémaphores sous la pluie :
Bella, Agnès, Catherine
et la mère de mon fils en Italie
Et celle, la mère de mon amour en Amérique
Il y a des cris de sirène qui me déchirent l'âme
Là-bas en Mandchourie un ventre tressaille encore
comme dans un accouchement
Je voudrais
Je voudrais n'avoir jamais fait mes voyages
Ce soir un grand amour me tourmente
Et malgré moi je pense à la petite Jehanne de France.
C'est par un soir de tristesse
que j'ai écrit ce poème en son honneur
Jeanne
La petite prostituée
Je suis triste je suis triste


J'irai au " Lapin agile "
me ressouvenir de ma jeunesse perdue
Et boire des petits verres
Puis je rentrerai seul

Paris

Ville de la Tour unique
Du grand Gibet
Et de la Roue.



***


Blaise Cendrars

Paris 1913.
jipe said…
il n'y aura pas d'émission demain.
jipe said…
ni après-demain.
jipe said…
plus d'émission tant que je n'aurai pas retrouvé mon coeur.
jipe said…
et mes dents...
jipe said…
et mon peigne...
jipe said…
et ma sainte vierge adorée...
jipe said…
et le code de mon cabriolet...
jipe said…
et le petit suisse sur le gâteau...
jipe said…
ou jenny...
jipe said…
c'est peut-être salaud de ma part,
mais je veux te garder,
avec moi,
pour quand je m'endors,
et avoir l'impression de ne pas être tout seul,
quand je serre les coussins contre moi,
le soir,
dans ma chambre.

ça m'aide à retrouver un peu de mon bon coeur
avant de m'endormir.

c'est mieux de s'endormir de bonne humeur,
avec un peu de chaud contre soi
dans la tête.

c'est tout.

bonne nuit.
Anonymous said…
c'est faux, biensur
Ronan Trompe said…
menteur.
faux-cul.
hypocrite.
Hormone de Mer said…
non, c'est un gilet...
223 said…
Son œuvre,
inventaire de la marginalisation
elle a retracé son parcours aux expériences extrêmes

elle aura le prix Nobel
une fois n'est pas coutume

Rappelons que le premier volume était sorti le jour du massacre à Charlie Hebdo

dérangeante mais surtout terriblement douée
la jeune fille décide de quitter la maison familiale
J(5t---------- said…
fée du logis...
zat said…
une dernière tentative de désynchronisation,
et au lit...
V said…
salut jipé.

si tu veux, tu peux te branler en pensant à moi.
je te jure sur ta tête que je porterai pas plainte...

allé, adieu!
jipe said…
merci à toi.
jipe said…
y'a un truc qui va pas
jipe said…
jenny, t'es là ?
jipe said…
les robots sont des cons
jipe-st said…
eN fait, il n'y a pas de version définitive...
on dirait...
pas pour le moment,
mais c'est déjà bien d'en parler...
et évidemment,
comme tous les samedis à la même heure,
y'a encore des bouchons...
des bouchons ?
c'est un peu normal,
avec tous ces embouteillages ;)
elle est bonne celle-là,
il faudra que je la ressortes à tante mimie...
jipe said…
moi, je dis qu'un homme qui prétend qu'être vieux,
c'est être jeune depuis plus longtemps que les autres,
c'est quelqu'un qui est victime d'un complexe existentiel récurent vis à vis du système naturel de l'érosion de soi...
tout le monde n'a pas la chance de naître sous la forme d'un arbre...
qui a dit :

"Dans son regard absent et son iris absinthe,
Tandis que Marilou s'amuse à faire des volutes de sèches au menthol,
Entre deux bulles de comic strip,
Tout en jouant avec le zip De ses "levi's"
Je lis le vice et je pense à Carol Lewis.

Dans son regard absent et son iris absinthe,
Tandis que Marilou s'évertue à faire des volutes de sèches au menthol,
Entre deux bulles de comic strip,
Tout en jouant avec son zip
A entrebailler ses "levi's"

Dans son regard absent et son iris absinthe dis je,
Je lis le vice de baby doll,
Et je pense à Lewis Carroll.

Dans son regard absent et son iris absinthe,
Quand crachent les enceintes de la sono lançant,
A cor de cartes et de quintes

Tandis que Marilou s'esquinte
La santé, s'ereinte
A s'envoyer en l'air.

Lorsqu'en un songe absurde Marilou se resorbe,
Que son coma l'absorbe en pratiques obscures,
Sa pupille est absente, et son iris absinthe,
Sous ses gestes se teintent extases sous jacentes

A son regard le vice donne un coté salace,
Un peu du bleu lavasse de sa paire de "levi's"
Tandis qu'elle exhale un soupir au menthol,
Ma débile mentale perdue en son exil physique et cerebral,
Joue avec le métal de son zip et la taule de corail apparaît.

Elle s'y coca colle un doigt qui en arrêt au bord de corolle,
Est pris près du calice du vertige d'Alice de Lewis Carroll.

Lorsqu'en songes obscurs Marilou se resorbe,
Que son coma l'absorbe en des rêves absurdes,
Sa pupille s'absente, et son iris absinthe,
Subreptissement se teinte de plaisirs sans l'attente.

Perdu dans son exil physique et cerebral,
Un à un elle exhale des soupirs fébriles parfumés au menthol,
Ma débile mentale fait teinter le métal de son zip,
Et narcisse elle pousse le vice
Dans la nuit bleue lavasse de sa paire de "levi's"

Arrivée au pubis, de son sexe corail écartant la corolle,
Prise au bord du calice de Vertigo, Alice s'enfonce jusqu'à l'os,
Au pays des malices de Lewis Carroll.

Pupilles absente, iris absinthe, baby doll,
Écoute ses idoles, Jimi Hendrix, Elvis Presley, T-Rex, Alice Cooper,
Lou Reed, Les Rolling Stones elle en est folle,
La dessus cette narcisse se plonge avec délice
Dans la nuit bleue pétrole de sa paire de "levi's"

Elle arrive au pubis et très cool au mynthol,
Elle se self control son petit orifice,
Enfin poussant le vice jusqu'au bord du calice,
D'un doigt sex-symbol s'écartant la corolle,
Sur fond de rock & roll s'égare mon Alice
Aux pays des malices de Lewis Carroll " ?
ben...

c'est soit monseigneur lefebvre,
soit pete townshend...

mais j'arrive pas à choisir entre les deux...
c'est magalie noël...
ou alors, johnny-johnny-johnny...

mais surement pas roger daltrey,
ni moore, ni waters...
nan, c'est roger rabbit...
jipe said…
moi,
je préfère chanter
plutôt que d'avoir à utiliser
mon formulaire d'autorisation de fermer ma gueule...
No Hay Bando said…
c'est con, ça,
parce que le silence,
c'est tellement sexy...
ébé, je sais pas en fait...
mais si,
tu verras...

tu verras...

tout recommencera...
cc said…




...

...

********°°°°°°°°°


7890°+)))))

////////////////////////////////





jJlL6--------------9+=+è76g)")())(-------

+

'(-3y-)

NNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNoOoNNNNNNNNNNNNNNNNN:-$£µ=



nan!
jipe and the mysterians said…
l'amour n'est pas forcément ce que l'on croit avoir compris de lui...
1973 said…
ça ouvre pas mal de portes, ce que tu viens de nous dire là...
femme du monde
très sérieusement britannique
entre autres

elle reçoit aujourd'hui
ce que vous cherchez
à travers les concours

phrases célèbres
nombreux exemples de phrases traduites
règles indispensables de la séduction

un classement

le vêtement idéal pour vous
avec le plus beau visage au monde

Il bandait chaque fois qu'il voyait une belle femme
avec tous les membres de la communauté
La bière coulait ...

elles parviennent à nous faire perdre tous les moyens…

...

le promoteur a accouché d'un beau garçon
qui devrait certainement faire oublier au promoteur son calvaire

Un phénomène étrange s'est produit dans le ciel
En janvier

un phénomène psychologique de la perception ?

L'apparition d'une main dans le ciel, un grand signe...

photographié par le télescope spatial en rayons X

un nuage avait l'apparence d'une main enflammée...

une manifestation étonnante de la décomposition de la lumière blanche en radiations de longueur d'onde différentes

Il s'agirait d'un altocumulus
Antichristien said…
commandant en chef des forces armées révolutionnaires
affirmant toujours davantage ses choix révolutionnaires
pour assurer la continuité du régime

le castrisme aura avant tout mis en œuvre l'un des systèmes de santé et d'éducation les plus performants d'Amérique latine

En quarante-neuf ans de règne,
il a installé un pouvoir absolu,
fondé sur la mise en prison des opposants.

il est opportun d'établir un bilan de son action et de s'interroger
jipe said…
tu es magnifique, ma puce...

je peux t'appeler "ma puce" ?
c'est un homme qui construit le passé...
jipe le Tigre said…
la politique est une chose trop importante pour la laisser entre les mains des politiciens...
si tu te donnais un peu plus souvent le temps de corriger certaines fautes de syntaxe, ce serait parfait... tu sais, tu as toujours été le nouveau balzac, pour moi...
oui.
un mélange de balzac, de boris vian,
de bukowski et de dantec...

avec un zeste de soupault, perché sur un nuage de louis-ferdinand Kitussais...

en mode pipi-caca à la costes...

(costèS, pardon, et pas CORTèS!!

sans compter l'influence majeure de la grande mama.
Mon Beau Fusil said…
et en dehors de tes 3 tranches de poisson pané,
et de ton bol de lait aux céréales,
tu manges quoi ce soir, sinon ?
le cul magnifique de jenny
et ses nichons opulants comme des choses qui gigotent mollement
mais savamment...

dans le ciel à toit ouvert....
message pour le hasard said…
c'est un peu rugueux, oui,
mais toi,
t'es douce...
voeux pour 2018 :

j'aimerais t'appeler "ma puce"
et que tu le prennes bien,
au moins une fois avant la noël...
Jenny P-Orridge said…
on verra.

j'te garantis rien.
Happy End said…
ophtalmologues respectés
ils vivent heureux

s'immisce progressivement
l'interminable annonce d'une catastrophe
une tragédie où le spectateur devient le cobaye d'une expérience
un impensable sacrifice

après avoir brouillé les pistes
avec ses gags un peu branques
l'histoire est de retour avec cette mise à mort
aussi déprimante que décevante

dans les couloirs de l'hôpital
les spectateurs suivent le regard d'une caméra oppressante
un rien tordu

l'émotion dans l'absurde

on s'en réjouit
die Geiseln said…
qui a dit :

"le souffle coupé,
la gorge irritée,
je m'époumonais
sans broncher" ?
jipe said…
c'est bashunga...
n'hésitez pas à commenter
pour exprimer le manque de réceptivité à l'humour
des personnalités mortes de rire

pour rappeler le sérieux de la situation
ma feuille d'imposition…

moi qui me plaignais de rêver
on pourra peut-être s'occuper de mon problème
d'art et d'histoire
au look vintage

le bruit du four à micro-ondes
donne l'opportunité à de jeunes humoristes locaux
et s'obstine à le partager...
ils se cachent dans les détails
pour ramasser ce qui peut être ramassé
tous les matins
en adéquation avec l'identité de la Secret
malgré cette crampe

ce sont des tueurs

malgré l'intervention rapide des secours
le fou rire de l'entraîneur
je me suis levé mort

Je peux plus avancer.

Il va pourtant le falloir malgré cette crampe.
Cette crampe qui me tient ...
je n'ai pas supporté que cet individu lui adresse la parole,
alors pour éviter le pire,
je me suis transformé en cube gothique...
tout le monde sait que je t'aime, sauf toi.
et le crâne est le symbole le plus puissant de la planète.

On lui doit un remarquable traité d'algèbre.
hi jenny.

i'm keith richards.

and i wanted to tell you,
that jipe was a good guy...

because...
i just know it.
that's all.

so...

don't be rude with him,
please.

cause he could take care about you,
if you should only give him this chance ov...

takin care of you.

thanks, jenny.

i know you're a good girl,
because jipe told me that you were a good girl...

so,
i think it's true.

that's all.

( )
c'est un poaime posthume pour la devanture de edie décédegwick )

nous ne trafiquons pas de trafiquants ici
bb

je suis lioko-nono
EGO PUISSANT said…
poèe vertigineux :

je suis là come un presque vieux
seul avec ma vertue impuissante
à assister à mon non-échappatoire
sur toutes les non-chaines du monde vertébré

mais marie charlotte
et surtout
ses cheveux de 14 ans et demi D'age savent
EUX

car ils sont
avant tout
SES YEUX
et le mec qui aura choppé marie-charoltte après moi
sera le messie du dieu caché

bande de branleurs
la voilà votre solution de cons!!!!
de toute façon
c'est marie-charlotte piérard
la pilote du monde

bande de caves :

https://www.youtube.com/watch?v=FxORulyOXs8
et c'est la raison pour laquelle elle avait l'air si effrayée,
sur la photo prise de son visage
juste après qu'elle ait obtenu son baccalauréat,
bande de cons de caves :

https://www.youtube.com/watch?v=FxORulyOXs8
voilavoila said…
et c'est pas jenny
ou anna
ou malika,
"ou qui vous voudrez"
comme dirait dantec

mais c'est tout simplement
marie-charlotte piérard
LA chose

c'est TOUT

bande de caves :

https://www.youtube.com/watch?v=FxORulyOXs8
TONI said…
je ne sais pas comment expliquer
la vie inexplicable

et ceux qui tentent de la
saisir
d'une manière
clinique

ne font que nous enfoncer
sous une sorte de poussière
Art-Y-Fiche said…
j'aurais jamais dû devenir écrivain....

en fait...

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